
Un constat, au départ de ce projet d’écriture : l’impression, lorsqu’on raconte ses souvenirs à ses proches, que ce n’est pas le moment, qu’on verra plus tard, la peur sans doute d’entrevoir la fin d’une vie. L’impression pour le narrateur de se censurer, en ne racontant que des anecdotes simples où on rit, de préférence, mais qui ne reflètent ni sa personnalité, ni son parcours ni les émotions ressenties au travers de rencontres, les épisodes où il ne fut pas toujours à son avantage. Alors on prend la plume, on adopte un style qui évite de trop tomber dans le pathos ou la justification et on est surpris de constater les réactions : « tu ne nous avais jamais dit tout cela ».
Ce livre est noté par
@D-G-M Roualland
Merci pour votre commentaire
Le père, la mère et le journal du matin... "Les trois à la foi", en quelque sorte....
Originales ces vignettes: le père, la mère , le journal du matin et bien sûr le dernier voyage; avec la structure para-poétique des textes.
D-G-M Roualland
@Palamède
Merci pour ce conseil avisé. j'ai suivi votre conseil ! Cordialement
Une chose est sûre, vous avez écrit votre synopsis en espérant que personne n’ait plus envie de vous lire, ou alors, vous l’auriez écrit différemment. Et si vous voulez mon avis, vous devriez y jeter un œil et donner à votre texte une seconde chance, cela serait mérité ! Car vos billets courts, donc bien pensés, synthétiques, auxquels vous avez enlevé tout le superflu sont brefs, toniques. Et ça m’a rendu curieux.