
Un livre écrit à trois voix : deux femmes, un homme.. Une femme,Liviane,,que tout terrorise bravera néanmoins ses peurs pour aller secourir son frère Adrien emprisonné au Cambodge pour avoir dénoncé dans un film sur les oiseaux la détresse de pêcheurs du Mékong réduits à la misère car les 10 barrages chinois en amont bloquent la migration des poissons. Les épreuves l'ouvriront à l'amitié d'une famille cambodgienne survivante du génocide, d'une jeune femme engagée dans le combat contre la pédocriminalité et les mines anti-personnel, et d'une Eminence grise introduite dans les milieux du pouvoir. Résilience, humour et allégresse sont présents tout au long d'un récit au terme duquel Liviane se se laissera plus emprisonner par ses peurs. Elles ne l'empêcheront plus d'agir.
Ce livre est noté par
Un réel travail.
les étoiles ne marchent pas vous imaginez que je vous en donne 5!
et je n'ai pas assez mentionné votre humour toujours à propos,ouah!
Good
Belle plume ... Une écriture maîtrisée qui vous permet une lecture fluide et agréable.
Je n’ai pas retrouvé le charme de vos précédents romans qui m’avaient emballés… Le prologue est tout de même assez anti sexy ! et je n’ai pas perçu l’humour (belge ?). Sans doute la manière dont vous vouliez aborder le sujet à travers cette vielle fille nécessitait ces longues narrations, mais avez-vous pensé aux jeunes femmes vous lisant ?:)
@Kroussar. Merci de m'avoir lu si rapidement et jusqu'au bout. Un roman mêle faits réels et faits imaginaires. Ne nous méprenons pas: il est avant tout un roman d'amour pour le Cambodge et c'est pourquoi j'alerte les lecteurs sur ce qui le menace: les conséquences catastrophiques des barrages sur la faune, la flore et les riverains du fleuve qui vivent de la pêche ou de la riziculture. J'ai aussi eu à coeur d'exalter l'amour et l'amitié entre homme et femme, frère et soeur, parents et enfants dans des circonstances parfois tragiques.
Je suis allé au Cambodge et pas en touriste. J'ai des amis cambodgiens là-bas et ici. Ce qui ne m'empêche pas sans doute de faire quelques erreurs dans le détail du costume du personnel pénitentiaire.. Est-ce si grave? Je serais heureux lors de mon prochain voyage de vous avoir pour guide et que nous puissions confronter amicalement nos points de vue.
@Kroussar. Merci de m'avoir lu si rapidement et jusqu'au bout. Un roman mêle faits réels et faits imaginaires. Ne nous méprenons pas: il est avant tout un roman d'amour pour le Cambodge et c'est pourquoi j'alerte les lecteurs sur ce qui le menace: les conséquences catastrophiques des barrages sur la faune, la flore et les riverains du fleuve qui vivent de la pêche ou de la riziculture. J'ai aussi eu à coeur d'exalter l'amour et l'amitié entre homme et femme, frère et soeur, parents et enfants dans des circonstances parfois tragiques.
Je suis allé au Cambodge et pas en touriste. J'ai des amis cambodgiens là-bas et ici. Ce qui ne m'empêche pas sans doute de faire quelques erreurs dans le détail du costume du personnel pénitentiaire.. Est-ce si grave? Je serais heureux lors de mon prochain voyage de vous avoir pour guide et que nous puissions confronter amicalement nos points de vue.
Dommage que vous vous dispersiez autant, beaucoup trop de digressions, et de nombreux clichés... Ce qui me laisse à penser, que votre connaissance de mon pays se limite aux annonces des médias en quête de sensationnel, ne manquant jamais une occasion de monter en épingle quelques faits divers.
/n
Oui ! Dommage, car il y aussi de bons moments, qui m'ont incité à vous lire jusqu'au bout. Après tout, ce n'est que mon avis...
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Alors, je vous invite à venir visiter mon pays, je vous guiderai. Ainsi, vous pourrez comprendre que vos affirmations et vos clichés sont décalés, d'au moins VINGT ANS. Vous pourrez ainsi compléter vos connaissances.
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Et je vous fais grâce de toutes vos erreurs, il y en a beaucoup. On les mettra sur le dos de la "licence littéraire". Elle a bon dos...
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J'hésite a vous donner une note, je dois prendre un peu de recul, afin d'éviter de faire des amalgames entre mes sentiments et la valeur de votre plume. Alors à bientôt. Cordialement Kroussar.
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PS : permettez-moi de prendre quelques exemples. J'ai l'impression que vous n'avez jamais visité une prison khmère. Moi, si ! Et plusieurs même, pour essayer de défendre l'indéfendable, ces Français qui abusent trop des drogues et des jeunes enfants.
Mais, revenons à votre roman. Ce que vous appelez l'heure de la promenade (en référence aux prisons Occidentales) est ici, l'heure du sport ou de la décontraction. Les détenus peuvent jouer au volley-ball, courir, fumer... De plus, ni les policiers, ni les militaires ne portent de Képi au Cambodge, et aucun gardien de prison ne revêt pantalon blanc et chemise bleue.
Par ailleurs, les interrogatoires ne se pratiquent pas en prison. Mais dans les locaux de la police. Donc, impossible d'entendre les cris des détenus, torturés pendant les interrogatoires... Et puis les seuls bruits de haut-parleur ne peuvent être que ceux du temple voisin et en aucun cas des discours du Premier ministre sur les bienfaits de son gouvernement. Mais bon, je dis ça, je ne dis rien.