Pierrik Blin
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"LOIN DES YEUX DES MECHANTS"

Pierrik Blin a noté ces livres

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@Jean-Victor JOUBERT Le titre était alléchant. Pour le reste, que de poncifs éculés, que de lyrisme essoufflé. C'est dommage car je pense que vous avez une plume à nous offrir un bouquin délicieux à la René Fallet, Michel Audiard, Alphonse Boudard et toute cette bande de joyeux drilles impertinents qui étaient les "Tontons flingueurs" de la littérature académique. Si je peux me permettre, laissez tomber les vers et allez en boire quelques uns dans un bon vieux troquet qui n'a pas encore perdu son âme. Avec un peu de chance, vous y rencontrerez peut-être notre Antoine Blondin national qui n'hésitera certainement pas à vous donner de bons conseils pour votre futur roman épicurien et débridé que je lirai avec grand plaisir. Excusez moi d'avoir été sincère, c'est mon principal défaut. Surtout sur ce site où la convenance et la bienséance sont de mise. Gare à celui qui s'en écarte. Bonne chance à vous. Bien sincèrement
Publié le 18 Avril 2017
3
@Sophie Blitman Cette sensation étrange d'avoir entre les mains une écriture qui résonne, a du muscle, du sang qui circule, de la vie qui bat. Et, curieusement, une écriture aussi qui, parfois, s'évapore un peu, s'estompe, s'égare dans des couleurs qui ne lui vont pas. Mais oui, malgré ma faim de beauté inassouvie, malgré mon attente discrètement déçue, vous avez un ton, une patte, une identité, une signature. Bien à vous
Publié le 02 Avril 2017
5
@Chris M Simon J'ai lu votre roman sur Amazon et le charme opère tout de suite. Rythmé, intriguant, magnifiquement construit, bien écrit et, bien sûr, avec une bonne rasade d'humour, ce « Brooklyn Paradis » a, de plus, une dimension cinématographique. Voilà un roman-film pétillant dont le scénario habile mériterait d'aller faire un petit tour chez Tarentino, les frères Cohen, Mickael Mann et, pourquoi se gêner, chez le maestro Martin Scorsese. Après l'époustouflant et intense « Mémorial tour », j'ai dégusté ce nouvel opus comme un champagne millésimé.
Publié le 01 Février 2017
4
@Claude CARRON Bonjour, Voilà un extrait plutôt bien troussé. C'est sympathique, parfois rigolard, bon enfant. Ca nous replonge un brin dans les polars de série B, style (en gros) années 55/60 et c'est assez plaisant, surtout pour des vieux crocodiles comme moi nourri à l'encre de Simonin, Audiard, Boudard, Le Breton. Bon, maintenant, on n'va pas se la raconter, mon cher Claude, on n'est pas non plus, comme je l'ai lu juste en dessous, dans la cour du Pape Dard ! Eh oui, il faut savoir quand même raison garder. Et puis, ce cadeau de la filiation offert à un auteur est souvent, un cadeau empoisonné. Ca pèse lourd sur les épaules et ça peut encombrer le bulbe. Ecrire en étant soi-même, droit dans ses bottes et « décontracté du gland », ça vaut bien plus que toutes les comparaisons avec les illustres, non ? C'est drôle et un peu con cet actuel besoin de toujours bramer dans les médias que, ça y est, on a trouvé le « nouveau Belmondo », le « nouveau Brel », le « nouveau Michel Audiard », etc...Ca en devient limite insultant pour celui qui essaye tout simplement d'avoir sa propre patte, son propre STYLE. Il en a peut-être rien à glander, lui,d'être comparé. Peut-être même que ça les lui brise menu ! Moi, j'dis, faites du Carron, c'est déjà pas mal. Bien à vous.
Publié le 22 Janvier 2017
5
@Romain Lebastard J'en suis, pour l'instant, à la page 89. Un seul mot: Magnifique
Publié le 09 Janvier 2017

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