
Nouvelle édition : 28/05/2022
DOLORIS
Le roman dissocié d'un écrivain hanté.
Douleur, déliquescence, dissociation exigent du lecteur peu armé qu'il dirige ses pas en arrière.
"Non content de nous faire entrer dans leurs têtes, vous nous faites devenir eux" (D. Jade)
"Il y a une vraie création, c'est grave, c'est tragique, et du coup c'est extrêmement vrai et réaliste" (R. Blanchet)
ENFER NATION
Satire au cœur du pouvoir et de Pigalle
"Très hilarant, casting top !" (MartinM)
"Férocement drôle et parodique (...) d'un noir lyrisme, original et prophétique, dense et visionnaire" (R. Blanchet)
RICOCHETS - "Livre le +"
22 nouvelles du couple
"Des univers qui s'imposent tout de suite" (LadyAutrice1800)
"Du jamais lu, du réalisme halluciné, du sobre lyrisme" (B. Guennec)
Ce livre est noté par
@Lucas Belmont
Je suis vraiment très touchée de cette délicate attention ! Mille merci pour le téléchargement possible qui rend la lecture bien plus aisée. Je sais ce que je vais relire le week-end prochain ! ;-D
@Malik Panafoué Que répondre à ce commentaire qui vient couronner une décennie... merci, avec émotion...
@LadyAutrice1800 J'ai gardé sur mBS la page de ”Doloris” pour vous rendre hommage... comprendront ceux qui visiteront cette page :)
Elles sont revenues ! Et la totale d'un coup ! Un beau plaisir de relecture en perspective... Merci.
@Explore Merci pour votre commentaire qui m'a touché, mais j'ai bien peur d'assombrir votre journée avec les nouvelles suivantes :) Bonne continuation dans votre lecture...
@Lucas Belmont,
Je viens de lire « Le chien ». À chaque ligne, je ressens l’émotion du moment. L’ambiance de l’histoire est si vraie, si présente. Les doutes, les regrets, les attentes sont bien décrits. Quand la rencontre se fait avec le chien, l’amour prend la place et chasse tous les autres sentiments. L’amour c’est souvent la réponse.
Merci monsieur Belmont.
@Guennec Bruno Merci beaucoup Bruno... à mon tour de conseiller un livre : votre "Thérapie du silence", puissante et aboutie @Catarina Viti Merci de votre nouvelle lecture. Vous avez raison de distinguer ce mode opératoire:) l'imparfait, ce temps retrouvé qui s'étire en langueur... tragique en effet, et si plaisant à l'oreille...
Je viens de relire la première d'un trait : "le chien".
Merci de rappeler que la simple utilisation de l'imparfait (quand elle est bien calée) est un élément de la tragédie.
Wonderful, my chum !
Faisons péter les autolimitations !
Démythifions !
Perfusion à tous les étages et percolations simples !
Hourrah !
Soyons fous !
Go ! Go!! Go!!!