@Zoé Florent
Bonjour Michèle et merci pour ces paroles éclairées par une nuée d'étoiles !! J'ai bien noté les coquilles que j'ai corrigées. Vous avez certainement raison pour les répétitions de "et" qui ne sont pas très élégantes. Il est d'ailleurs étonnant que ce genre de choses ne soit perçu que lorsque la remarque m'en est faite, et non après mes multiples relectures ! Bref, c'est corrigé.
Il est vrai que je n'ai pas la prétention de me définir comme "écrivain", tout au plus comme "raconteur". Il s'agit bien là de ma 2ème tentative après avoir commis "Mission possible" dans un style radicalement différent.
Amicalement, Jean-Marc.
Bonjour, @Lou Alpin2. Le sujet que vous abordez m'a interpellée, touchée. Je ressens toujours de la peine lorsque j'observe les restes en plateaux délignés (heureusement plus rares depuis le plan FLEGT) de ce que furent ces géants des tropiques. /// La forme, bien qu'agréable, pourrait être resserrée davantage. Je rejoins également @Alban Paulh : personnifier dans un langage plus poétique ce mahogany renforcerait l'effet onirique. /// Quoi qu'il en soit, considérée comme une deuxième tentative d'écriture, cette nouvelle est réussie. Merci de l'avoir partagée ici et bonne journée ! Amicalement, Michèle
C'est un texte très touchant qui me parle beaucoup. J'ai passé un très bon moment à le lire. J'ai eu l'impression d'être cet arbre.
Bonne continuation sur la voie de l'écriture.
Si vous voulez lire ma nouvelle aussi, elle se nomme Les secrets.
@Jean-Pierre MABILLE
Merci pour ce commentaire. Il s'agit de l'écriture de ma deuxième nouvelle. Je comprends donc très bien qu'elle puisse comporter quelques imperfections malgré les relectures !
Si vous disposez d'un autre moment de lecture, vous me feriez plaisir en commentant ma première nouvelle, dans un contexte totalement différent : Mission possible.
Excellent journée à vous.
@Lou Alpin2
Merci pour cette connexion fugace au réseau micellaire. J'ai senti la présence des arbres sur ma peau. Malgré les maladresses de rédaction, c'est certainement l'impression restante qui compte...
@Ann LIERE
Merci pour votre retour et votre notation. Vous avez tout à fait raison quant au nombre de caractères maxi imposé pour cette nouvelle qui m'a un peu frustré je l'avoue. J'aurais volontiers développé l'expérience onirique plus en profondeur, car le domaine du rêve me passionne. Peut-être la réécrirai-je un jour librement sans entrave de règlement...!
Lou
J'ai apprécié votre nouvelle sur un thème onirique, "le rêve des arbres". J'aurais cependant aimé que la veine poétique que vous avez explorée soit encore plus profonde mais je crains aussi que le format imposé (moins de 7 000 signes) ne vous ait pas permis de donner toute l'amplitude que ce texte mériterait. Quoi qu'il en soit merci pour ce partage et bravo pour cet exercice difficile.. Ann
Mon commentaire ne vise surtout pas à vous couper les ailes, bien au contraire. C'est par des essais et des retours tels que ceux-ci que tous nous progressons en narration poétique. Persévérez surtout et prenez y un maximum de plaisir. J'attends de pouvoir bientôt revenir vous lire...
Amicalement
Alban Paulh.
@alban paulh
Vous êtes le second lecteur à me faire cette remarque sur une description manquant de poésie et trop technique. J'avais pensé que les quelques termes un peu scientifiques seraient absorbés par le récit. Je baisse la garde et m'en remets donc à vos avis. Je m'aperçois que la narration poétique n'est pas un exercice aussi facile, même lorsqu'on est un grand rêveur comme moi...!
J'ai été ravi également de partager ces moments de lecture réciproque toujours enrichissants, en souhaitant qu'il y en ait d'autres. Amicalement.
Sympathique thématique que celle du rêve des arbres. Mon ressenti de lecteur est de m'en trouver un peu laissé à l'écart par une description pas assez poétique et peut-être un peu trop technique de la communication au sein de cette tribu végétale. Pour moi tous les ingrédients sont là dans votre nouvelle mais peut-être pourriez-vous adopter une narration plus endogène qui coule comme une sève du coeur de chaque arbre vers sa périphérie et notemment ses voisins via la magie de la toile de capillaires invisibles en évitant un certain nombre d'étiquettages trop mentalement humains, précis et donc restrictifs. Ils bornent en la dualité d'une perception ordinaire une expérience qui n'attend que de devenir panoramique, onirique et lumineuse. Pas évident certes ! La limitation du nombre de caractère est une aubaine dans cet exercice imposé puisqu'elle oblige l'auteur à peser la pertinence de chaque mot à l'aune du message qu'il veut véhiculer. Il faut déclamer et voir si ça coule, couper où ça coince, élaguer ce qui dépasse. Je suis certain que vous en avez déjà la fibre notemment en lisant le premier paragraphe. Merci pour ce partage.
Espérant vous relire bientôt.
Amicalement.
Alban Paulh
@Catarina Viti
Merci Catarina pour votre retour.
Je suis ravi que mon rêve de rêve vous ait emporté.
Quant aux temps, vous avez tout à fait raison, j'ai détecté après coup 2 présents intempestifs et quelques futurs qui auraient davantage brillé par des conditionnels !
Merci encore, c'est très encourageant.
Je trouve, pour ma part, que vous avez choisi une fort belle manière de broder autour du thème du concours. Si les arbres "rêvent" (et c'est sûr qu'ils le font), ce doit être une expérience bien différente de la nôtre, une poésie - ou plutôt un onirisme - à mille lieues des alexandrins. Probablement plus proche de ce qui nous nommons mathématique. Je n'ai pas fouillé suffisamment vos compositions musicales pour savoir si vous vous êtes essayé à une traduction du "rêve végétal".
En tout cas, bravo, et merci pour le partage.
NB : j'ai eu l'impression que vos temps de conjugaison étaient un tantinet vasouillards. Mais ce n'est peut-être qu'une illusion que je n'ai pas envie d'aller valider. Je préfère rester sur le bon goût de cette première lecture.
@ J-Pierre LAURIER : Navré que vous n'ayez pas trouvé suffisamment de poésie. De mon coté, je suis frustré par la limite du nombre de caractères autorisés pour le concours (je suis presque au maximum en 6 pages A5 !)
On ne sens pas assez le rêve de cet arbre...c'est un peu trop descriptif, on sent arriver la poésie mais elle ne dure pas, on retombe trop vite dans la science...
Publié le 20 Mai 2023
Lou Alpin2
Biographie
Ecrivain en herbe mais lecteur confirmé et musicien compositeur amateur.
Je mets à profit ma récente mise en retraite de l'informatique pour...
Ce livre est noté par
@Zoé Florent
Bonjour Michèle et merci pour ces paroles éclairées par une nuée d'étoiles !! J'ai bien noté les coquilles que j'ai corrigées. Vous avez certainement raison pour les répétitions de "et" qui ne sont pas très élégantes. Il est d'ailleurs étonnant que ce genre de choses ne soit perçu que lorsque la remarque m'en est faite, et non après mes multiples relectures ! Bref, c'est corrigé.
Il est vrai que je n'ai pas la prétention de me définir comme "écrivain", tout au plus comme "raconteur". Il s'agit bien là de ma 2ème tentative après avoir commis "Mission possible" dans un style radicalement différent.
Amicalement, Jean-Marc.
C'est un texte très touchant qui me parle beaucoup. J'ai passé un très bon moment à le lire. J'ai eu l'impression d'être cet arbre.
Bonne continuation sur la voie de l'écriture.
Si vous voulez lire ma nouvelle aussi, elle se nomme Les secrets.
@Jean-Pierre MABILLE
Merci pour ce commentaire. Il s'agit de l'écriture de ma deuxième nouvelle. Je comprends donc très bien qu'elle puisse comporter quelques imperfections malgré les relectures !
Si vous disposez d'un autre moment de lecture, vous me feriez plaisir en commentant ma première nouvelle, dans un contexte totalement différent : Mission possible.
Excellent journée à vous.
@Ann LIERE
Merci pour votre retour et votre notation. Vous avez tout à fait raison quant au nombre de caractères maxi imposé pour cette nouvelle qui m'a un peu frustré je l'avoue. J'aurais volontiers développé l'expérience onirique plus en profondeur, car le domaine du rêve me passionne. Peut-être la réécrirai-je un jour librement sans entrave de règlement...!
Lou
Mon commentaire ne vise surtout pas à vous couper les ailes, bien au contraire. C'est par des essais et des retours tels que ceux-ci que tous nous progressons en narration poétique. Persévérez surtout et prenez y un maximum de plaisir. J'attends de pouvoir bientôt revenir vous lire...
Amicalement
Alban Paulh.
@alban paulh
Vous êtes le second lecteur à me faire cette remarque sur une description manquant de poésie et trop technique. J'avais pensé que les quelques termes un peu scientifiques seraient absorbés par le récit. Je baisse la garde et m'en remets donc à vos avis. Je m'aperçois que la narration poétique n'est pas un exercice aussi facile, même lorsqu'on est un grand rêveur comme moi...!
J'ai été ravi également de partager ces moments de lecture réciproque toujours enrichissants, en souhaitant qu'il y en ait d'autres. Amicalement.
@Catarina Viti
Merci Catarina pour votre retour.
Je suis ravi que mon rêve de rêve vous ait emporté.
Quant aux temps, vous avez tout à fait raison, j'ai détecté après coup 2 présents intempestifs et quelques futurs qui auraient davantage brillé par des conditionnels !
Merci encore, c'est très encourageant.
Je trouve, pour ma part, que vous avez choisi une fort belle manière de broder autour du thème du concours. Si les arbres "rêvent" (et c'est sûr qu'ils le font), ce doit être une expérience bien différente de la nôtre, une poésie - ou plutôt un onirisme - à mille lieues des alexandrins. Probablement plus proche de ce qui nous nommons mathématique. Je n'ai pas fouillé suffisamment vos compositions musicales pour savoir si vous vous êtes essayé à une traduction du "rêve végétal".
En tout cas, bravo, et merci pour le partage.
NB : j'ai eu l'impression que vos temps de conjugaison étaient un tantinet vasouillards. Mais ce n'est peut-être qu'une illusion que je n'ai pas envie d'aller valider. Je préfère rester sur le bon goût de cette première lecture.
@ J-Pierre LAURIER : Navré que vous n'ayez pas trouvé suffisamment de poésie. De mon coté, je suis frustré par la limite du nombre de caractères autorisés pour le concours (je suis presque au maximum en 6 pages A5 !)