
Marius essaya bien de se décaler légèrement, mais de longs cheveux sombres caressaient déjà sa joue, une haleine de raisins fermentés traversa ses narines puis les bras démoniaques enlacèrent sa nuque, deux lèvres humides s’écrasèrent sur ses lèvres. Marius ferma les yeux, but toute la volupté sortie de la bouche sensuelle. Le baiser fut long, très long dans le silence de la ville, juste le bruit léger du ressac sur le rivage, un peu aussi le bruit du ressac sur les bouches.
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Il y a une espèce de naïveté étonnante dans cette histoire. Il y a un côté sympathique, simple, une vie tranquille, on voit bien que le diable arrive, mais il y a une psychologie tellement simple que j’ai du mal à croire à ce que je lisais. C’est dommage, car vous avez une écriture très visuelle, on est dans les situations que vous décrivez, mais il y a quand même un peu trop de naïveté !