Dans les années 70, les filles restaient un mystère extraordinaire pour les garçons (et inversement certainement). Il était tellement facile de tomber amoureux de toutes celles que l'on croisait. Au lycée, en colonie, la sœur des copains, en photo dans les magazines.
Voici 3 petits textes pour replonger dans l'atmosphère de ces années où les réseaux sociaux n'avaient encore pas tout gâché en nous montrant à l'envi tout de l'intimité des filles (et des garçons), enlevant tout secret et toute découverte. Une époque où on pouvait tomber amoureux de toutes les filles du monde...
Et bien sûr, il y avait la musique de cette époque, le rock et ces centaines de groupes qu'on découvrait en s'échangeant nos 33T entre copains.
Ce livre est noté par
@Louis Morot
merci pour votre lecture et pour votre commentaire. Oui, le corps féminin m'a toujours attiré. J'ai eu de la chance, à l'époque, il n'y avait pas MeToo...
Vous m'avez fait bien rire ou sourire avec certaines de vos expressions et de vos images non vulgaires mignonnes, attrayantes utilisées pour parler notamment des parties intimes de l'anatomie du sexe féminin ou du sexe masculin : "Deux beaux globes qui se lovaient parfaitement dans la paume de ma main". " Elle lui montrait son minou, je lui montrais ma zigounette, petit robinet ridicule". A 8 ans, il est précoce le jeune garçon, il ne perd pas de temps pour explorer et apprécier les parties intimes de très jeunes filles et il a bien raison! Puis il a des jeux avec ses copines qui ne m'auraient pas déplu de partager lorsque j'étais gosse. Je pense notamment au concours du baiser le plus long échangé avec une jeune fille de son âge. Comme quoi la beauté du corps féminin, dès le plus jeune âge cela peut nous agiter.... L’oubli est la plus terrible des morts, vous avez trop raison.
@Catarina Viti
Bonjour Catarina,
Merci pour votre retour très développé. Vous n'avez pas lu la 3ème ? Dommage, peut-être auriez-vous retrouvé l'esprit de la 1ère...
Pour ce qui est de la 2de nouvelle, j'avoue ne pas être nécessairement en désaccord avec vous, mais parfois, à force de se lire et relire et relire on finit par ne plus trop savoir où on en est. Il est clair que pour cette nouvelle, elle mériterait d'être retravaillée, mais...
Sinon, la raison qui fait que ces 3 nouvelles sont regroupées en 1 même recueil est que ce sont 3 autofictions, comme on dit aujourd'hui, 3 moments de ma lointaine adolescence et qu'elles forment, dans ma tête, un tout...
Belle journée et je ne manquerai pas d'aller vous lire rapidement
Bonjour Didier,
J’ai lu votre première nouvelle avec une joie monumentale. Cette joie qui nous prend quand on déniche un texte qui fait boum !
C’est dans cet état d’esprit que j’ai attaqué la deuxième nouvelle. Et plus encore, car, nous devons avoir le même âge... c’est « ma » playlist, comme ils disent aujourd’hui. Et là... je me suis enfoncée dans Pop 2. J’ai commencé par noter la page pour vous suggérer d’alléger un peu ce passage, mais la suite aussi serait à alléger... C’est mon sentiment, mais cette nouvelle n’est pas à sa place.
Autant votre première est « universelle », autant celle-ci est autocentrée. La première est « digérée », celle-ci ne l’est pas.
J’ai eu l’impression d’avoir roulé à 100 à l’heure, sur une belle route dégagée, le cheveu au vent dans l’air doux, et d’un coup, BAM ! la bagnole est entrée dans une mare d’eau... Mon moteur a calé).
Attendez d’avoir quelques retours, mais si cela se confirmait, il serait judicieux d’orienter votre proposition.
Vous avez une très belle écriture, chantante, simple, claire ; vous avez de l’humour (même dans cette deuxième nouvelle que j’ai abandonnée) ; vous avez un vrai positionnement d’auteur. Bref, tout est bon, ce n’est qu’une question de casting de texte.
Un grand merci pour le partage.
Je vous souhaite vraiment le meilleur (et c’est l’unique raison de mon commentaire).