
Albert Ducreux, suivant les traces de son auteur, nous conte combien les souvenirs sont nos plus belles richesses quand "Le passé se lève à l'aube".Il se livre en même temps à une analyse critique et irrévérencieuse de ces chemins, tout aussi ludiques que tortueux, qui dessinent sa vie. De son enfance durant la seconde guerre mondiale à nos jours, nous suivons les péripéties, qui le mènent à quitter une vie certainne de neuropsychiatre, pour l'univers redoutable du spectacle.D'Hippocrate où la médecine et la psychiatrie de cette époque le confronte à des pratiques devenues aujourd'hui dérisoires et parfois redoutables, à Pagnol, Lacan, Béjart, Reggiani et bien d'autres, il parsème son récit d'anecdotes et de confidences.
Ce livre est noté par
@Sansberro
Bonsoir Pierre, quel plaisir de lire votre analyse. Très loin de ce grand écrivain que fut Céline, j'ai modestement essayé de traduire, grâce à Albert Ducreux, les émotions, les colères, la tendresse et la dérision qui nous permet de traverser une vie. Soyez remercié de cet encouragement, en attendant l'occasion de pouvoir échanger sur les sujets artistiques qui nous passionnent. A bientôt, j'en suis sûr.
Jacques
@Suzanne46
Chère lectrice vous me comblez !
Je suis heureux du plaisir que vous avez rencontré sur les chemins de cette aventure.Tous vos mots me sont allés droit au cœur.
J'ai beaucoup aimé votre analyse vigilante et cette synthèse pleine d'humour et de tact. Grand merci. Avec mes pensées les plus cordiales. Jacques
@Jean Luc Solomas
Grand merci, cher lecteur pour votre commentaire. "Ce con de Diogène", beau titre. Je m'en vais le déguster. Cordialement. Jacques
@Zoulou56
Ah ! Ce Boulevard Chave d'où émergeait, venant de la gare de l'est, notre "métro" marseillais. Vous avez revisité mon enfance. Merci d'avoir poursuivi votre lecture au delà de cette introduction que j'ai conservé après l'avis de mes premiers lecteurs et à l'instigation de Philippe Grimbert qui a validé cette première partie. Cette scatologie a pris fin dans la littérature au milieu du 19e siècle et j'avais décidé de parler crûment de ce stade anal traversé par ma pratique psychanalytique.
J'avais commencé à la rue Auguste Blanqui pharmacie abandonnée pour aller en médecine.
J'aime votre envoi spontané et direct et vous suis reconnaissant de ces 5 étoiles.
Et comme vous le dites si bien : "C'est l'amour qui triomphe des souvenirs. Confraternellement votre.Jacques
@Poupette34
Vous me touchez profondément. Je suis heureux que vous ayez partagé avec moi la tendresse et l'amour que la vie m'a laissé en chemin , dans cette aventure terrestre où se mêlent les joies et les douleurs. Le cœur n'est jamais assez grand. Merci d'avoir trouvé la voie qui m'a permis avec vous de vivre ce partage. Amicalement
#Salah Abdelmoumene
Merci pour votre ajout. N'hésitez pas à me donner votre avis. Cordialement. Jacques.
@Liane Solo
Grand merci pour vos mots qui m'ont profondément touché.
Ce plaisir partagé me comble.
Jacques
@Raphaël Demper
J'aime votre façon directe d'aborder les choses.
Du plaisir relevé dans votre analyse et du sourire pour avoir partagé avec vous ce regard sur l'humain et le monde qui va du merdique au sublime.
@Lafauveliere
Merci cher lecteur de votre analyse sensible. Je demeure, encore étonné, dans ce monde traversé, en restant toujours surpris par ce qui constitue notre aventure terrestre. Quand parle le cœur on demeure encore surpris face à la violence de l'existence et l'humour demeure la meilleure médecine pour faire du temps qui passe un indéfectible ami. Bien à vous. Jacques
@jacques roure
C'est surprenant, dérangeant parfois. Tendre et plein d'humour. Une très belle écriture, une aventure humaine. De magnifiques rencontres. Iconoclaste en diable. Un régal.
@Fred Opalka
Merci pour votre commentaire et le franchissement de la première haie. J'ai retenu "cette parabole sensitive" comme une délicate analyse sur cette fonction devenue depuis bien longtemps tabou dans la littérature. Au fond, sans cette colonne verticale, qui nous parcourt de la tête aux pieds, l'existence ne serait pas la même. Il faudra peut-être trouver un équivalent à scatologie, comme "érotique" a changé le mot pornographie, pour parler tranquillement de cette fonction. Avec toute ma reconnaissance, avant de me plonger dans vos petits objets, pour avoir eu votre compagnie pendant votre lecture. Jacques
@Sylvie Rochefort
Merci pour l'ajout à votre bibliothèque. Vos commentaires seront les bienvenus.
Innocent Elfin Alofan
Je l'ai voulu comme la vie, ce plus ou moins long fleuve pas souvent tranquille. Je vais penser à y remédier. Il y a, en effet, trois chapitres distincts. Vous êtes le deuxième à me faire cette suggestion. Merci pour votre lecture. Je vais, à mon tour, essayer de mieux vous connaître. Très cordialement. Jacques
@Jacques Roure, tous mes encouragements, pour cette inspiration qui a certainement caractérisé l'enfance de beaucoup d'entre nous. La pudeur et surtout les tabous ailleurs, ne permettent souvent pas d'aborder ces genres de thèmes, pourtant indispensables au quotidien du matin au soir de notre vie. Merci.
Mais, j'aurais aimé le chapitrage et le titrage bien structurés de l'ouvrage, afin de faciliter sa lecture, surtout thématique.
Beyeme Jacques santini
Merci Jacques.
@Iamish
J'ai longtemps hésité à conserver cette entrée en "matière". Dans mon vécu professionnel, j'ai été quotidiement confronté à ce premier stade du développement de notre vie dont, à part "le charme discret de l'intestin" on parle peu. L'écrivain et psychanalyste Philippe Grimbert à levé mes derniers doutes en me disant que, dans la littérature, on n'avait jamais parlé aussi bien de la m.... J'ai essayé de garder, dans ma narration, cette structure analytique qui va du stade anal à la sublimation en passant par le stade uro-génital, quitte, ensuite, à pourfendre quelque peu, la problématique freudienne. On s'épanche beaucoup dans la littérature sur la fonction "érotique" en omettant, certainement par pudeur, cette fonction vitale essentielle qu'est l'évacuation, qui revient encore au premier plan, dans beaucoup de fin de vie. Un grand merci pour votre commentaire dans sa totalité, y compris dans la justesse de vos réticences, une belle année à vous. Amicalement. Jacques
Kroussar
Grand merci, ami lecteur, pour votre analyse sensible. Dès que je termine votre "roman" je vous donne mon ressenti. Je vais pointer les coquilles signalées qui ont retenu votre attention "aiguë". Votre récit, en tous points palpitant, m'a déjà fait penétrer dans un univers "hors la vue" du commun des vivants. À bientôt.
@Jacques Roure,
Bonjour Jacques, je viens de terminer votre roman-témoignage. Et je confirme les cinq étoiles précédemment allouées.
/n
Ce fut un plaisir de vous accompagner dans vos nombreuses vies; où la compassion a toujours été présente, la tendresse, l'humanité aussi, bien loin des stéréotypes d'aujourd'hui. Encore merci pour ce partage.
/n
PS: j'ai également modifié mon premier commentaire, celui associé à la note, en apportant plus de précision sur votre récit.
@C. Marie
Merci de votre analyse et des sensations qu'elle vous a procuré. La vie demeure une aventure souvent féroce mais aussi tellement surprenante qu'une fois, son temps passé, on peut revoir, sans complaisance mais parfois avec humour et tendresse, cette traversée...
@fab
Merci cher lecteur pour avoir poussé votre curiosité au delà de la première page. Ce parti pris autour d'une fonction essentielle, au début... et parfois à la fin de notre existence, était, me semble-t-il peu présent dans la littérature. L' aval de Philippe Grimbert m'a encouragé à garder cette structure "anal... ytique"...
Et puisque vous avez souri je suis heureux de vous avoir communiqué ce petit plaisir. Belle année à vous.
Parolier des "Baleines bleues" , et de tant d'autres musiques Jacques Roure publie son premier roman , avec une vison réaliste et critique, parfois cinglante, mais toujours poétique de la condition humaine.La messe est dite....!
@kroussar
Grand merci. Je vais en faire de même après nos "péripéties" nocturnes ! Cordialement.
@Catarina Viti
Merci Catarina. J'avais dans l'après-midi fait une mauvaise manœuvre que m'a signalé @kroussar . J'espère que nous pourrons supprimer ce malentendu.
C'est quoi ce coup de calcaire ? Tout fonctionne parfaitement, Jacques.
Zan, ça doit être des interférences asiatiques (parce que ça fonctionnait bien hier aussi)
@mBS
Grand merci pour cette attention. Une belle année pleine de découvertes et de surprises pour toute votre belle équipe. J. Roure
"Le passé se lève à l'aube" est le "Livre le +" du 6 janvier. Retrouvez l’article qui vous donnera envie de le lire : https://www.monbestseller.com/actualites-litteraire-conseil/12275-lire-e.... N'oubliez pas de laisser un commentaire à l'auteur, c’est pour cela qu’il a publié son roman sur monBestSeller.
@agostini francois-xavier
Merci François-Xavier pour votre comme commentaire. Le génie, en effet, renferme une grande part de folie qui lui permet de s'extraire du quotidien pour pénétrer dans des domaines que seule la déraison peut aborder. Je cite dans mon livre, entre autres, Camille Claudel, Antonin Arthaud et...Madame Escalier, qui durant mon internat en psychiatrie m'a fait découvrir son domaine poétique, elle, qui avait été classée dans la catégorie des "hébéphrènes". On ne demande pas au psychiatre de comprendre mais d'écouter. Ronald Laing écrivait, à l'époque de l'antipsychiatrie, que "la maladie mentale" était le seul moyen d'échapper à une société aliénante. Je vais lire avec intérêt votre livre. Encore merci de votre lecture. Jacques Roure
@jean jac
Grand merci Jean Jac pour le plaisir que j'ai pu vous faire partager et tout le bonheur reçu au travers de votre analyse. J'aimerais vous envoyer mon dernier album si nous en trouvons les moyens. Une très belle année pour vous. Jacques