Aucune excuse, avec le titre que vous avez, on ne peut pas prétendre qu’on est tombée sur votre livre par hasard. Pas du tout mon genre de beautés, pas du tout, mais je suis scotchée dessus depuis deux jours. Vous devriez commencer vos cours de sophrologie sur moi, j’en ai besoin (je viens de regarder sur google) je vais avoir du mal à sortir de chez moi et ’’affronter les défis du quotidien avec sérénité’’! vous m’essoufflez, ça n’arrête pas dans l’horreur, s’il n’y avait le synopsis et cette petite promesse d’un avenir plus rose qu’on en vient à souhaiter, entre le sordide, le gerbant, la pluie le froid etc, on aurait vraiment plus d’espoir, noir noir. Bref bravo, très bon. Je ne sais pas si c’est un bouquin pour les librairies (il doit y avoir des amateurs), mais je vois tout à fait le film. Ils vont être contents les habitants de Vancouver pour la pub que vous leur ferez !

Très intrigant et deux fois plutôt qu’une ! Ce jonglage entre ces 2 moments, c’est un fantasme éternel. Pas étonnant que nous voulions savoir ce qu’il en est. Cela dit, sur la forme, je trouve que les dialogues si nombreux si systématiques perturbent parfois le déroulé. En même temps, ils donnent ce rythme qui ne s’arrête jamais. Le sentiment que j’ai eu à la fin… troublant !

J’ai bien aimé vos ambiances ambigues, les mises en scène où la pression monte en quelques lignes. Tout un art ! Pas toutes des nouvelles pour un 1er janvier (quoi que… il y a toujours des prédicateurs de fins du monde, des complotistes qui croient aux world mensonges…) mais une écriture qui évade (et c’est donc un peu le but par les temps qui courent !). Bonne année et merci pour le bon moment !