J-C Heckers
Présentation

Né fin 1968, ce mélomane peu averti mais éclectique aurait rêvé de jouer du violon, mais a préféré remiser l'instrument au grand soulagement des voisins. À défaut de l'archet, la plume est le prolongement de sa main depuis déjà un bon gros quart de siècle. D'abord poète acharné, il s'est lancé parallèlement dans la fiction, jusqu'à ce que celle-ci prenne définitivement le dessus, étranglant de ses petits bras musclés les ultimes velléités versificatrices.

Du même, on pourra trouver quelques œuvres sur Scribay (https://www.scribay.com/author/150/jean-christophe-heckers).

J-C Heckers a noté ces livres

5
Bon, je ne vois pas ce que ce texte fait si bas dans le classement, et surtout pas comment il a pu récolter aussi peu de lectures. L'écriture est bonne et le sujet intrigant, mais je crois que la quinzaine de pages du début a dû faire fuir: un seule personnage, du descriptif, pour beaucoup c'est trop, même quand c'est légitime. Vraiment dommage, parce que quand même...
Publié le 23 Mars 2017
5
Il convient ici d'apporter certaines précisions et/ou rectifications aussi insupportables que nécessaires. 1/ Les signes doubles (autrement dit les ?;:!" et «») doivent impérativement être précédés d'espaces insécables, ce afin d'éviter leur éventuel malencontreux renvoi en début de ligne suivante. 2/ Les tirets de dialogues sont cadratins(—) et jamais autre chose (semi-cadratin – ou l'horrible -). Selon les puristes, le tiret d'incise devrait lui aussi être de même (suivi d'un espace insécable s'il est ouvrant, il en sera précédé s'il est fermant), quoique la tolérance du tiret semi-cadratin devienne commune. Noter que Word a, concernant les tirets, pour malsaine habitude d'ignorer l'insécabilité des espaces, ce qui a de parfois fâcheuses conséquences (tiret en fin de ligne, texte de l'incise à la suivante). LibreOffice ne fait pour sa part jamais ce genre de bourde.
Publié le 20 Mars 2017
5
Roman qui se happe mais qui doit surtout se relire pour en explorer toutes les richesses. Si je suis resté perplexe face à certaines pages, c'est qu'il faudrait un bagage conséquent dans les domaines touchés pour en saisir et la portée exacte et la pertinence. Fiction spéculative étonnante, Traumaless se laisse ranger au côté d'oeuvres récentes aux préoccupations voisines, tel le roman Métaquine® de François Rouiller (L'Atalante, 2016).
Publié le 12 Janvier 2017
3
Si la trame est classique, trop peut-être, l'écriture vaut le détour par son style. Reste que la frustration est là de voir que le roman est abandonné. D'où (par dépit) deux étoiles en moins.
Publié le 06 Janvier 2017
5
Je l'avais loupé? Si loin dans le classement, normal. Avec le temps, on finit par dégringoler les étages. J'aime ce genre d'écriture, dotée de finesse et qui sait capturer des instants pour nous en renvoyer les reflets. Moments ordinaires (?) mais transfigurés, pour moi il ne faut rien toucher: nouvelles ce sont, nouvelles ce doivent rester, miroirs déposés le long d'un chemin.
Publié le 30 Juillet 2014

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