Après quarante ans, Louise retrouve Marie-Odile en surfant sur Google. Si Louise est passée à côté de sa vie, Marie-Odile affiche une éclatante réussite. Cet étalage de succès personnels et professionnels réveille les vieux démons de Louise et ses souvenirs d'enfance de La Bambolina : une maison commune dans laquelle cohabitaient des familles de prolos, des pêcheurs napolitains, à la rescapée des camps de concentration, en passant par l'ancien mineur de fond crachant ses poumons. La classe ouvrière qui allait directement au paradis, et que le père de Marie-Odile, Pierre Altier, promoteur mafieux, a détruit pour construire une Résidence de Luxe. Louise sait que derrière la belle image que Marie-Odile donne de sa vie se cache une réalité bien différente : mensonges, combines et meurtres.
Chère @Marlejo. Je suis ravie d'apprendre que cette novella vous a fait passer un bon moment de lecture. Mille mercis pour avoir eu la gentillesse de me le faire savoir. Je vous souhaite de nombreuses belles découvertes sur le site. Soyez la bienvenue.
@Kate Oliver. Eh oui, on ne peut être une vengeresse si l'on n'a la dent dure... Entre nous, j'aime bien créer ces personnages aux antipodes du wokisme.
Dans la "vraie vie", Louise est passée depuis longtemps à autre chose, et cultive toutes sortes de talents. Quant à Marie-Odile, elle traîne sa misérable vie en se cachant derrière des hisoires de princesse et beaucoup (de plus en plus) de make-up. Car, chère Kate, il y a toujours beaucoup de vrai dans ce que je raconte. Merci pour la lecture et le petit mot. Bonne continuation sur le site. Il faut du temps, de la patience et un grand tiers de belle humeur pour faire exister ses livres. A bientôt.
@DUREZ Pierre, merci pour votre appréciation. En créant Louise, je me suis attachée à ne pas en faire seulement un personnage au sens où on l'entend habituellement, mais plutôt une mémoire. Le personnage (Louise) a la vengeance rivée au corps. La mémoire veut survivre. C'est la mémoire d'un peuple, de la classe ouvrière mourante, la mémoire des diasporas. Le véritable personnage de l'histoire est "la Bambolina", cette espèce d'Arche de Noé multiculturelle. Merci encore pour votre lecture.
Merci @Housse ! J'ai oublié de vous répondre. Merci pour votre commentaire. C'était mon défi de réussir à coller le maximum de personnages dans le minimum d'espace. Je ne sais plus combien ils sont. 37, je crois bien. Faudrait les recompter. Et tenez, une confidence que je n'ai encore jamais faite : l'élément apparemment le plus invraisemblable de cette histoire est véridique. Ce petit scoop pour me faire pardonner d'avoir mis tout ce temps à vous répondre. Bravo pour Nikita ! Je vous souhaite un beau séjour par ici. Cordialement, Catarina.
oui le roman est court mais dense avec tous les personnages dont on fait la connaissance. J'aime particulièrement les trouvailles de phrases comme "La mort nous prend vraiment pour des cons" ou "C'était un amour sans majuscule"... qui donnent un sacré rythme au roman.
@Monique Louicellier. Eh oui, vu comme vous le dites... en définitive, on se sait pas, on ne saura jamais qui a fait le coup. Tout le monde ? Tous ceux qui s'écrasent ?
Ce que l'héroïne attend à la fin ? Je dirais : l'absolution. Elle a déjà eu la Lumière, il ne lui reste que cela à demander : l'absolution.
Merci encore
Merci Catarina, je dois filer car j'ai lu jusqu'à 5 h du matin cette nuit et mes RDV en pâtissent (piscine et chercher du bois)... Mais voilà une question reste sans réponse.
Qui en réalité a fait le coup ? Qui a tué le vioque ? Et qui a peut-être même tué la fille d'Altier...
Parce que l'héroïne semble vraiment attendre les menottes.
Et pousser au crime par des révélations ou même des médisances ne ressort pas des tribunaux...
Et l'arme du crime ?
Il y aurait peut-être là un revirement surprise à 180 degrés et une chute différente à ajouter à l'histoire.
Sinon, oui, super pour les conseils, je vous écrirai dès que possible et ne vous inquiétez pas, je relirai votre texte et vous enverrai les "corrections" avec les numéros de page exactes. Autant faire les choses bien...
J'espère que vous compléterez votre livre
Bonjour @Monique Louicellier. Bienvenue sur le site. Whouuuuuu ! vous êtes tout feu tout flamme, dites donc ! Merci d'être passée par ici. A propos du monde de l'édition, il y aurait beaucoup à dire. Hénôrmément même ! Si vous voulez connaître mon opinion (je pratique la tartine des deux côtés), prenez contact directement avec moi en cliquant sur "Voir son profil" (sous ma binette, en haut à droite). Ce que vous dites à propos des conjugaisons maladroites, et peut-être malheureuses, m'intéresse au plus haut point. Sauriez-vous me les indiquer de mémoire ?
Vous êtes arrivée jusqu'ici, Moon ! Vous êtes sauvée. Certains avant vous ont réussi à marcher sur l'eau le lendemain de leur inscription sur le site. Allez-y voir ! On ne sait jamais ! (par précaution, enfilez votre bouée jaune, celle qui fait pouêt-pouêt). Merci encore, et à bientôt.
Ah ça y est, j'ai trouvé la réponse dans Journal intime d'une obsédée du texte...
Ah, ah, je sens que j'ai enfin trouvé où publier et comment stopper ma procrastination...
Ici, sur ce site... Je lis. Je n'ai jamais beaucoup lu dans ma vie d'adulte et de vieille...
Pour une fois que je passe des heures à lire des oeuvres littéraires au lieu de traîner ma mélancolie et mes joutes d'expression sur Facebook, Telegram ou Meetic...
Serais-je sauvée ??? Alléluia !
@Zoé Florent. Eh oui, c'est ce qu'on attend d'un roman noir : quand la lumière apparaît, elle aveugle. La lumière apparaît à Louise à la dernière ligne, au dernier mot. Comme dit le personnage de Bresson / Picpoket : "quel étrange chemin pour parvenir à toi". Merci et bonne soirée également.
@BertheC, merci . Vous avez finement discerné l'orgueil de Louise et Marie-Odile, un des moteurs de l'action. Orgueil qui n'est en définitive que source de souffrances.
@Fernand Fallou, chacun lit à son rythme, et toi, en plus, non seulement tu lis, mais tu relis... merci. La destruction de la Bambolina est celle de tout un monde que je n'ai pas connu, mais, enfant, je passais chaque jour devant cette "Bambolina", et j'ai voulu lui offrir une histoire.
@Agostini Francois-Xavier. Oui, bien entendu que je paye, je raque, je les allonge... et vous, combien demandez-vous ? Si vous êtes raisonnable, je vous ferai un virement (mais restez modéré dans vos exigences, Guennec me met déjà sur la paille).
@Agatha, tu me ru-ines
J'ai des trous dans mes chaussettes, et les talons éculés
J'épargne et j'économise pour pouvoir te contenter
etc. de ce cher bon irremplaçable Nino (Ferrer)
Claro esta, chère Agatha, si voulez que je regonfle votre compte en banque, va falloir vous démener un peu mieux qu'ça. Mais y a pas que le flouze dans la vie, y a l'amur : aussi je prends tout ce que vous envoyez en retour de lecture, et vous adresse en échange un paquet de mercis.
Ah, monsieur @Bruno_Guennec !
je ne regrette vraiment pas le virement de *^^$¤£ € que j'ai effectué sur votre compte suisse à fin de recevoir un commentaire sur ce site mirobobolant, et que je chéris plus que le daguerréotype flou de ma supposée arrière-grand-mère, seul héritage de feux mes parents, c'est vous dire à quel point tout cela compte énormément pour moi, que ma vie presque en dépend. Merci. Merci. Merci. Comment vous dire merci ? J'ai pensé à un nouveau virement sur votre compte suisse, mais ce mois-ci, je ne pourrai pas vous donner plus de **$¤ €. Sera-ce suffisant, mon bon thuriféraire ? Oh, que je vous aime ! (ça marche, ça ?). Mon cher, mon doux (et là, c'est mieux ?)
Enfin, brèfle, comme dit Charlie Brown en apportant son diner à Snoopy (tout tout tout content and dancing): "ça fait plaisir de se donner de la peine pour quelqu'un qui apprécie autant".
Au cas où vous ne seriez pas parfaitement réveillé, pas les yeux en face des trous, je vous rappelle qu'il ne faut jamais croire un traitre mot à toutes mes âneries. La vie serait trop triste si on la prenait au sérieux.
Merci.
Bonsoir, @Bruno_Guennec
je ne sais pas si il est disponible en version brochée, because j'ai changé la couve et il y a eu du mou dans le kdp... je viens de refaire une tentative. Si ç'est toujours macache, vous me filerez une adresse postale et je vous enverrai un exemplaire (un avec l'ancienne couverture, tant pis), et ce sera mon cadeau.
Côté lectrice :
Vu que depuis nov. 22 je me consacre à la vie du site ; accueillir, conseiller, guider tous les nouveaux auteurs (et quelques...
"Le temps des cerises" est le "Livre le +" du 2 décembre. Retrouvez l’article qui vous donnera envie de le lire. N'oubliez pas de laisser un commentaire à Catarina Viti, c’est pour cela qu'elle publie ses romans sur monBestSeller.