
Le racisme des africains envers les français d’outre-mer, cela vous dit quelque chose ? En avez-vous déjà entendu parler ou même avez-vous déjà été témoin de ces scènes démentielles ?
Cette histoire prend ses racines en Seine-Saint-Denis (93) en région parisienne, ou je vais vous raconter mes pires péripéties. Née en Martinique, et venue me soigner en Métropole, je me suis retrouvée à l’âge de 7 ans dans l’une des pires zones de guerre de ma vie, ou la guerre n’était non pas, avant tout physique, mais psychologique.
Ainsi, ce qui devait-être un passage éphémère et une aventure colorée de rencontres, dans un pays du nord, s’est avéré être un cauchemar bien éveillé.
Comment passer d’un paradis imaginaire à un enfer bien réel ?
Réponse : lisez donc "Psychologie du couteau" !
Ce livre est noté par
@glendaline. J'ai apprécié ce livre. Il y a des corrections à faire. Nul n'est parfait n'est ce pas ?
J'espère que ce livre permettra à certaines personnes de réfléchir sur ce que peuvent endurer des jeunes qui sont amenés à changer de pays. C'est très bien d'avoir pu mettre cela sur papier, car tout le monde n'en est pas capable. Continuez et persévérez.
Bonne continuation !
J’ai été curieuse de lire votre témoignage, rare en effet de l’aborder sous cet angle. Je suis bien incapable d’émettre un avis sur le fond, sur la réalité de ce que vous contez, mais en revanche, sur la manière, la forme, j’ai trouvé que c’était dommage que vous ne l’ayez pas un peu plus soignée. Virgules inutiles ou au contraire manquantes, alternances bizarres de langage parlé ou au contraire de dissertations un peu longuettes, situations à peine introduites avant même de passer à une autre… Bref, je trouve que c’est un vrai sujet qui mériterait un peu plus de rigueur pour saluer votre travail, votre témoignage.
@Glenda Glinis
Comment j’ai compris ce récit ?
Comme un témoignage, celui d’une confrontation entre deux mondes.
Celui d’une petite fille qui débarque de l’étranger (au sens large), mal dans sa peau, à la santé et à la psychologie fragile, très introvertie, naïve, rêveuse à l’excès, surprotégée par sa mère.
Et un monde hostile, celui de gamins défavorisés qui sont nés et ont grandi dans des banlieues multiculturelles, celles du 9-3, qui tentent de s’affirmer, de survivre, de dominer les autres, en formant des gangs qui ont leurs propres codes, liés aux origines de leurs parents : les africains, les arabes, les antillais, etc., et malheur à celui qui ne s’intègre pas dans le moule.
Et puis les adultes, les profs surtout, qui, en l’absence des parents, jeunes, mal formés, ignorants des races, des langues et des cultures, tentent de faire régner l’ordre dans leur classe, d’asseoir leur autorité, et bien sûr s’en prennent aux plus faibles, ceux sur qui ils ont encore prise !
Je n’ai lu que les premiers chapitres, je me suis arrêté aux descriptions de la coiffure des cheveux : des pages et des pages de redites. On se dit mais qu’elle se les fasse couper un bon coup et qu’on passe à autre chose ! Je sais, c’est cruel.
On touche ici au principal défaut du récit : on est encore trop près des évènements, il y a une trop grande accumulation et répétition de détails, la mémoire n’a pas eu le temps d’effectuer son travail éliminatoire. Tout est sur le même plan, sans analyse.
Sans vouloir faire de la victime une coupable, il faut malgré tout faire un travail d’introspection : pourquoi le monde, aussi bien les adultes en Martinique que les camarades et les profs en métropole m’en voulaient/veulent tout le temps à ce point ? Est-ce lié à eux seulement, à la méchanceté intrinsèque du monde, ou bien en partie (une infime partie) à moi, à mon comportement ? Où est la faille ?
MS