
En ce printemps 2020 l’extraordinaire s’est juxtaposé à notre vie ordinaire. Nous avons connu collectivement une pandémie, un confinement, une pénurie de masques et de tests. Nous avons découvert le télétravail, la télémédecine.
A l’abri des caméras, un drame s’est joué au sein d’un immeuble anonyme, lors duquel un deuxième virus s’est ajouté au Covid, une quarantaine a remplacé le confinement, et la police a dû composer avec la télé-police, l’absence de preuves et de témoins. Néanmoins, l’inspecteur Delvaux n’est pas un inspecteur ordinaire… C’est un sourcier.
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Je suis trop impatient pour le rythme "quai des orfèvres" que vous imposez. Tous ces détails de décors, d’architecture, d’anatomie… s’ils seraient très utiles à une série tv pour planter le décor, perdre le clampin, installer les personnages dans leur rôle, ralentissent à mon sens votre récit. ce qui est dommage, car avec vous, on prend double ration, tirage et grattage ! et non seulement de mener probablement la première enquête confinée, vous inventez une seconde raison d’avoir les chocottes. Bien vu !