
"Je les écoutais. Cognac. Faux témoins et meurtres en rafales. Des plans, puis des maquettes, virtualisées, accaparaient l’état-major, hilare, qui acquiesçait. Devant tous, rescapé, consultant une météo extraplanétaire, l’ancien prince Madrin, reconstitué par implants osseux, intégraux, fondateur de Prisme Stellaire, dans sa vareuse mandarine, qui tranchait parmi les uniformes, prophétisait, émoustillé, une saga spatiale, et cette exploitation de l’ADN synthétique." Mais nous recherchions... Nil Célius !
Ce livre est noté par
Réciproquement Alix.
Mon mail c’est moubaidy@gmail.com .
Si possible il se pourrait que nous puissions réaliser des tomes ou mêmes de longues séries fictives qui toucheront aux mythes, pourquoi pas ?!
Il y’a quelqu’un de très intéressant que j’ai remarqué, Yann avec lui nous pourront avoir notre trio .
@Mamadou Baïdy Diop
Heureux de vous retrouver. Je vais suivre votre aventure avec grand intérêt.
Nous essaierons aussi de trouver un moyen plus direct de communiquer.
Alix
⭐⭐⭐⭐⭐
Il faut être fort pour écrire un tel roman ,
Félicitation et bonne continuation Alex .
intéressant
intéressant
@LAURE TISSOT
Une création à quatre mains, qui plus est à distance, avec un être cher, un prodige dont je ne suis capable. Je vous lirai cet été, Laure. Alix
Poétique, brillant, intriguant, bravo !
passionant
@Michel Ettewiller
Je pensais à vous. Mais... vous m'avez devancé, de peu. Pour moi, il s'agit d'une trilogie. D'où ma réflexion dans l'ordre de parution. Pour préparer, sans concession, mes lecteurs. Nous parlerons de moi plus tard. J'ai commandé deux autres livres. Comme convenu. Mais c'est un plaisir. Je placerai dans quelques semaines, toujours avec votre accord, quelques extraits et votre couverture. Je me sens moins seul. Alix
@Alix Verne
Merci, Alix :)
@Michel Ettewiller
@Gaspard du Gévaudan
Ah ! J’ai téléchargé votre récit, bien que j’eusse préféré l’acheter. Il m’est venu ce mot : les « intuités ». Ce qui définit désormais ceux qui ont la capacité immédiate, sincère, de ressentir des mondes. Donc, par instinct, je sais que je vais apprécier. Qui plus est, si vous avez l’agrément, le satisfécit de Gaspard du Gévaudan, je ne peux qu’être... doublement convaincu. Il doit sans doute me rester un mois pour achever mon premier tome. Bien que je sois depuis très casanier et fort entouré, je dois soutenir quelques expositions et des séances de dédicaces pour des êtres qui me sont chers, et pour des registres très éloignés, je compte bien pour autant vous lire. Et vous faire découvrir par quelques proches. Je vous présenterai aussi sur la quatrième page de New-Lutèce. Que je vous enverrai bientôt. Alix
@George Parîsse
J'ai un peu de retard sur mes lectures. Je suis sur un vaste chantier qui s'achève. Je vous lirai donc ce mois de janvier. Veuillez me pardonner pour ce retard. Alix
@Alix verne
A vrai dire, je suis attiré a tout ce qui parle de la spiritualité,car personnellement je ne suis pas a l' hauteur d'écrire quoi que ce soit, mais un esprit toujours ponctuel viens m'illuminer, ainsi je regarde bien 7 fois tout ce qui parle de la spiritualité,je crois que je suis fane de votre livre ..... Hébreu l'exilé du Créateur
@Alix verne
A vrai dire, je suis attiré a tout ce qui parle de la spiritualité,car personnellement je ne suis pas a l' hauteur d'écrire quoi que ce soit, mais un esprit toujours ponctuel viens m'illuminer, ainsi je regarde bien 7 fois tout ce qui parle de la spiritualité,je crois que je suis fane de votre livre ..... Hébreu l'exilé du Créateur
@Yahvé rha brandy l'hèbreu l'exilé du Créateur
Ce qui apparaît en premier lieu, bien sûr, c’est l’élégance... Et je ne suis pas insensible à des formes autres d’écritures. De plus, je me défie... autant que j’en conçois les vertus, de ce joyau étrange. La spiritualité à toutes les soies, les oripeaux. Et ne cesse de scintiller après être passée... Alix
Meilleures illustration
@Monique Louicellier
Pour les illustrations, essentiellement, oui. Mais quelques fois se trament des accointances, mes personnages, mon univers, sont par moment esquissés pour la BD, la photographie, le théâtre, la sculpture, le conte ou la poésie. Ou font l’objet de compositions musicales... Comme ce titre « Il pleut au cœur de l’Ange ». Qui annonce le premier Opus. J’aurai d’ailleurs plaisir à vous envoyer un exemplaire, je vois que tout comme moi... vous aimez les chats. Alix
@Monique Louicellier
Monique, je paie, sans crainte, certes, le prix goûteux d’un quiproquo. Votre malice m’a réjoui. Il est temps d’expliquer. Ces quelques pages s’explorent, non comme un récit, mais comme une bande « annonce »... où tout ne peut se révéler. Il s’agit de 3 romans. Pour 3 films. Alix
@ANTALL
J’apprécie votre propos. « Scénariste de formation, je suis partisan d’une écriture punchy et structurée, mettant en scène des protagonistes sur le fil du rasoir. » Un postulat respectable, certes cinglant. Mais fort admissible. Mon travail, ou plutôt, ma rêverie, diffère. Je risque... cependant de crisper. Je ne fais guère d’efforts pour écrire. Je conçois malgré tout l’atemporalité de mes images. Quelques lecteurs m’accompagneront, est-ce présomptueux, je narre, aussi, pour... des siècles méconnus ? Le monde, la complexion humaine, éprise de cosmicité, changera... Sur notre plateforme, j’induis un ton, qui ne résume pas les tomes à venir. Mais... cela convient. Alix
Bonjour @Alix Verne... Pour ma part, je ne vois que des mots, jolis certes, mais agglutinés les uns aux autres en un gloubiboulga informe de paragraphes aussi compacts que le cassoulet de ma grand-mère. Je m'attendais à lire un début d'histoire. Or, je n'ai découvert qu'un ersatz de bizarrerie poétique. Hermétique, surtout. Votre synopsis représente déjà un effort de concentration considérable pour, au final, se solder par une entorse de neurones.
En clair, je ne pige rien à ce que vous écrivez. Même votre biographie je n'y comprends rien ! Les phrases sans verbe, ou dont le sujet est le verbe, totalement décousues entre elles, mises bout à bout sans presque aucun alinéa, ça va deux minutes mais au bout d'une page à peine, j'ai les yeux qui saignent.
Quand bien même irais-je jusqu'à trouver ce style prétentieux, en tout cas très élitiste, peu importe...
Je salue votre personnalité et l'affirmation d'une véritable "patte" d'auteur. Manifestement, beaucoup de lecteurs ont les neurones plus accrochées que les miennes.
Amitiés
Norin
@Georges Parisse
J'ai commandé votre livre, sur Amazon, que je lirai en décembre. Je vois que nous avons une affinité pour la compréhension des mondes. Alix
@Isabelle Blackeney
Je ne suis guère le plus à l'aise sur les échanges internet. Bien... que je progresse. Mais je n'ai pas trouvé où vous lire. Si vous l'acceptez, le moment venu, je vous enverrai le premier opus dédicacé. Au plaisir intriguant de vous découvrir. Alix
Noir et intriguant. un style épuré. Bravo
@Philippe Clausels
Des paragraphes courts, découpés fraîchement. Avec une sensation rédactionnelle, qui ajoute à la nostalgie. Plutôt bien écrit, d’une candeur paisible, bénéfique. On se transpose. Le « moi, je » haïssable disparaît, dans une éclosion, que je n’imaginais pas charmer. Le sucré-salé des paradis perdus. L’imprévu qui mènera à l’onirisme. Je me remémore qu’en étant soi, on se fait écrivain. Le cauchemar qui advient n’effraie pas. Le temps d’un songe eût été un titre ajusté. On doute parfois, un mauvais trip ? La métaphysique s’y mêle, presque malgré soi. Mémoire synesthésique, je songeais... à ce premier texte d’esprit rimbaldien que j’avais écrit. Une étrangeté cohérente. Offerte aux initiés. Vous êtes un auteur guidé... Donc audacieux et sincère dans son vœu. C’est une qualité à préserver ! Alix
Je crains, Isabelle, d'être trop sincère, pour ne point faire ce que je prétends. J'ai accompagné deux livres. L'un recevait un fort bel article dans le monde. Le second a trouvé éditeur, et publie un autre roman. Tous deux, fort modestes, ne croyaient en leurs ouvrages. À bientôt... Donc. En octobre. Alix
Il faut toujours chercher derrière la façade, tant le système contraint à nous dévoyer. Vous me faites l’effet d’un écorché vif, de ceux qui, à fleur de peau, peuvent encore changer les esprits pour les mener dans leur monde. De ces féroces au cœur tendre en quête d’amour.
Je vous remercie pour la réciproque de lecture mais, au regard de votre style, vous risquez peut-être de profondément vous ennuyer. Il s’agit d’un long « petit roman » sans prétention, de ceux que l’on aime écrire mais qui n’ont finalement d’importance que pour soi et disparaissent au fil du temps. De ces bouteilles jetées à la mer on ne sait trop pourquoi. En conséquence, ne vous sentez aucunement obligé.
@Isabelle Blackeney
Je n'ose parfois le révéler. Certes, j'écris. Mais... plus précisément, je me transpose, dans une réalité qui m'imprègne, logique. Tout aussi vivace que ma vie. J'ai dû aimer et protéger ces derniers mois. Je retrouve cette antériorité "hypermnésique". Je la quitterai en octobre. Je vous lirai, Isabelle. Je l'ai promis à Philippe Clausels, par curiosité, autant que par respect. Mais... vous, c'est bénéfique. Vous m'avez compris. Ou plutôt subodoré. Je me sens moins seul dans mes intransigeances. Alix
@Philippe Clausels
Je suis immergé dans une composition musicale pour mon univers. Mais je sais reconnaître un auteur. Mon choix se portera sur "S’en Fout La Mort Il Aime La Vie", non par primauté chronologique, plutôt une instinctivité. Alix
Une plongée surprenante , je me suis pris au style original.
Bonne découverte.
C'est très riche, mystérieux et original. Un ovni, avec beaucoup de talent brut qu'il faudrait sans doute mieux canaliser.
@NathalieBrunal
Je dois reconnaître qu’imaginer une vie, fort éloignée, de ce que nous connaissons, est une gageure, si singulière. J’ignore même pourquoi j’y suis porté. Mais, cela me semble. Au fond, préhominiens, vaquant, que nous fûmes, l’idée sommaire qu’un « petit » boitier permette une communication, en tous lieux terrestres, et bientôt, certainement, vers les astres, nous eût paru… plus étrange encore.
@Eric Brambilla
J’ai connu les Technopères, il y a fort longtemps, Moebius, je suis passé à côté des Meta-Barons, que l’on me conseillait sans cesse. Je feuilletais surtout à huit ans les Strange des éditions Lug, dangereux, donc censurés, mais… surtout simplistes. Disons trop manichéens. Ainsi, autiste, balzacien, locuteur et scientiste, pour moi, la littérature… est un art mort peuplé d’évidences. D’où ce récit. Pour mon narrateur, morphique et transhumain, l’instant ne dure que trois secondes. À travers les électrons, défilent une survie, un pan entier d’humanité. Au fond, la description d’un futur contrarié. D’où cette bousculade. L’univers. Dans sa confrontation temporelle si mathématique. Alix
Je démarre la lecture, pfff, pour le moins, ce n´est pas digeste. Au bout de six pages j´ai déjà un vague sentiment d´indigestion. Si la suite est du même acabit, je crois que je ne tiendrai pas la distance.
J´ai le sentiment diffus que Jodorowsky, Moebius, le monde de l´Incal, des meta-barons et des Technopères ont eu leur petite influence, je me trompe?
Good
@fdev
Heureux qu'elle vous agrée, cette atmosphère participe... à ma rêverie. Alix
@Celiou
J'apprécie votre regard. Bien sûr, je dois apparaître comme un autiste, parmi les écrivains. Mais... je vois le monde autrement. Je ne peux me défaire de cela. Je crois avoir percé un siècle adapté. Un refuge, pour ma liberté. Alix
Passionnant, merci pour ce partage.
@Karl Forterre
Je vous remercie. Je goûte les contes et la poésie. J'aurai grand plaisir à vous découvrir. Alix
@Hubert
Impressionniste, ou, plutôt, semblable à Lautréamont, dans ce trouble procuré, comme à tant, très jeune, avec les Chants de Maldoror, je me convaincs, Hubert. Souvent, bercé par l’inanité, l’extase, l’instant d’une trêve, j’observe. Une mouche. Une libellule, un passereau ? Je ressens, révélé, intense, ce que d’autres « natures » recueillent. Une tiédeur, sur des écailles, la foudre annonciatrice, sous nos voutes plantaires, qui peut-être mènera, saccadé, aux rives d’une mare naissante. Alors, mon narrateur ? Un transhumain. Je suis lui. Absolu. Vous trouverez, j’en demeure sûr. Mais… je reviendrai. J’aurai le temps de vous lire. Alix
Une profusion d'idées, de mots semblant surgir d'un puits sans fin se bouscule sous mon crâne.
Des tournures de phrases complexes, mais pertinentes, des concepts géniaux, mais alambiqués…
J’ai le sentiment d’un absolu chaos vu de loin, mais lorsque je "zoom" je prends plaisir à rentrer dans ton monde.
Bref, totalement inclassable. Il doit encore me manquer quelques clefs pour pénétrer complètement dans ton univers sans me perdre.
Merci pour le partage
MERCI BEAUCOUP
Merci Alix
@Mamadou Baïdy Diop
Deuk Wolof. J'ai lu votre récit. Un ton naturel. Et le quotidien d’une délinquance, qui se rappelle à nous cosmopolite. Ces pages ont ces qualités, elles ne sont mues que par la description, mais… au-delà, l’évidence : notre part de tourments. De Bogotá, d’Odessa à Naples, les sociétés rangent, si lentement, leur Problème commun. L’errance, le déclassement. Qu’il s’agit d’un récit sociologique, policier ou autres… un auteur qui observe contribue à révéler l’épice de son ciel. (L’instant, pour le lecteur, où la trame universelle se pare de couleurs.) Poursuivez. Mon seul conseil. Si je puis. Restez qui vous êtes. Alix
Trop classe, avec cette manière qui caractérise les personnages, on ne peut que vouloir regarder une suite, bravo
@Alix Verne,
Lorsque l'auteur vous parle de son œuvre des ombres se dissipent. Merci pour la dédicace. Bonne continuation.
@Alix Verne,
Lorsque l'auteur vous parle de son œuvre des ombres se dissipent. Merci pour la dédicace. Bonne continuation.
@Innocent de Dieu
Oui. C’est compliqué… On ressasse les révolutions politiques, industrielles. Présumant ce futur, exacerbant, induit par ces “nouvelles” technologies. Mais l’une, toujours, échappe, à nos contemporains. Un bouleversement biologique. Imaginez que vos sens ne vous appartiennent plus, Innocent. Une cérébralité, vive, effervescente. Là, une aiguille qui chute, arrachée d’un napperon, tonnant, par saccades, à plusieurs mètres. Puis, ce fil de lin désembobiné, qui cisaillera votre ouïe ?! Ainsi, vous parvenez à comprendre que le talent rassure. Mais… le génie ? Je crois que la littérature servira le passé. Certains films, traitant, avec sérieux, des mutations, demeurent indescriptibles, confus et vains, avec des mots. L’image avance. Du moins, pour un temps. Merci. Voici… donc ma dédicace. Alix
@Alix Verne, bonjour.
Depuis le 17/01/2020 que j'ai commencé l'aventure dans l'univers de votre feuilleton, je suis parvenu à la conclusion que vous aimez vous évader loin des sentiers battus. Et c'est une bonne prise de position.
Mais faudrait-il le faire plus éveillé, afin d'aider vos lecteurs comme moi, à ne pas se perdre dans votre, que dis-je, dans vos univers.
Merci en tout cas, pour ce voyage inhabituel.
Innocent.
@Alix Verne
Merci pour votre réponse.
Bonne inspiration pour la suite de votre univers :)
@ROTH Didier
Tout avis est respectable. Surtout pour un auteur que l’on suppose « inaccessible ». Mais, bon, je construis tranquillement. Je verrai dans quelques mois. D’ailleurs, j’aurais peine à échapper à mon univers. Il y a des malédictions qu’il vaut mieux porter dès l’enfance. Alix
j'ai bien aimé l'originalité de la mise en page du début, par contre après (assez rapidement) je me suis perdu dans votre univers, ces descriptions volubiles dans vos dialogues qui m'ont fait perdre le fil.
La poésie ne me déplaît pas, bien au contraire, mais ici je n'ai pas réussi à retrouver des sensations dans ce melting-pot foisonnant :)
Merci pour le partage en tout cas :)
@metya Nganga
J’apprécie votre curiosité. J’ai même grand espoir de voir chez vous, mais aussi sur votre continent, la relève prometteuse de la francophonie ! Alix
Toutes mes félicitations pour la réussite de cet bon roman avec une inspiration excellente.
@Alix Verne, tous encouragements pour cette inspiration fantastique.
@AKIX VERNE, MERCI, bonne étude de l'ensemble j'en tiens compte au plaisir.
@Felix CULPA
Ces quelques lignes m’honorent. Je ne saurais le cacher. Le moment venu, si vous le désirez, j’aurai grand plaisir, personnellement, à vous envoyer le premier exemplaire. Ou la forme manuscrite, artisanale. Vous n’aurez qu’à me contacter par mon site… J’apprends aussi que vous écrivez. Je renouerai à ce propos par un courriel demain. Les biographies offrent aux romanciers, souvent, une vérité, une audace qu’ils s’interdisent parfois. Alix
@Agostini Francois-Xavier
Bonjour François-Xavier, heureux que ce futur, improbable, pour beaucoup, puisse passionner. Je prendrai plaisir à vous découvrir. Alix
Bonjour, et bonjour Lutèce même ce fut le nom de Paris il y a si longtemps, un retour vers le futur ou une idée que les chaos du passé peuvent revenir sous une forme actuelle ou futuriste pire encore qu'il a des siècles et des siècles ?
Vision chaotique du futur disent certains, je n'en suis pas si sûr, comme dans mon roman "Prophetia et Clémence la revanche contre la barbarie" sur Monbestseller, j'imagine un futur pire encore. L'Homme n'a pas fini d'être dépassé par ses inventions et comme nous vivons dans un monde où la science-fiction dépassera, désormais, toujours la réalité, nous ne sommes qu'au début d'une refonte totale, massive de l'humanité. En attendant bonne lecture à tous AGOSTINI François-Xavier je noterai à la fin du roman; bien à vous.
@Annie Pic 2 Bonsoir Annie, j’ai ouvert votre recueil de nouvelles, en veillant bien sûr à commencer par le début. Il arrive... souvent (mais pas toujours) que ce soit l’ordre de fraîcheur qui induit la maturité, convenant à l’auteur(e). Voyage au centre des rêves (qui méritait un titre plus ajusté selon moi), Et le temps naissait sont d’intéressantes idées fictionnelles. Mais c’est avec Décalage temporel (le titre aussi...) que je trouve une meilleure épaisseur futuriste. Sans doute suis-je un esprit complexe ? J’ai besoin d’être nourri en permanence par la réflexion. Même au gré du plaisir. L’assise sous-jacente m’y paraît plus dense. Je continuerai ma lecture ce week-end. À bientôt. Alix
Bonjour, j'ai bien aimé l'ajout de dessins, étant fans de BD. Je finirai ma lecture ce soir. bonne journée
@ Gaspard du Gévaudan
Je ne saurais vous donner tort. Le lecteur doit avoir son confort. Une nécessité. Bien sûr, parfois, la littérature... se révèle un peu diverse. Pour ce thème, l’idée qu’une science extrême, dans son inadvertance, puisse aboutir à cette... concrétisation « hasardeuse », me paraît intéressante. Et ne pouvait, selon moi, être traitée de façon classique. Une société audacieuse, mais incomplète, induit des risques. Notre monde changera, comme sans doute jamais dans son Histoire, je vous remercie pour cet échange, très appréciable. Alix
Vous avez raison : "pourquoi rendre la tâche aisée" ? c’est ce que je me demandais en lisant votre texte (trop) dense (pour moi amateur de sff bien de chez nous ou d’ailleurs !). Cela dit, j’ai parcouru quelques pages et apprécié ce rythme, cette cadence, la danse de vos mots. Dommage pour moi qu’ils soient impénétrables !