
Et si le Boléro, l'une des œuvres classiques les plus jouées dans le monde était la plus grande imposture de l'histoire de la musique ?
Et s'il n'avait pas été écrit par Maurice Ravel mais par Robert Gourgues, un obscur compositeur basque ?
Cette information changerait-elle la face du monde ?
Peio, Hugo et François, 3 trentenaires déclassés qui ont découvert la supercherie, un siècle plus tard, se battent ardemment pour rétablir la vérité....
…à moins qu'il ne s'agisse d'une vaste fake news destinée à détruire le mythe que beaucoup jalousent ?
Ce livre est noté par
Bonjour @jbtanpi
Un grand merci pour votre belle critique. Je suis très heureux que vous ayez apprécié et trouvé le propos original. Si cela a pu vous rappeler un peu de la musique que vos parents écoutaient, j'en suis ravi également. Je prends note de vos conseils.
Amicalement
Jérôme
@Mondebeau
Gourgues a découvert le boléro en rêve.
Ravel le lui a subtilisé :)
belle journée
Jérôme
Ravel à découvert le Boléro en rêve.
Bonjour @Marie Declèves
merci pour votre beau commentaire très encourageant qui me va droit au coeur.
Je suis assez d'accord avec vos critiques sur mes personnages, ils pourraient être plus sympathiques. Votre idée de fin est intéressante, j'ai hésité à suivre cette voie pour tout dire mais peut être faut-il que je reconsidère la chose ?
Je suis très heureux que vous ayez aimé ce livre malgré certains défauts.
Je vais réfléchir à vos suggestions et le retravailler éventuellement.
Merci encore pour votre retour franc et précis.
Amicalement
Jérôme
Le thème est original, c’est bien écrit, le ton est léger, humoristique et le rythme est parfait. Tout est réuni pour un roman exceptionnel… Cependant, les personnages principaux ne sont pas franchement sympathiques : de jeunes nantis, voire profiteurs, décident comme dans « Les Copains » de Jules Romains de créer une énorme fumisterie.
Le sujet est génial, étayé par de super connaissances en solfège et en histoire de l’art. La fake news avant l’heure tourne mal, le canular de départ cherchant à se moquer d’une société bourgeoise basque friquée et inculte devient une légende incontrôlable qui échappe à ses créateurs.
Cette mystification tient formidablement le pavé. Dommage que la fin, en happy end à l’américaine, clôture le récit d’une façon si classique…
Peut-être aurait-il fallu, mais ce n’est qu’une suggestion, qu’après avoir tiré les leçons de ce premier ballon d’essai, les héros envisagent de se lancer dans un nouvel épisode de leur créativité destructrice (littérature, peinture ou toute autre activité artistique) ! Rien ne semblant pouvoir leur résister.
Bonjour @Raphaël M, merci pour ce premier retour et cette première note encourageante.
Pourriez-vous préciser les personnages qui sont des clichés à vos yeux et les conventions dont vous parlez afin que je puisse mieux comprendre votre retour.
Merci et bonne continuation
Amicalement
Jérôme