
C’est dans un quartier perdu de Paris, entre la Seine et la banlieue rouge des années 60 que Léo Larivière affronte pour la première fois le monde des adultes. Au bar du Méli-Mélo, il fait d’étonnantes rencontres qui façonneront son destin hors norme dominé par la présence d’une araignée.
Émotions et rebondissements émaillent cette histoire qui se déroule sur six décennies et qui fait la part belle au hasard de la vie.
Il s’agit de la réécriture d’un roman qui parut en d’autres temps sous un autre titre et un autre nom.
@Campana Jeanclaude
Merci pour cette incitation étoilée à me lire.
Je vous souhaite d’autres découvertes intéressantes sur mBS.
@carrolle.
Merci, chère lectrice, d’avoir pris le temps de m’adresser cet adjectif MAJUSCULE couronné d’étoiles.
@Nathalie PAZ. Bonjour Nathalie. Les héros le sont souvent malgré eux, et Léo ne fait pas exception à la règle.
Je me réjouis que ce personnage ne vous ait pas laissée indifférente et je lui dédie vos cinq étoiles.
Je vous remercie de participer à la vie du site en prenant le temps de rédiger des commentaires.
@Amadia. Il n’est pas, pour un auteur, de meilleure récompense que d’être suivi par des lectrices et des lecteurs fidèles. C’est toujours avec un plaisir renouvelé que je parcours vos commentaires étoilés qui sont l’une des motivations essentielles au partage. Je vous remercie de contribuer à faire vivre mBS en investissant de votre temps. Puissiez-vous être un exemple pour les nombreux visiteurs du site qui oublient qu’une participation, même modeste, ne manquera pas d’être appréciée. J’espère vous retrouver bientôt pour de nouveaux échanges.
@ Pierre d’Arlet. J’apprécie votre commentaire étayé qui a le mérite de m’éclairer sur votre ressenti que je qualifierais avec optimisme de « globalement positif », comme le proférait en d’autre temps un certain Georges Marchais ! Avoir un retour critique est toujours enrichissant, et au-delà du plaisir d’être lu, c’est l’une des bonnes raisons de publier sur mBS. Je vous remercie de m’avoir livré votre analyse approfondie étoilée.
@Marianne F. Je suis heureux de l’intérêt que vous avez porté à cette histoire et je vous remercie de me l’avoir fait savoir. Si vous le souhaitez, en cliquant sur « voir son profil », vous trouverez la liste de six autres romans lisibles dans leur intégralité. Merci de votre participation.
Merci pour votre roman, je l'ai énormément apprécié. Il était captivant et m'a beaucoup émue.
Bravo, j'espère avoir l'occasion de lire d'autres histoires de votre plume.
@Monique Louicellier. Bonjour Monique. Je suis avec intérêt la progression de votre lecture en souhaitant que la chute ne vous déçoive pas. Pour les coquilles, je suppose que vous avez mieux à faire que de les corriger. À chacun son fardeau… Bien cordialement. Alix
P.S. J’espère que vous avez trouvé un humain bien intentionné pour recueillir vos chats.
@Alix Cordouan
Quelques dizaines de pages de plus lues cette nuit pour le plaisir et toujours cette richesse et ce suspense.
Si je trouvais quelques heures à y consacrer, je vous indiquerais bien les petites coquilles présentes, surtout des fautes d'accord de temps des verbes... Bravo en tous cas ! Cela me change de la lecture des "oeuvres" des quelques trolls du site.
@ChristianG. Je ne peux que me réjouir de votre appréciation étoilée. Merci d’avoir pris le temps d’envoyer un commentaire. C’est l’une des motivations pour les auteurs de publier sur mBS.
@Hugues Caysac. J’apprécie particulièrement le fait que vous ayez relevé le côté authentique de l’époque. Je pense que c’est essentiel pour la crédibilité d’une histoire. Quant à reproduire dans leur intégralité la façon de s’exprimer de certains personnages qui pratiquaient l’argot comme un patois breton c’était périlleux. Un dosage s’imposait qui ne serait pas perçu de la même façon selon les générations. J’ai voulu dans ce roman rattacher la fin à l’actualité. Ce n’était pas indispensable, je vous l’accorde, mais l’incendie de Notre-Dame m’inspirait. Merci de votre participation à ces échanges motivants.
@AHUSKI . Merci pour cet agréable commentaire. Je constate qu’une touche de férocité ne vous aurait pas déplu et j’en prends note. Au plaisir de vous lire bientôt.
Ce n'est pas fluide, votre aisance dans l'écriture fait que le recit coule de source ! Impressionnant ! Ayant connu ce Paris des gens qui survivent, je garantis que l'ambiance de votre oeuvre est authentique. Les gros beaufs racistes jactaient exactement idem ! Plus d'argot (mais sans notes de bas de page...), peut-être eusse été en faire trop ? Les personnages sont campés à la dix-neuviètiste, un vrai régal ! Et l'histoite rebondit, rebondit, et encore ! Pourquoi vous être imposé de la mener jusqu'au bout du bout ? Laisser en suspens ou boucler la boucle, je respecte votre choix, mais pardonnez mon doute. Je recommande avec ferveur cette lecture, de 17 à 107 ans. Merci.
@Alix Cordouan j'ai lu votre roman avec attention et comme je vous l'ai déjà dit dans ma réponse à votre commentaire, vous avez indéniablement une plume de qualité. J'aurais aimé que les personnages antagonistes soient plus présents et plus féroces, mais cela ne vous étonnera pas de ma part et ce point de vue est parfaitement subjectif. Vous n'avez donc pas à en tenir compte si le coeur ne vous le dit pas. :) Bravo en tout cas.
@Marie Peterburger
Merci pour ce commentaire étoffé et étoilé.
Il soulève quelques questions pertinentes qui illustrent l’intérêt de ces échanges. En ce qui concerne votre première remarque, je suis d’accord avec vous sur l’idée qu’il n’est pas indispensable que le récit aille jusqu’à la fin du héros. C’était une des options parmi d’autres qui s’offrait à moi dans ce roman, mais je n’en fais pas un principe pour autant.
En ce qui concerne la répétition des noms, il s’agit là d’un choix cornélien entre la nécessité d’éviter d’alourdir le texte et une compréhension facilitée des situations. Établir un équilibre entre ces deux exigences n’est jamais simple, mais je suis conscient de cette difficulté.
Je suis heureux d’avoir participé modestement à un de ces moments privilégiés que procure la lecture et je vous souhaite de nouvelles découvertes sur mBS et ailleurs.
Bien sincèrement.
@Annie Pic. Bonjour Annie. Venant d’une auteure (ou autrice si vous préférez) dont j’apprécie le talent, ce commentaire chaleureux et étoilé me touche particulièrement. C’est grâce à ces échanges que mBS prend tout son sens, et je vous remercie d’y participer avec compétence et générosité. Bien cordialement, Alix.
@Monique Louicellier. Bonjour Monique. Votre empressement à me faire part de vos premières impressions me comble. J’espère que la suite ne vous décevra pas. Pour répondre à votre question, je prends beaucoup de plaisir à décrire le Paris des années 60 qui nous semble aujourd’hui à des années-lumière, et pourtant c’était hier.
Merci pour vos étoiles.
@Gabriel Schmitt
Si j’en juge par votre commentaire élogieux, vous avez apprécié mon texte, et je m’en réjouis. J’écris en général mes histoires sans plan très précis en campant des personnages qui interagissent naturellement entre eux en fonction de leur tempérament. Ce sont eux les vrais auteurs de mes romans, ce qui explique, comme vous le soulignez, que les événements s’enchaînent parfois de manière inattendue.
Je ne puis que souscrire à votre citation de Camus qui résume assez bien cette histoire et probablement une grande partie de nos vies. Merci de votre participation qui, parmi d’autres, justifie l’intérêt des auteurs pour ce site.
Bien sincèrement.
@Anthony Vernon. Bonjour Anthony. En lisant votre biographie, j’ai cru comprendre que nous avions quelques points communs. Comme vous, je suis arrivé tardivement à l’écriture, mais ce qui me semble capital réside dans le fait que nous ne nous prenons pas au sérieux. Cela dit, je vous remercie d’avoir trouvé le temps de ce retour qui me touche venant d’un auteur dont j’apprécie le talent. Amicalement.
@Sophia Desliet
Des retours de qualité comme les vôtres sont toujours encourageants. Au-delà du plaisir d’avoir été lu et apprécié, ils constituent une mine d’information sur la façon dont nous sommes reçus. Dans ce contexte, j’aurais aimé en savoir plus sur ce que vous qualifiez de ralentissement afin de pouvoir y remédier, mais vous avez déjà pris le temps de ce retour, et je n’ose vous en demander plus. Je serais évidemment enchanté que vous vous penchiez sur mes autres romans et j’accueillerais vos critiques, bonnes ou mauvaises, avec beaucoup d’intérêt.
Bien cordialement.
Bravo, Alix. Je me doutais bien en jetant un œil à vos productions que vous deviez être un auteur de talent. Maintenant, je ne doute plus, je le sais, je vous ai lu, vous avez une très belle plume. J'ai aimé votre histoire et vos personnages, leurs fêlures et leur humanité. Effectivement, j'y ai retrouvé aussi un peu de l'atmosphère du "Bonheur dans la poche". Merci pour ce partage. Je vous souhaite également beaucoup de retour positif. Amitiés. Paul
Merci pour ce personnage complexe avec son araignée dans le plafond, sa fêlure, qui lui joue des tours mais à laquelle il tient, parce qu'elle maintient à vif son besoin de vérité et de liberté tout au long de son étonnant parcours.
Un roman riche de rebondissements sur la filiation, l'amour, l'amitié, l'art, sur le destin et le sens de la vie, une écriture enlevée avec quelques ralentissements par ci, par là.
Je l'ai terminé avec l'envie de découvrir vos autres titres.
Bien à vous.
Un destin hors norme, une plume acérée, une morale sans concessions. Je découvre, admirative, la belle écriture qui emporte le lecteur dans ses rets. Félicitations !
@Zoé Florent
Vous soulignez qu’il y a six ans déjà paraissait le « Fils du père Noël ». À ma grande surprise, mon histoire avait été remarquée, alors que je m’essayais pour la première fois à l’exercice de l’écriture. Ce fut par curiosité plus que par conviction que j’avais tenté cette expérience. J’avais jusque là, je l’avoue, considéré la lecture d’un roman comme un palliatif à l’ennui dans une salle d’attente. Vos commentaires contribuèrent à me faire persévérer dans cette voie, et je vous en remercie. Vous retrouver sur ma page me rappelle les années où, sur mBS, les échanges étaient multiples et enrichissants. Je ne connais pas les raisons de cette désaffection même si je subodore que quelques-unes sont liées au nombrilisme généralisé. Je vous remercie de continuer, par vos remarques éclairées et vos écrits, à participer de belle façon à la vie du site.
Amicalement, Jean-Bernard
@stog
Tout d’abord, permettez-moi de vous dire que je suis admiratif de votre parcours qui a dû être très enrichissant. Je vous remercie de votre lecture, de vos étoiles, et surtout d’avoir pris le temps de m’adresser, en retour, votre sentiment. Je suis heureux que vous ayez apprécié l’atmosphère des années 60 qui, je l’avoue, m’inspirent particulièrement. Je vous souhaite de bonnes lectures sur mBS.
@Sandrine C
Bonjour Sandrine. C’est toujours avec le même intérêt et le même plaisir que j’attends vos critiques pleines d’humour, de bon sens et d’indulgence. Votre fidélité me touche particulièrement d’autant que les lectrices de votre qualité se font rares sur le site et ailleurs. Un signe du temps peut-être. Je vous avoue que vos étoiles en de telles circonstances prennent une valeur nouvelle, soyez-en remerciée. Amicalement.
Né à Paris, Alix Cordouan emprunte des chemins détournés pour arriver à l’écriture.
Il exerce différents métiers avant de partir pour le...
"UNE ARAIGNÉE DANS LE PLAFOND" est le "Livre le +" du 30 juin 23. Retrouvez l’article qui vous donnera envie de le lire. N'oubliez pas de laisser un commentaire à Alix Cordouan, c’est pour cela qu'il publie ses romans sur monBestSeller.