
La malédiction de Marie, lancée en 1343, s'est réalisée.
Émilie, sa lointaine descendante, veutt s'installer dans le marais Vernier, berceau de sa famille paternelle.
Nicolas Hauchecorne, agent immobilier, a rendez-vous avec elle pour lui faire visiter une chaumière sise près de la Sente aux Loups.
Nous sommes en 2002. Des évènements surviendront-ils pour modifier le destin des protagonistes et mettre un terme à la malédiction ?
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@René Sauvage
Bonjour, à la lecture de votre commentaire -dont je vous remercie- je comprends que vous avez lu la deuxième partie de l'histoire sans en lire la première, ce qui, évidemment, ne vous permet de suivre le déroulement.
Ce n’est pas tellement des aménagements avec le temps, l’histoire, les lieux, qui m’ont gênés, c’est plus la rapidité avec laquelle vous racontez. Tant de prénoms dès la première page qu’il faut assimiler, sans qu’on ait vraiment de repères pour le faire, peu de visualisation de la chaumière dans ces bois ou de la sente pour qu’on perçoive, l’enjeu, le mystère dans lesquels vous allez nous amener. C’est ça je trouve que mériterait votre histoire pour être peaufinée !
@Marie-Hélène Renaud-Fontès Bien entendu que l'aspect vraisemblance est secondaire ici, ce récit n'étant pas à prétention historique ! Non, c'est juste un réflexe que j'ai, voilà tout !
Concernant les traditions orales, cela existe mais il est bien rare qu'elle ne se déforment pas au fil du temps, surtout sur une aussi longue période. Mais là encore, pourquoi pas, puisque l'intérêt est ailleurs.
La sente que vous avez vue est certainement beaucoup plus récente, mais peu importe: elle vous inspire et c'est l'essentiel. J'ai moi-même été inspiré pour une nouvelle (loin d'être terminée) par un récit historique qui, après vérification, contenait pas mal d'erreurs: tant pis, l'idée est belle je la garde !
Quant à la généalogie, j'ai effectivement établi une bonne partie de la mienne avec myHeritage, et ça devient un beau casse-tête dès le 19ème siècle alors plus avant, c'est indémêlable.
Bien à vous
-LGA
@galodarsac
Bonjour, votre côté rationnel est très intéressant ( et utile). Je pense que dans cette nouvelle, qui n'est qu'une fiction, la transmission peut se faire oralement de génération en génération (ou au moyen de chroniques comme dans "Deux femmes dans la tourmente").
Et c'est au cours d'une promenade dans le marais Vernier qu'une sente grimpant vers le haut de la colline, peu entretenue, m'a inspiré l'écriture de "La sente aux loups". L'inspiration me vient souvent ainsi. Cette sente existait-elle en 1343 ? Est-ce important pour une fiction ? À chaque lecteur sa réponse.
Je ne me suis pas préoccupée de la généalogie des deux familles. Mais quel soulagement ! La mienne me suffit, et si vous vous êtes penché sur la vôtre, je pense que vous me comprenez.
La coquille a été supprimée.
Merci pour la suite de votre commentaire inspiré par votre côté poète.
Bien à vous. M-H
@Marie-Hélène Renaud-Fontès On retrouve avec joie l'ambiance (tout juste modernisée) du premier volet, avec des personnages tout aussi attachants.
Bien sûr il y a au moins trois invraisemblances, une historique (on ignore généralement tout de nos arrière-grands-parents, alors connaître une histoire du 14ème siècle !), une géographique (aucune sente de forêt ne peut survive sept siècles sans entretien, comme c'est le cas ici), et surtout générationnelle, car mathématiquement Émilie et Nicolas sont forcément descendants tous deux des deux groupes du premier opus. De même, il est peu probable qu'en sept siècles aucun des 8.5 millions (au moins) des descendants de Lecacheur n'ait eu de compassion pour un animal :)
Oui je sais je taquine, je n'arrive jamais à me défaire de mon côté rationnel... Mais mon côté poète le compense, et me permet de savourer une belle histoire comme la vôtre !
Bien à vous
-LGA
PS une coquille tout en haut de la dernière page: "réuni".