Lisa DJ

Lisa DJ a noté ces livres

4
Un carnet de bord très marrant truffé de détails inédits. C'est comme si l'on lisait le journal intime d'un copain (avec ce que les gens qui reviennent du Japon oublient de nous dire) les détails de la vie. Et puis vous évitez les poncifs : une autre culture, un autre mode de vie, d'autres rituels... Vous les épousez (ces rituels)comme si c'était une évidence sans chichi. Des passages très drôles en particulier le retour du Japon sur Aeroflot... avec ré-hydratation à la Vodka. Vous devriez exploiter cette veine. Je ne sais pas si le tout début est indispensable (votre situation d'écolier/ étudiant)
Publié le 28 Janvier 2021
5
J'ai lu quelques dizaines de pages et déjà j'aime cette urgence. Quand une guerre se profile et qu'on est mobilisé, c'est l'heure des comptes et des bilans et des projets et des tris ... Trop de choses à faire et à comprendre dans un laps de temps trop court. Vous rendez bien compte de cet état de confusion... ou l'on veut vivre avec intensité sans rien vivre du tout finalement. Puis le peu de temps qui reste révèle des vérités bonnes à vivre.
Publié le 25 Octobre 2019
3
Un début prometteur qui présage d'un vrai talent narratif mais vraiment trop court . C'est un texte pas un extrait.
Publié le 04 Mars 2019
4
C'est un joli livre.. poétique, didactique brillamment illustré.Vous prenez les enfants par la main, et vous leur ouvrez un champ imaginatif. C'est bien.
Publié le 05 Décembre 2018
5
Ce texte est intemporel, il sculpte, déchire, peinturlure un milieu social. Mais ce n'est pas une critique de classe, c'est un portrait de personnages avec leur élan, leur faiblesse, leurs trahisons. On les comprend tous et on comprend leur fond d'humanité. Aucun n'est un saint, mais aucun n'est une ordure. L'écriture est svelte, précise quand on se prend à y revenir. Simple mais jamais banale; Accessible mais très construite. On a parfois une impression de densité comme si les noeuds de l'intrigue était très serrés, comme si l'on ne pouvait souffler...(trop?). Il faut bien sûr comme le dit Kroussar, plus de pages. Elles manquent, pour aérer cette chronique de Société à la fois blasée, passionnée et résignée. Comme il nous manque une fin. Je critique parce que c'est bon.
Publié le 16 Novembre 2018

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