
Ceci est une nouvelle ésotérique et humoristique à la fois.
Laurence Dumontier, veuve éplorée, va avoir droit à la totale en recevant une pendule sur la tête. Là, au milieu de ses cartons de déménagement, elle va commencer à coller au plafond avant de s'envoler vers la lumière mais l'au-delà n'est pas de tout repos...
Ce livre est noté par
@Catarina Viti
@Boris Phillips
Dans la catégorie roman, j'ai "La plate-forme" qui vient d'arriver sur MonBestSeller.
@Boris Phillips
Je vous remercie infiniment de cet éloge. Je trouve que le libre-arbitre doit être assumé même si on se retrouve fantôme et que l'on est capable de ne pas s'aimer autant qu'on le croit soi-même pour s'améliorer et se gâter avec une vie meilleure. J'ai des tas de livres qui sont comme des toutous abandonnés sur Amazon et qui se cherchent des bons maîtres qui les emmèneraient chez eux. Ils ne sont pas ésotériques mais peuvent avoir un petit peu d'humour en filigrane, j'ai plusieurs races de chiens pour plusieurs types de maîtres. Je vous invite à leur faire un scrooch scrooch derrière les barreaux et à vous laisser séduire...
@unpetit50
Merci de votre lecture. Eh oui, je n'ai pas voulu que mon personnage profite de toutes les options clé en main avec un peu de travail en plus. Mais si on suit le flot, à la limite, il n'y a plus d'histoire. Sigmund me trouve un bon terrain de jeu. Je suis contente que vous vous assimiliez au personnage. Certaines chroniques ne la trouve pas sympathique, cette veuve. C'est une femme-enfant qui s'éclate plus à jouer avec ses animaux retrouvés qu'à essayer de s'améliorer. Le pire des cauchemars pour moi et d'être séparée de ceux qu'on aime et j'inclus quelques humains dedans rassurez-vous.
@lamish
Merci d'avoir pris le temps de lire cette nouvelle. Ne pas y croire n'est pas important, la morale est que le libre-arbitre doit être assumé. Laurence Dumontier n'est pas très fan de la réincarnation non plus...
Ce pitch est plus émoustillant.
à bientôt.
@Catarina Viti
Merci beaucoup. J'ai changé le pitch. Et j'ai effectivement d'autres tours dans mon sac...
Le fait que je sois née en 1962 implique donc (tic de langage si cela se trouve) qu'on ne s'auto-publiait pas à l'époque et que la seule solution était d'écrire aux éditeurs et que la majorité des mortels dont je fais hélas partie se voyait rejeter. Peut-être aurait-il fallu que j'évoque l'édition à compte d'auteur mais dans ma probité candide, je ne voyais que la voie royale "Frappez, on vous ouvrira." L'édition à compte d'auteur j'y suis venue beaucoup plus tard à un temps récent où le fourbe se cachait sous le nom "éditeur à la demande". Le passage en comité de lecture n'étant qu'une formalité où l'auteur tout fier s'excuserait presque de ne pas vouloir donner plus que les 50 euros pour apparaître (noyé) dans le catalogue de la FNAC mais pas assez dindon pour payer la couverture puisque il pense savoir dessiner et, en tout cas, assure la relecture de son chef d'oeuvre (méconnu) qu'il a retrouvé avec émotion sur Amazon, l'éditeur chouchoutant avec amour pour plusieurs dizaines d'années les 45 centimes d'euros qu'il lui doit, le plancher étant de 15 euros je crois. Ce grand visionnaire d'éditeur a su l'exact nombre de copies à éditer pour alimenter la famille et les amis (tout le monde a au moins 20 personnes autour de soi en grattant un peu). Mais je ne voulais pas déflorer trop vite le sujet. J'écris depuis 1984, je suis éditée depuis 2012 et j'attends avec impatience la vingtaine d'années supplémentaires où je serai lue avec succès....