T.Guenard

T.Guenard a noté ces livres

4
Ecoutez j'ai été agréablement surpris par votre roman, au début j'ai freiné des quatre fers quand j'ai vu que c'était un roman de science-fiction, puis après j'ai lu votre synopsis et je me suis dit pourquoi pas après tout? J'ai eu raison de suivre mon intuition car j'ai eu la sensation de lire un roman d'aventure de qualité. En effet il y a de l'action, des rebondissements imprévisibles, les personnages ne sont pas figés et se montrent sous différentes facettes au fur et à mesure de l'avancée du roman, il ya du rythme, du coup on s'amuse. Merci pour ce moment passé avec vos personnages.
Publié le 17 Août 2020
4
Les personnages de votre roman sont attachants car courageux face au danger, à la solitude, au chagrin amoureux, à la grande bassesse humaine, au deuil suite à la perte d'un être aimé.... Malgré tout ce sont souvent des battants, des personnes rusées et débrouillardes. Ils ont de l'épaisseur, du caractère, ils ne sont pas insignifiants, transparents donc forcément c'est un bon point pour vous je dirais.
Publié le 03 Juillet 2020
0
Losna Le Goff est une artiste céramiste attachante, sentimentale, passionnée (elle travaille des heures et des heures) et elle sort des sentiers battus. Elle a à coeur de transmettre sa passion à son neveu et à des jeunes puisqu'elle donne des cours. Son neveu avait pourtant une carrière toute tracée puisqu'il devait reprendre l'exploitation agricole familiale. Marie Prigent sa mère ne semble pas manquer de caractère non plus. Merci pour ce roman de qualité qui met en avant le destin de femmes déterminées et entières.
Publié le 07 Juin 2020
4
Elles sont horribles et glaçantes vos scènes, j’espère que vous allez bien et que vous ne broyez pas trop du noir.... Vos scènes ne sont pas réchoupillantes mais elles ont le mérite d’être efficaces et de produire l’effet escompté : l’effroi. Dès la première scène le ton est donné puisque la scène est effroyable et revient sur l’extermination des juifs. Différents thèmes sont ensuite évoqués (la schizophrénie, la non-acceptation et tolérance de l’homosexualité d’un jeune homme par ses parents, l’alcool et la drogue d’un jeune homme, etc….) qui ont des conséquences dramatiques car ils débouchent sur un meurtre, un suicide, un viol, etc….. En tout cas vous avez réussi à captiver mon attention au travers de ces histoires successives même si elles ne sont pas gaies.
Publié le 29 Avril 2020
4
Pour moi ce crétin de Chirac, désolé pour ce langage cru de ma part, a commis une vraie erreur en suspendant le service militaire obligatoire pour ne pas dire le supprimer. Quand j’écoute les divers témoignages de personnes qui ont réalisé leur service militaire, ils disent que celui-ci permettait le mélange de citoyens venant de divers milieux. Puis celui-ci pouvait permettre de forger le caractère des personnes y participant et de leur inculquer une discipline qui pourrait leur être utile durant toute la durée de leur vie. Je parle de cela car il en est largement question dans votre récit. La période que vous évoquez (la guerre d’Algérie) m’a vraiment passionné. Vous rappelez à juste titre le triste sort des pieds noirs durant cette guerre, la haine entre les membres du FLN( Front de Libération Nationale) et de l’OAS (Organisation Armée Secrète). En tout cas on sent que vous en avez soupé de cette période avec les militaires et les officiers qui parlent comme des chiens aux membres qui composent l’armée. C’est un monde totalement déshumanisé que vous nous décrivez, en vous lisant, j’ai pensé au livre de Primo Lévi, « Si c’est un homme » qui décrit vraiment bien cette déshumanisation de l’humain qui a lieu dans des conditions extrêmes au sein des camps de concentration lors de la seconde guerre mondiale. On voit que vous pensez à tout pour échapper à la guerre, vous faire penser pour illettré, fou… Je vous remercie pour votre autobiographie historique vraiment vivante et intéressante qui m’a permis de replonger dans une période historique qui m’a vraiment marqué avec la guerre d’Algérie et le fameux discours du Général de Gaulle en 1958 à Alger avec cette phrase mythique"Je vous ai compris".
Publié le 03 Mars 2020

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