
Des petits bouts de chemin, des promenades au fil de l'imagination, des pistes à prolonger, qui sait ?
De quoi voir un peu d'un autre pays mental.
De quoi, peut-être, se changer un moment les idées ?
@Bruno Guennec @Blanchet Rachid
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Merci pour vos messages, les gars ! Je vous réponds à la hâte, car je suis à l"heure actuelle encore pris dans les charmes et les lianes d'Angkor. Lors des pauses, je parcours vos écrits ainsi que ceux de votre pote Serge Tabard. De retour chez moi, je lirai le vierge, relirai le parcouru, et vous dirai mon ressenti ensuite. Pour l'heure, et en revanche sans attendre, je vous passe déjà mon amical bonjour et mes pensées les plus confraternelles en l'écriture.
Votre Georges/Saint-Bleyras
Merci à vous, Georges / Saint-Bleyras !
Le goût des pseudos, ce n'est pas faux :-)
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Je pense que vous adoreriez Les *Contes cruels* de Villiers de Lisle-Adam. Pour Queneau, je pensais surtout aux *Exercices de style* car vous proposez deux versions d'un même récit. Mais il y a aussi un côté onirique dans *Zazie dans le métro*.
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En tout cas, je suis heureux de partager avec vous l'amour de la littérature, qui entre dans la construction des hommes et des femmes, comme vous l'avez vécu.
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Je ferai attention aux figures compensatrices de l'angoisse, quand j'aurai le plaisir de lire un nouveau texte signé de votre plume. A très bientôt alors. Bruno
@Bruno Guennec
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Décidément, je trouve que vous commentez mes textes avec finesse et pertinence. Je veux dire que je m'y retrouve. Edgar Poe, le Meursault de Camus, j'entends (je connais moins Villiers de Lisle-Adam et Raymond Queneau) et ils ont compté dans ma propre construction, littéraire et personnelle (car il y a des passerelles entre l'un et l'autre aspect, à mon avis : et, parfois, "l'homme qui fait des vers" n'est-il pas proche de celui "qui cause dans un salon" ?).
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L'angoisse, oui. Maintenant, l'écriture peut-elle être "un paravent contre l'angoisse" ? Sans jouer sur les mots, je dirais, qu'à mon sentiment, écriture et angoisse sont partenaires chez moi. L'angoisse fertilise l'écriture, et l'écriture apprivoise l'angoisse.
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Les figures inversées (compensatrices) de l'angoisse entrent aussi en ligne de compte. Mais ce sera pour une autre fois si vous le voulez bien. Votre goût pour les pseudos m'évoque Kierkegaard, qui s'y connaissait en matière d'angoisse...
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Voir mes textes commentés avec cette qualité par vous m'est encouragement, plaisir et réconfort.
Merci à vous, Bruno, et sans doute à bientôt.
Georges / Saint-Bleyras
@Kroussar
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Cher Jean-Claude,
Merci pour ces informations. Dans le bouquin de Bizot, les péripéties dramatiques à l'ambassade m'avaient frappé. Votre propre attitude me plaît et va me conduire à lire votre témoignage prochainement.
Bonne journée à vous,
et cordialement !
@Saint-Bleyras
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Cher Georges, vous recommander mon témoignage serait un excès d’orgueil de ma part !
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François Bizot et François Ponchaud, ainsi que d'autres, étaient présents avec moi dans l'ambassade de France de Phnom Penh lors des terribles événements d'avril 1975. Les deux François ont été décorés à condition qu'ils ne disent jamais ce qui s'était réellement passé... J'ai refusé la décoration, refusé de me taire, et j'ai dû payer un lourd tribut pour tout cela...
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Cordialement.
@Kroussar
Merci pour votre commentaire et pour les étoiles, heureux du très bon moment de lecture que vous avez eu.
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Il y a une dizaine d'années, un collègue m'a recommandé puis offert un livre de François Bizot , "Le portail". Je l'ai lu et par la suite acheté puis, faute d'avoir pris le temps de le lire, donné un autre livre de François Bizot, "Le silence du bourreau".
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Sans doute lirai-je votre "Cambodge - la Longue Quête". Me le recommandez-vous ?
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Cordialement,
Saint-Bleyras
@Saint-Bleyras
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"Comme je n'avais pas le choix dans la date", je n'ai pas pu lire votre livre avant aujourd’hui.
Merci pour vos balades, vraiment... Un très bon moment de lecture.
@Agostini François-Xavier
Merci pour votre commentaire. Je vois qu'autour de la lune il y avait quelques étoiles dont vous avez fait une généreuse et encourageante, en effet, moisson pour moi.
Vous êtes un soleil numérique inespéré, le Phébus digital des commentaires libres comme vous et moi ! Merci !
@Lereverdy
Merci beaucoup pour votre commentaire, élégant, sobre et précis. Juste, en un mot, à mes yeux. Merci pour vos félicitations qui m'encouragent à poursuivre dans cette veine qui s'avère être la mienne. Celle dans laquelle je me sens à ma place, en mon lieu, quand j'écris en elle.
Bonne journée à vous, Laurent Lereverdy.
@Lereverdy
Le cours de ces Promenades nous emmène dans des instants croqués tantôt dans un rêve fugace, tantôt dans un autre cauchemardesque, c'est selon, et en apparence sans queue ni tête, ce qui nous laisse pantois et sur une fin inassouvie. N'est-ce pas le propre du rêve? Ecrit dans un style épuré et donc agréable, il m'a autant intrigué que plu. Je vous en félicite.
@ Omen-Cy Ouongo
Merci pour votre commentaire sympathique et succinct. Les couleurs de votre photo m'évoquent un peu celles de ma couverture !
@palfroy
Merci pour votre "note" et votre commentaire !
Oui, c'est vrai que l'idée d'une écriture en forme de cadavre exquis, avec toutefois cette différence majeure que ce qu'a écrit le précédent auteur est connu du suivant, me plaît. Pour que soit aérée une certaine emphase à l'égard du fait d'être auteur. Et parce que les soubassements enfouis qui ont amené l'auteur précédent à écrire ce qu'il a écrit (et non autre chose) restent, eux, inconnus du suivant. Ce serait exquis !
Votre commentaire ne manque pas de cœur, Rodrigue, ni d'esprit, et je vous en remercie. En fait, il m'encourage à publier d'autres textes, disons du même tonneau. Qu'écrire me vienne dans cette veine, c'est une chose, que certains lecteurs apprécient un tant soit peu, c'en est une autre, précieuse, quand même ! car, sinon, à quoi bon publier ?
Vos bravos sont les bienvenus, RodrigueHatu, merci !
@ la miss 10
... la même erreur de touche.
D'accord pour ne pas "aplatir par une interprétation prosaïque les fantasmagories surréalistes de l'inconscient".
En revanche, je veux me laisser travailler par ce que j'écris. Publier dans MBS me permet cela, il n'y a pas de critères éditoriaux qui entrent en ligne de compte.
Mais , bien sûr, si quelqu'un, sans interpréter (ça me revient) repère et me communique des invariants, des constantes, des lignes de force qui se retrouvent, ça peut m'intéresser. C'est un aspect possible de la publication chez MBS, les retours.
Bonne soirée !
@ la miss 10
Je vous reçois 10 sur 10 (sans jeu de mots), et vous mettez dans le mille. "Comme des morceaux de rêves échappés au sommeil", c'est bien ce que je recherche, pour les travailler et être travaillés par eux. Et votre référence à Jung est très pertinente, vu le rôle que ses écrits ont tenu dans mon évolution personnelle. d'
@lamish
Merci, c'est ce qui me vient d'abord. C'est une satisfaction d'être lu et d'avoir apporté un certain plaisir. Vous entrez bien dans mes textes un rien (!) dépaysants et votre compagnie m'enchante ! Votre commentaire me fait plaisir, il touche juste et me donne presque le sentiment d'avoir écrit ce recueil avec vous !
Merci Michèle et bonne soirée, bonne suite. A la revoyure !
Amicalement à vous aussi,
Saint-Bleyras
Quand j'ai lu "L'Idiot", de Dostoïevski, j'ai nettement eu l'impression qu'il parlait de moi avec son Prince...
"PROMENADES" est le "Livre le +" du 26 mars. Retrouvez l’article qui vous donnera envie de le lire : https://www.monbestseller.com/actualites-litteraire-conseil/14610-lire-e.... N'oubliez pas de laisser un commentaire à Saint-Bleyras, c’est pour cela qu’il a publié son recueil de nouvelles gratuitement sur monBestSeller.