
Saint-Etienne. Septembre 1981. Cette dernière année de collège s’annonce désastreuse pour Éric Leroy. L’école ne l’intéresse plus, il déteste son père et il traîne avec une bande de jeunes fils de la bourgeoisie locale, dont le comportement ne connaît plus de limite. Anne, jeune fille posée et nouvelle élève dans l’établissement, s’intéresse pourtant à lui. Une relation débute entre les deux adolescents.
Ce livre est noté par
@Marion Deligny
Bonjour et merci pour cette note ainsi que votre commentaire.
Je suis heureux d'avoir de bonnes appréciations comme la votre pour un livre qui n'est pas facile. L'histoire est dure, tout le contraire du roman type "feel good". J'ai très modestement tenté d'écrire une tragédie, une forme dans laquelle on peut trouver de l'épique.
Si je parviens à finaliser avec l'éditeur, je pense que le problème des fautes d'orthographes et autres coquilles typos sera enfin résolu.
Quand on s'auto édite, c'est un morceau assez difficile à gérer car la correction d'ouvrage requiert des compétences particulières.
Bien à vous.
@MALZIEU
Bonjour, merci pour votre commentaire. Je suis très touché par vos compliments et j'espère pouvoir mener à terme le second roman que je projette. Je vous souhaite d'aboutir dans de bonnes conditions en ce qui concerne votre propre ouvrage.
Bien à vous
@ Laurent Peyrard
Je suis très heureux que vous ayez reçu ce prix d'autant qu'avec celui de Loïc Lanzenac, vous étiez mes préférés cette année. Le votre m'avait particulièrement touché. J'ai vécu à Saint-Etienne à la même période que le héros de votre livre et j'y ai trouvé quelques échos personnels et douloureux. Vous avez vraiment ce qui fait la différence entre un auteur et un écrivain : un style. Je suivrai vos prochains opus avec attention. Vous allez donc être édité. Bien entendu je me rendrai acquéreur du livre pour en avoir une trace physique. Je viens moi-même passer plusieurs mois à travailler sur un livre avec un éditeur (un guide médical grand public) qui sera publié en février. C'est une expérience intéressante. L'édition est un sport de combat. Je ne pense pas que cela effraie un karatéka comme vous.
@ Laurent Peyrard Ravi de voir que mon vote ait été plébiscité !! ;)Je ne me suis donc pas trompé en vous mettant 5 étoiles je suis très heureux pour vous, c'est mérité et je vous souhaite beaucoup de ventes ! Bien cordialement
@ Laurent Peyrard
Félicitations pour votre prix, très bonne continuation. Cordialement.
@Louise Casenove
Bonjour, Merci pour votre note et votre commentaire.
Quel que soit le destin de mon ouvrage, je suis toujours heureux que quelqu'un prenne le temps d'écrire pour me dire de quelle manière il l'a ressenti.
Si vous n'êtes pas parvenue à le lâcher, c'est un très beau compliment pour moi.
Il est donc possible que je sois édité chez un éditeur, et si nous nous croisons, je vous dédicacerai le livre avec grand plaisir.
Bien à vous
@Nathalie Giuliana
Bonjour,
Merci pour votre commentaire et votre bonne note.
Vos impressions sur le style me font particulièrement plaisir, quant au fait qu'après la lecture le livre vous est resté en tête, je me suis déjà exprimé sur le sujet, mais c'est sans doute la plus belle récompense pour celui qui écrit.
@mimille
Bonjour, Merci pour votre note et votre commentaire.
Je suis particulièrement content que plusieurs lecteurs, dont vous, aient trouvé que j'avais bien restitué l'époque du début des années 80 et tout ce qu'elle portait en germe.
Quant au personnage du père, je ne serai pas trop sévère avec lui. C'est un homme de la vieille école qui a les avantages de ses inconvénients. Il fait partie de ces pères qui représentaient "la loi" à la maison. Ce n'est pas le "papa poule" ou le "papa copain" mais ils transmet aussi des valeurs. Bien sûr, avec ce genre d'homme, c'était plutôt "marche ou crève", et il fallait franchement s'opposer à lui pour survivre. Mais si vous y parveniez, son éducation vous rendait plus fort.
Heureux en tout cas que le livre vous ait plu.
@Chipette
Bonjour,
Je vous remercie pour cette note et votre commentaire.
J'imagine que c'est la même chose pour tous ceux qui écrivent. Ils espèrent que leur livre va marquer le lecteur, va le poursuivre, qu'il va y penser ou tout au moins qu'en le lisant, il va le faire réagir. Rire, s'émouvoir, s'indigner. Alors si vous avez été bouleversée, donc touchée, j'en suis très heureux.
@hanumanonfire
Bonjour,
Merci pour cette note et ce commentaire. Vous avez repéré la touche d'humour dans le roman. Un peu comme dans la vie qui oscille en permanence entre tragique et comique. Heureux que vous ayez perçu les thèmes que je voulais aborder. C'est toujours un grand plaisir pour moi à chaque commentaire de ce type.
@Claudine L
Bonjour, Merci pour votre note et votre commentaire. Emporter le lecteur dans un univers, même difficile, le temps d'un ouvrage, le dépayser, c'est vraiment gratifiant.
Bien à vous.
@Flop
Bonjour, Merci pour le commentaire et la note. Heureux que vous ayez apprécié cette histoire et passé un agréable moment.
Bien à vous.
@Lepitch
Bonjour et merci beaucoup pour votre note et votre commentaire.
On parle souvent aujourd'hui d'une jeunesse violente, mais il semble qu'elle n'a jamais cessé de l'être. Chaque époque avait sa forme de violence. C'est cette période de l'adolescence qui semble particulièrement passionnée et parfois cruelle. Simplement l'échos médiatique et les réseaux sociaux n'existaient pas et cette époque et ce n'était pas un fait de société.
En revanche, il semble effectivement que ces années aient été le début d'un désenchantement généralisé, qui avec la crise et ses introuvables remèdes, s'est peu à peu mué en défiance.
Bien à vous.
@Alain Musard
Bonjour, Merci beaucoup pour votre note et votre commentaire, notamment lorsque vous écrivez que le livre marque et reste en tête. Quoi de plus gratifiant lorsqu'on écrit que de se dire que l'histoire qu'on raconte va donner à réfléchir ou laisser une impression dans l'esprit du lecteur ? Heureux en tout cas que vous ayez passer un bon moment.
Bien à vous.
@ Laurent Peyrard.
Merci pour avoir donné suite à mon commentaire. J'ai apprécié votre discours. Etant de naturel optimiste dans un monde qui, certes, semble barbare, je recherche toujours dans mes lectures la lueur d'espoir qui permet d'envisager une issue à un drame. Quelle est l'intérêt de la vie sans cela?
@florence BERTHAUD
Bonjour,
Bien qu'il ne me soit pas favorable, merci pour votre commentaire. Vous n'avez pas aimé le livre et comme il est impossible de faire l'unanimité, en proposant l'ouvrage au public, il est normal que j'aie des retours négatifs.
Toutefois, je souhaite revenir sur un point : l'intention que vous me prêtez de choquer.
Il n'en est rien.
Ce livre est indéniablement violent, mais c'est au service du propos.
Il dépeint la violence d'une époque, la violence de notre monde et la violence de l'âme humaine. L'Amour et l'Amitié sont les antidotes, à condition de pouvoir les préserver.
Quant au dénouement, j'ai fait réagir le héros à contre-courant de ce que sont les valeurs dominantes aujourd'hui. Comme l'a souligné MichelZ44, c'est une attitude chevaleresque. J'ajouterai : au sens moyenâgeux du terme.
Bien que vous n'ayez pas apprécié, vous avez quand même noté qu'il était question d'une "société sans repère ni états d'âme" et d'une "violence gratuite". C'est exactement ce que j'ai essayé de dépeindre.
Ce roman se veut un instantané du tournant des 80's. Une période où, selon moi, tout a basculé.
Le rêve d'un monde meilleur dans une société d'abondance (60’s 70’s) cède le pas à une crise économique structurelle et à une violence sociale et psychologique qui iront s'accroissant pour aboutir à un libéralisme sans pitié.
La fin des utopies, le début du règne du "No Futur".
Cette violence qui s’exprime donc ici est logiquement nihiliste, malsaine, stupide, cynique, désoeuvrée et finalement désespérée. C’est l’allégorie de la violence libérale, maîtrisée par les forts, ici les jeunes aisés et les caïds de banlieue. Sans idéal, ils ne savent plus que détruire, se détruire et écraser pour dominer. C’est pour eux l’ultime moyen de se sentir encore un peu vivants, de ressentir encore quelques sensations. Les faibles, la majorité, sont à peine mentionnés. Ils subissent passifs, suivistes, apeurés. Ils ne sont pas assez courageux pour faire corps, changer les choses et mettre fin aux abus.
Quant à celui qui essaie de se dresser contre cet état de fait, qui essaie de porter d’autres valeurs. Quelle chance a-t-il de triompher ?
Bien à vous.
Un récit à l’écriture journalistique au fond dérangeant. Je suis restée spectatrice et non impliquée dans cette histoire du règne d’une violence gratuite pour une société sans repaire ni états d’âme. Le but de l’auteur semble n’avoir été que de choquer…
@Yves Brard
Bonjour,
Merci pour ce commentaire et cette bonne note. Je suis vraiment heureux de tous les commentaires qui trouvent que l'époque est bien rendue. Je l'ai choisie bien sûr parce que je la connais, mais aussi parce qu'elle m'apparaît beaucoup plus débridée dans les esprits que celle d'aujourd'hui où l'on sent que beaucoup de choses sont contenues et ne s'expriment plus, ce qui donne un effet cocotte minute à notre monde. Alors que fin 70's et 80's, on avait plutôt une impression de dilatation, d'outrance, de démesure, peut-être aussi d'approche plus basique des événements et des personnes. En tout cas, ravi que vous ayez passé un bon moment avec cet ouvrage.
Bien à vous.
Bonjour,
Merci beaucoup pour votre commentaire. C'est vrai qu'en plus de l'époque, la ville de Saint-Etienne est aussi quelque part un personnage du roman. J'ai essayé de décrire ce Saint-Etienne de mon adolescence, tel qu'il nous apparaissait à l'époque. Déclinant, un peu tragique, comme le sont devenues beaucoup de villes touchées par la crise, mais extrêmement attachant avec son histoire singulière. Ce passé ouvrier qui en avait fait une ville de tout premier plan industriel et un lieu d'avant-garde syndicale dans la deuxième moitié du XIXème siècle. Et puis, après la Seconde Guerre mondiale, la longue descente avec ses fleurons qui ferment les uns après les autres, victimes de la mondialisation. Puisque vous êtes stéphanois, je vous invite à lire, sinon le recueil entier, du moins le poème que j'ai écrit sur Saint-Etienne dans « Troisième Millénaire à Paris ». L'ouvrage est disponible gratuitement à la lecture sur ce site, sous l'auteur Albanrey Comtes. Bonne lecture.
Tout d'abord bravo, un premier roman saisissant.
Dès les premières pages on est au coeur de l'histoire, on vibre avec l'auteur, une seule envie, connaître la suite et découvrir la fin.
On le lit vite c'est dire l'intérêt de la narration, pour moi c'est un compliment.
Etant stéphanois et d'un âge entre celui de l'auteur et ses parents, je peux garantir la véracité des propos. La région, l'atmosphère de l'époque, les sentiments dégagés par les personnages, tout est bien vrai.
Au delà de l'histoire, ce sentiment de révolte, propre aux années 70 est exprimé avec des mots percutants et un vocabulaire très riche.
On lit le livre mais surtout on le vit.
Bonjour,
Merci pour votre retour très positif et réconfortant, car j'ai conscience que le roman n'est pas forcément facile à aborder, à cause de sa violence et du climat dans lequel il baigne. Heureux que vous ayez passé un moment enrichissant en le lisant.
Bien à vous.
@celia garcia
Bonjour et merci pour votre commentaire.
Effectivement, le langage utilisé est celui qu'on pouvait trouver dans la bouche d'un adolescent de cette époque. Je comprends que ça puisse heurter, mais cette façon de s'exprimer est un élément qui caractérise la violence des protagonistes de l'histoire. Il exprime aussi l'exacerbation des sentiments du narrateur, tout en passion, tout d'un bloc, sans compromission et donc pas du tout dans la mesure. Il aime, il ressent, il agit et réagit. C'est peut-être aussi ce qui vous a plu chez lui. Il est jeune certes, mais il se comporte, comme l'a mentionné ci-dessous MichelZ44, en chevalier.
Quant au coiffeur, je ne suis pas parti de rien, il est inspiré d'un personnage réel. Il ne me restait plus qu'à le décrire.
Bien à vous.
@MichelZ44
Bonjour,
Merci beaucoup pour votre commentaire et votre note.
Vous avez perçu l'essentiel de ce que j'ai voulu faire passer dans le livre et c'est pour moi une immense satisfaction.
Bien à vous.
@Chapon David
Bonjour David,
Merci pour ce retour. Heureux que vous ayez apprécié ce livre.
Bien à vous
@Laurent Peyrad, je l'ai terminé ce soir. Je l'ai trouvé exceptionnel de bout en bout. Merci pour cette lecture et bravo, bien à vous.
@Chapon David
Bonjour David,
Merci pour ce commentaire et très heureux que la première partie du livre vous plaise. J'espère qu'il en sera de même jusqu'à la fin et que les poèmes vous parleront également.
Je vous souhaite une bonne lecture et j'espère également que nous pourrons nous voir en décembre prochain.
Bien à vous
Le Valet de Cœur de Laurent Peyrard est la sélection de juin du Prix Concours monBestSeller et ainsi nominé pour le Prix littéraire qui sera remis en décembre prochain. Retrouvez l'interview de Laurent Peyrard : https://www.monbestseller.com/actualites-litteraire/13147-le-valet-de-co...
Merci pour vos encouragements
@Thierry Vitteau
Bonjour, merci pour votre commentaire et votre note.
L'adolescence avec ses comportements explosifs et ses sentiments exacerbés, est un moment de la vie propice à ce que je voulais raconter. Car j'ai essayé au-delà, de la description d'une époque et d'une jeunesse malsaine, d'écrire un roman chevaleresque. Le héros est selon moi, une sorte de chevalier perdu, qui rencontre l'amour, l'amitié, ce qui le change et l'anoblit. Et puis les épreuves surviennent jusqu'à la dernière. Mais sa réponse, notamment avec l'ultime face à face et la fin, emprunte aux valeurs des samouraïs. C'est aussi pour moi un roman sur le passage à l'acte, le courage, et un questionnement sur les comportements possibles lorsqu'on est confronté au mal.
Le valet de coeur, c'est dans le jeu de cartes, le personnage historique de La Hire ou Etienne de Vignolles, homme de guerre et compagnon d'armes de Jeanne d'Arc.
@lamish
Merci pour votre commentaire et votre critique.
Je commence tout juste à travailler à un nouvel ouvrage et je pense que j'aurai à l'esprit vos remarques.
@Ngarsidi Dapta
Merci pour votre commentaire et très content que vous ayez passé un bon moment.
Salut @Laurent. Félicitations pour ton livre et merci encore pour la lecture! Vous méritez 5 étoile.
@Yvan Ollive
Merci pour ce commentaire et les cinq étoiles, mais surtout, content que ce livre vous ait fait voyager dans le temps, comme une madeleine de Proust, un peu trash.
Mais il faut du talent pour transformer un magma de souvenirs personnels en un roman susceptible de toucher les lecteurs et de tendre ainsi à l'universel. Honnêtement, Roméo et Juliette à Saint-Etienne, il y a plus glamour. Spontanément j'adhère pas. D'ailleurs vos appréciations sont celles de vrais lecteurs, et pas seulement d'auteurs vous donnant 5 étoiles en espérant que vous fassiez de même.
@FCHALASSE
Merci beaucoup pour ce commentaire et cette note.
Pour ce qui me concerne, la part entre la fiction et la réalité est toujours complètement enchevêtrée. La réalité des choses vues, vécues, ressenties, sont en tout cas pour moi, le point de départ, l'inspiration, une sorte de point d'appui, à partir duquel je peux développer la fiction. Une fiction comme un univers de possibles qui ne se sont pas produits dans la réalité.
@Philippe Honoré
Bonjour,
Tout d'abord merci pour votre mot et votre note.
Je suis effectivement parti de choses que j'ai connues, notamment pour restituer l'ambiance de l'époque et l'état d'esprit d'une certaine jeunesse, mais ça demeure globalement une fiction.
Savoir si le livre est lu à Saint-Etienne, franchement je ne le crois pas. Il est confidentiellement autopublié et c'est sur monbestseller.com qu'il a connu la meilleure notoriété jusqu'à présent. J'aimerais bien toutefois qu'il soit lu par des Stéphanois, car la ville est aussi un peu un personnage du livre avec ses quartiers où se déroulent l'action. Comme un pèlerinage pour ceux qui l'ont connu dans ces années-là.
@Agostini François-Xavier @MALZIEU
Merci pour vos commentaires. J'ai effectivement choisi d'inscrire cette histoire dans une époque très différente de celle que nous vivons actuellement. Plus défiltrée.
MALZIEU, Je suis sensible à vos réflexions sur Saint-Etienne. Si vous avez retrouvé la ville de votre jeunesse, c'était également un des buts de ce livre.
"Le Valet de Coeur" est le "Livre le +" du 22 mai. Retrouvez l’article qui vous donnera envie de le lire : https://www.monbestseller.com/actualites-litteraire-conseil/13082-le-val.... N'oubliez pas de laisser un commentaire à l'auteur, c’est pour cela qu’il a publié son roman gratuitement sur monBestSeller.
@fab
Bonjour,
Merci beaucoup pour ce très gentil commentaire.
Heureux que vous ayez passé un bon moment à lire ce livre.
@porphyre
Bonjour,
Tout d'abord, merci pour votre retour. Je suis heureux d'être lu sans complaisance, chose qui est impossible avec les proches.
Concernant la ponctuation, je vous avouerais que c'est la correction qui a été la plus compliquée pour moi. En obtenir une professionnelle est hors de prix, donc, j'ai du me débrouiller seul en faisant au mieux.
Je suis actuellement en train de finir une ouvrage de textes, poèmes et dessins que j'espère publier au plus tôt fin mai et au plus tard en décembre 2020.
Bien à vous