Josselyn Pagliarini

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1
Je me serais bien passer de l'avant-propos... Page 6 - Si penser, se questionner, signifie vivre, quid des plantes et des animaux ? Bref... - "Depuis l'origine des temps [virgule ?] ce sont les mêmes interrogations qui ne cessent de se poser [lesquelles ?], balisées par un point [un point ou un point d'interrogation ? Je ne pige déjà plus rien...], elles semblent définitivement closes [alors pourquoi ne cessent-elles de se poser ?]. A l'inverse, toute réponse est un complément [un complément de quoi ?] qui souvent induit une nouvelle question [pas si souvent que ça à mon avis...], une marche supplémentaire à franchir [ce n'est plus la vie, c'est une marche maintenant ?], et ainsi de suite pour circonscrire le sujet jusqu'à sa conclusion [une question induisait souvent une nouvelle question, tu l'écrivais dans la phrase précédente, faudrait savoir !!!]. Par le biais du questionnement [par ce biais seulement ?], l'esprit doit parvenir à découvrir des vérités cachés au fond de lui-même [quelle questionnement ? Quelles vérités ? Pourquoi sont-elles cachées ? Pourquoi vouloir les connaître ? J'ai tellement hâte de lire la suite...], vérités qu'il ignore à priori [ a priori sans accent, c'est du latin ! En plus, cet "a priori" ne veut rien dire dans le contexte !] Et tout le reste me semble du même acabit... Je ne sais pas combien de pages je vais tenir... mais je vais de consternation en consternation, c'est magnifique, quelle aventure, mon Dieu, quelle aventure !
Publié le 21 Février 2019
5
Un ton moins agressif, plus détendu mais toujours aussi laconique pour ce livre qui clôt la trilogie.. Les premières pages prometteuses d'un philosophe qui ne promet vraiment rien, et qui l'assume toujours un peu plus. D'ailleurs, est-il encore philosophe ? Quand on sait que cela lui a pris sept ans pour pondre seulement quarante pages, on mesure l'ampleur du détachement qui habite jusque là cet hymne, non sans humour, au dépouillement systématique de son ego.
Publié le 11 Janvier 2017
4
Volontairement plus désespéré que le premier livre. Plus expérimenté aussi, et dans un ordre qui se veut cette fois chronologique. On va toujours vers nulle part, ou plutôt, on tente d'explorer le Gouffre dans la continuité du précédent en y mettant quelques formes moins poétiques mais plus lyriques.
Publié le 11 Janvier 2017
4
Je ne suis pas sûr de comprendre la fin du synopsis : ce ne serait pas plutôt "dans" la seule alternative possible.
Publié le 13 Décembre 2016
2
Encore une histoire de raptor dissident ? Il est partout ce con-là...
Publié le 04 Novembre 2016

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