
J'ai écrit cette fantaisie érotique en m'inspirant très largement de confidences de collègues de travail (fonctionnaires) et un peu de mon expérience personnelle, en corsant à la marge 2 ou 3 passages (comme l'anecdote de la vitre du bureau). Donc, de l'authentique à 90 %.
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Dans l'érotisme, il serait question d'évocation, d'exaltation de l'acte charnel. Selon le dictionnaire, c'est la présence de détails obscènes qui conduirait à la pornographie. Dans cette nouvelle qui relate des faits réels, ce que j'ai voulu évoquer, c'est la cocasserie de certaines situations que je relate fidèlement. Les actes sexuels sont évoqués sans détour certes, avec réalisme, mais sans insistance non plus. Je pense donc me situer davantage dans l'érotisme que la pornographie. Le sexe au boulot n'est pas nécessairement honteux ou choquant dans le cadre d'un consentement mutuel sans ambiguïté.
@almumine Painsec. Mais encore ?
Ce qui, à mon sens, rend l'érotisme (ou la pornographie - je ne suis pas bégueule) consommable, c'est d'abord l'écriture. Ici, nous en sommes bien loin.