Mary COUSIN

Biographie

Cadette d’une famille rurale normande de 7 enfants, j’entre dans la vie active par le biais de l’enseignement. L’amour m’amène à tout quitter pour aller travailler aux côtés de mon conjoint restaurateur dans la région parisienne. À 50 ans, suite à une séparation douloureuse, j’ai éprouvé le besoin de revenir aux sources, retrouver mes racines et cette contrée normande au cœur de laquelle s’élève un atypique château, celui d’un mystérieux Seigneur de Carrouges ». Après des années de recherche, j’ai osé prendre la plume pour tenter de relater le destin fabuleux de ce chevalier, instigateur du "dernier duel" Judiciaire en France, évènement dont les acteurs Matt Damon et Ben Affleck ont tiré le scénario du film " The Last Duel" pour Ridley Scott. ( sortie prévue en octobre 2021)

Mary COUSIN a noté ces livres

5
Je suis tombée sous le charme de votre plume subtile et fluide qui nous entraîne dans les dessous d’une belle histoire d’amour ordinaire d’un jeune homme presque comme tout le monde. Sinon qu’il a fait de brillantes grandes études qui le destinaient à un avenir parfait, tout tracé... Mais, finalement rien ne se passe comme il le prévoyait. La vie et les rencontres font parfois tout changer. En alternant dialogues et descriptions, vous donnez au livre le dynamisme rythmé d’un polar, ce qui piège le lecteur dans une romance pleine de rebondissements, sans lui laisser le temps de respirer avant la fin. Sans pour autant être moraliste, votre récit donne à réfléchir sur le mode de vie de la plupart des gens de notre société actuelle. Bravo
Publié le 19 Février 2016
4
Alors que se dessine le destin de vos personnages, vous nous piégez sans vergogne sur la toile de votre Sergueil, cet ancien agent de KGB né sur les bords de la Volga, devenu artiste portraitiste à Paris pour des raisons indéfinies. De la sorte, vous nous baladez dans votre méli-mélo politico-criminel en compagnie d’Anne et de votre clown-poulbot, sans même nous laisser reprendre notre souffle. Un style époustouflant pour un récit inclassable qui va du surréaliste avec un goût prononcé pour le déraisonnable, au carrément satirique avec de fines critiques un peu à la Zola, que vous faites passer avec humour voir même tendresse. Bravo, bravo pour ce récit dont la lecture gagnerait en fluidité si le texte était justifié. (je ne suis pas sûr que le fait de laisser des fautes d’orthographe donne au lecteur l’impression d’un langage traduit du Russe en français approximatif, l’emploi de termes russes dans les phrases est plus explicite, je crois) Cordialement
Publié le 19 Février 2016
4
Comme les paroles de la chanson évoquée dans le titre résument parfaitement la trame de l’histoire, vos mots pour décrire cet amour obsédant, puissant, mais qui fait peur, prennent aux tripes et suggèrent une fin douloureuse qu’on cherche à comprendre tout du long du récit. Vous savez nous embarquer dans le délire infernal de Jérémy dont l’esprit s’affole et se désagrège dans son amour inconditionnel pour Brandon. Une écriture pleine d’émotion, poignante dans cette nouvelle inspirée par cette chanson « Requiem pour un fou », à laquelle vous donnez toute son amplitude avec une fin exemplaire. Bravo
Publié le 17 Février 2016
4
Une romance pleine de charme qui se démarque des autres, une plume à la fois profonde et poétique, tout en restant simple. Des personnages attachants, que vous ne ménagez pas toujours pour arriver à vos fins, d’ailleurs celle de ce livre laisse perplexe. Vous savez créer les rebondissements adéquats pour maintenir le lecteur en haleine. Bravo, mais attention aux fautes d'orthographe
Publié le 11 Février 2016
4
Une intrigue bien menée, sur fond de paysages sud-africains décris magnifiquement par votre plume experte à nous plonger, par delà les guerres des Boers (fermiers en néerlandais), dans une aventure pas banale vers l’origine de l’hominidé. J’ai adoré suivre Tinnings et le docteur Doggerland mais, je dois vous faire une confidence, j’ai toujours eu un faible pour “Scatterlings of Africa” de Johnny Clegg et des levées de mollets incroyables de ce “Zoulou blanc” … Hum, voilà, c’est dit ! Même si, en dépit des belles choses engendrées par ce fantastique musicien et chanteur, l'état de ce pays est toujours aussi déplorable. Par contre, sans vouloir vous offenser, je dois avouer que la ponctuation, le faible espacement entre les lignes ainsi que le choix de la police d’écriture n’est pas judicieux. Tout cela rend la lecture fastidieuse, d'où l'étoile qui s'est éteinte. Cordialement.
Publié le 08 Février 2016

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