
Arthur est un déclassé solitaire d’une banlieue crasseuse d’une ville sans nom. Il se laisse pousser les ongles et les taille en pointe, ce qui est pratique pour couper la gorge du passant qu’il croise. Mais son point faible, c’est Toutou, le petit lapin qu’il élève sur le toit de son immeuble, et devant qui il danse chaque fois qu’il vient remplir sa mangeoire. Petit problème: au cours d’une de ses sorties, Arthur s’égare dans un coin de la ville qu’il ne connaît pas, et qui ressemble fort aux beaux quartiers... Le choc entre les deux mondes sera rude, et constitue la moelle sanguinaire, drôle et cynique de ce conte noir de 170 pages.
Ce livre est noté par
@Michel T
En effet ce ne doit pas être facile (je parle de la guitare). Bon, ça facilite peut-être aussi l'accès à certains effets, je n'en sais rien, je n'ai jamais essayé, ni la guitare ni les ongles... En tout cas merci Michel pour vos étoiles et votre commentaire.
Pour commencer, chère @BertheC, un grand merci pour votre commentaire. Ensuite, je trouve que votre analyse (qui fait un détour surprenant par l'impressionnisme autant que le surréalisme) est très juste, sachez que cela me touche...
C'est moi qui vous remercie, @Alainnova, pour votre commentaire sympa et vos petites étoiles, tout aussi sympa!
Merci @Franck Papasidero pour votre message!
Surprenante lecture du début à a fin...
@Agostini François-Xavier
Thank you so much FX pour vos encouragements et vos cinq shooting stars, ça fait plaisir!
@Cécile Labate
En tout cas, vous n’êtes pas restée indifférente, et posez des questions intéressantes relatives à l’articulation de la forme et du fond. Perso, je crois sincèrement que la forme est intrinsèquement liée au fond, ici comme ailleurs. Merci Cécile pour votre commentaire.
@Charlie Fabre
Cela me fait vraiment plaisir d'apprendre que vous avez lu mon texte d'un seul trait. Cela veut dire que j'ai réussi à captiver votre attention sans relâche, et ça c'est énorme. Merci Charlie!
@Catarina Viti
Merci Catarina de m'avoir tenu au courant du sort de mon bouquin. Remettez mes salutations à Monsieur Viti, et dites-lui aussi que je suis ravi que cette lecture lui ait plu, extrêmement ravi de me sentir compris! Bien à vous deux depuis les brumes du nord...
Merci Amazon,
votre livre est déjà arrivé !
.... mais je me le suis fait chourer par "monsieur Viti".
Vous avez un fan de plus. Il a plongé direct, et il partage ce que je vous ai déjà dit : chaque pavé fonctionne comme une sorte d'idéogramme qui fait surgir une image, et le tout est parfaitement construit.
Et l'histoire lui a beaucoup plu (si vous saviez à quel point il est sévère!)
Comme ce n'est pas demain la veille qu'on le verra devant un clavier/écran je vous adresse de sa part les *****
Je l'ai lu à voix haute car l'harmonie des sons et du rythme est excellente, et j'apprécie toujours cela mieux en lisant à voix haute. J'ai été impressionné, bravo encore.
@Chapon David
Votre commentaire me fait grand plaisir, et à plus d'un titre. Que vous voyiez dans mon texte une unité d'abord, un tout, où la forme et le fond sont inséparables et où l'un complète l'autre. Que vous ayez lu des passages à voix haute aussi, cela me touche, mais j'ignore pourquoi. La scansion sans doute. En tout cas, j'aurais bien aimé être là. Merci David!
……………….................Donc,
…………….........si je suis votre
………….....raisonnement, mon
……….....commentaire pyramidal
……devient visuel par sa seule forme,
même si son contenu est neutre, inerte.
J'aurais bien ajouté "insipide", mais ça aurait gâché la forme :-)))... Je vous chine, bien sûr ;-). Je vise seulement à vous faire toucher du doigt que, si votre écriture est visuelle, c’est par votre art d’assembler des mots créateurs d’images. Qu’elle se lise sous forme de lignes, de pyramides ou de cubes, format que vous avez élu, les images sont là… D’où mon petit tacle ;-). Bonne soirée, Sol. Amicalement, Michèle
PS : suite de mon commentaire d'hier.
Ce qui me plaît dans votre formule c'est son appel à l'imagination (au sens fondamental de créer des images). Comme je l'avais mentionné dès le départ : peut-être que votre œuvre s'adresse en priorité aux personnes très entraînées à la visualisation.
Pour moi, chacun de vos micros-textes est une espèce d'idéogramme, et les créer me semble vraiment complexe et certainement pas à la portée de tout le monde (en tout cas, pas à la mienne/je crois/ snif-snif/ il faudra que j'essaie/) car non seulement chaque "bulle" a un signifiant, mais la totalité relève d'une composition extrêmement rigoureuse. Je suis persuadée qu'il faut maîtriser l'art de le BD pour réussir l'exercice.
J'ai vraiment hâte de recevoir la version papier.
Un, parce que, pour moi, derrière votre texte il y a l'espace graphique que l'écran ne peut pas rendre; l'espace de la forme, de l'emplacement, de la prise de place, justement. Avec vos capitales d'imprimerie, vos gras, au moment opportun. Rien de tout cela n'est anodin.
Deux: parce que je veux expérimenter le truc sur mon mari (allergique aux écrans), avec son sens du rythme et sa formation Beaux-Arts, je crois qu'il peut vraiment regarder cela avec un œil expert.
Et, voici en fait la justification de mon PS : j'ignore si le concept existe déjà, mais si vous pensez être l'inventeur, alors vite, vite, vite, vous devriez penser à lui donner un intitulé copyrighté.
@Kroussar
Un grand merci Kroussar pour votre commentaire, votre analyse et votre bravo!
@lamish
Je vous remercie Michèle pour votre opinion, qui, même si vous n'accrochez pas, fait quand même preuve de générosité, sans quoi vous n'auriez pas pris la peine de la manifester. Permettez-moi juste d'ajouter que, si j'écris de cette manière, ce n'est pas par opportunisme, mais parce que cela a du sens. Le même texte traduit dans une forme classique perdrait peut-être de l'intérêt, certes, mais ça n'aurait justement aucun sens, car le texte est né comme ça, sous cette forme-là. La forme classique n'a rien d'un absolu qui permet de cautionner la valeur d'un texte, enfin c'est ce que je pense... Bien à vous.
Bonjour Sol. J'avais déjà survolé votre précédente mise en ligne sans vraiment accrocher avec votre style télégraphique qui, s'il m'avait interpellée le temps de quelques pages, m'avait vite lassée. Malgré cette première mauvaise impression, les récents commentaires laudateurs récoltés par cette nouvelle mise en ligne m'ont incline à passer outre... Mais toujours pas de coup de foudre, désolée... Je ne peux m'empêcher d'imaginer votre texte sous forme classique, ce qui lui ôte bien vite intérêt et valeur "littéraire". J'ai eu l'occasion de lire beaucoup mieux dans ce style cash, épuré. Ici et ailleurs. Quant à la forme, pas de révélation non plus. Elle transpire une forme d'opportunisme anticonformiste que j'abhorre d'autant plus lorsqu'il a été exploité deux fois... C'est ainsi, c'est mon ressenti, mais quelque chose me dit qu'il ne vous touchera pas ;-). Merci pour ce deuxième partage et bonne fin de journée. Michèle
@Catarina Viti
Savez-vous, Catarina, que vous avez été la première à commenter l'Eclat de Verre? Quelle n’est donc pas ma joie de recevoir, de vous à nouveau, un premier commentaire pour ce texte-ci. Ravi aussi d'apprendre que cette lecture vous a exalté, pour reprendre vos mots, qui à leur tour m'exaltent, car écrire, c'est une expérience intérieure pour commencer, mais qui se partage pour continuer, et ça c'est exaltant, mais oui, car c'est comme écrire une seconde fois. Comme vous I am happy. Yohàà! Merci Catarina.
@la miss 5
Un grand merci La Miss pour votre petit mot, d’autant plus réjouissant que vous n’êtes pas du genre à commenter sous anesthésie. Brèfle, je savoure!