Je ne connaissais pas du tout Gustavo A. Bécquer et je suis heureuse d'avoir lu ces contes, traduits par vous, chère Max. Pour s'envoler, pour voyager, lisez-les.

Note à l'auteur : ce commentaire ne se veut pas désobligeant ni démotivant mais seulement le reflet de mon ressenti de lectrice. J'ai aimé la partie sur le personnage de Charles, beaucoup moins celle sur Rose. J'ai eu l'impression de lire une dissertation plutôt qu'une nouvelle. Cette idée est accentuée notamment avec l'utilisation importante de notes en bas de page, de noms de personnalités, de dates et d'explications qui à mon sens noient l'histoire et fatiguent le lecteur et sa compréhension. De plus, je n'ai pas vraiment apprécié que les femmes soient présentées en fonction de leur physique et cela à de nombreuses reprises (Rose, Adèle, les candidates à l'entretien d'embauche, la collègue de Charles à l'Assemblée Nationale...). Cependant, le récit tient la route malgré quelques longueurs, quelques fautes et quelques mauvaises tournures.