
« Le silence des rêves » ne se résume pas, il se vit. C’est un roman qui parle de moments et d’instants de vies dans notre société actuelle. C’est tout ce qui lie l’humanité, ce que vivent des millions de gens, partout, c’est l’extraordinaire dans la simplicité, c’est la confrontation de la beauté de la vie, avec la puissance d’un vécu, la profondeur des émotions, la complexité des pensées, et les banalités, les aléas du quotidien, la légèreté, le familier, l'authenticité sans fioriture. Ce livre est né d’une volonté de mixer le précieux de la vie au vécu de "monsieur et madame tout l’monde", pour révéler que chaque chose compte, même si ça n'en a pas l'air, et que tout ce qui nous arrive a un sens caché nous guidant vers notre propre évolution, notre propre éveil intérieur.
Ce livre est noté par
Merci @Lila L pour votre point de vue :-) Je suis trés touchée par votre message, car cela correspond exactement à ce que je souhaitais faire ressentir au lecteur : l'impatience, la longueur des choses dans l'observation, la vie qui nous fait attendre, qui n'est pas toujours agréable, et puis j'aime être proche de la réalité, de ce que vivent les gens pour de vrai, car tout n'est pas fluide et tout tracé, structuré, dans la vie, au contraire, ça nous pousse, ça nous fait attendre, ça nous fait partir vers des réflexions...l'écriture de ce roman avait pour but d'être plus authentique à la réalité, et le fait que tout se dénoue forcément, mais pas toujours comme on le souhaite. Je ne sais pas si tout est utile dans le récit (hihi!), c'est juste écrit tel quel, en écriture inspirée, et la psychologie et l'historique des personnages me paraît importante. On aime ou aime moins...
N'ayez crainte des 340 pages, le récit est très rythmé avec beaucoup de dialogues et rebondissements. C'est sûr que le mode numérique incite moins à lire un livre comme cela.
Belle découverte à vous :-) :-)
Ouhhhh ! C’est un gros livre, très impressionnant à ouvrir. Je suis très partagée - en cour de lecture-. D’abord la présentation, trop serrée, beaucoup trop, il faudrait que vraiment que vous aériez. Et puis, le fond, le récit, le texte. 340 pages, qui deviendront 500 une fois aérées, faut vraiment que la question ne se pose même pas de vouloir tourner les pages. Et… si je le dis, c’est que moi j’ai un peu tergiversé ! J’ai trouvé qu’il y a du très bon et du plus pénible. Par exemple la fiche pole emploi au début, est-ce utile ? Ou, le papier que vous avez dans les mains et dont on comprend au bout d’une demi page la teneur. J’ai aimé votre manière naturelle, quotidienne, de vous mettre en scène, le sujet principal, et tous ses petits ou grands satellites, votre sens de l’observation, votre œil. Mais il y a des diversions, des longues narrations qui ralentissent le rythme et l’intérêt. Qui perturbent, qui éloignent. Ou je devrais dire, qui m’ont éloignées. C’est un peu confus et long tout ça ! et la lectrice que je suis (mais les conseillers ne sont pas les payeurs …) pense que vous devriez resserrer un peu sur votre sujet principal. En tout cas, bravo d’avoir non seulement osé mais été au bout avec brio.
Merci beaucoup :-) (c'est Nell tout court ;-) )