@D-G-M Roualland
Merci mille fois pour votre commentaire. J'espère que vous suivrez l'évolution de la chose.
J'ai par ailleurs laissé un commentaire pour vos écrits.
A bientôt.
@mambouckou
Merci pour votre intérêt.
Je publie régulièrement une suite à cette saga, les sujets ne manquent pas.
J'irai faire un tour du côté de chez vous.
A bientôt
Par ailleurs, n'hésitez pas à consulter mon profil car j'y ai publié récemment l'un de mes livres qui se nomme : les histoires vraies des survivants de l'extrême !
J'aimerai beaucoup avoir votre commentaire qui me ferait très plaisir.
@Isabelle BLACKENEY je suis d'accord avec vous car quelques fois rire est très bien et c'est même l'un si ce n'est le meilleur médicament. Je lirai votre poésie avec plaisir !
@DenisJaje
Je viens de ranger l'œuvre dans ma bibliothèque et vous promets de la lire. J'ai déjà parcouru quelques pages qui ne manquent pas d'humour et sont très bien écrites. Le confinement qui finit par nous transformer en meuble par exemple, vaut le détour.
Je dois terminer une "pamphleterie" sur l'Assemblée Nationale et je pars quelques jours pour régler quelques affaires. Je serai ensuite plus disponible pour lire entièrement votre livre.
A Bientôt donc. Amitiés.
Juste pour vous informer que le coq que je suis a, miracle (comme le disait Brassens au sujet d'une poule) pondu quelques textes regroupés en une chose bizarre (!) intitulée "Les Lumières Cendrées De l'Aube. Mélange de chroniques, poèmes (classiques ou non), coup de cœur, coup de blues, bouts d'histoires inventées ou pas... Avec une sorte de fil de Marianne du nom d'Adrien Jouans, une sorte d'avatar...
J'aimerais avoir votre retour. Alors, il y a 136 pages ! Prenez le temps et n'hésitez pas à arrêter la lecture en cas d'indigestion ! Je ne me vexerai pas ! Merci !
A bientôt, Denis.
@DenisJaje
Merci beaucoup. Pour votre commentaire et vos cœurs,
Vous en aurez encore cher ami, régulièrement, c'est promis. Il faut juste, de passage, venir voir si la poule a pondu d'autres œufs.
A bientôt alors...
@Cbw3313
Je vous remercie pour votre sympathique commentaire.
En fonction des retours et de l'actualité, je vais compléter ces pages défouloir.
Donc peut-être à bientôt ?
@Isabelle Blackeney
Je n'ai pas bien saisi votre histoire de pots de chambre ; j'imagine que c'est de la poésie à forte teneur en urée, en créatinine, en ammoniac et en acide urique.. Pour le reste, souvenez-vous ce ce que disait Quintus Ennius, homme du monde, danseur de tango et père de la littérature romaine : "Ce n'est pas parce que je ne ponds pas d’œufs que je suis incapable de juger d'une omelette". Mais peut-être avez-vous, aussi, quelque chose contre les poètes latins. Ou contre les omelettes.
@Ellen Hodges
Bon, je vais faire un dernier effort.
N'avez-vous rien d'autre à faire que de venir pérorer derrière votre pseudo ?
Vous avez bien quelques vieux pots de chambre à rafistoler pour faire votre mixture, de ceux que l'on trouve au brocanteur et dont plus personne ne veut.
Nous aimerions en connaitre le contenu pour en juger l'odeur et la saveur. Car à vous croire nous sommes en présence d'un maître en la matière.
Mais bien mal vous prendrait et vous le savez bien, que de nous mener sur la piste de vos exploits littéraires car vous me semblez bien trop couard pour tenter l'aventure.
Ici nul ne vous demande d'acheter. En clair personne ne vous demande rien. Et comme l'on fait, léchant les devantures, quand on ne trouve pas ce qui convient, on passe son chemin.
@Patrice Dumas
Merci pour votre sympathique commentaire qui m'éloigne ainsi des maniaques de la règle absolue et de leur métrique à deux balles. Car oui, au diable tout ceci si le massage passe.
Merci également pour vos cœurs qui vont droit au mien.
A bientôt peut-être et bien à vous.
@Ellen Hodges
Aie, aie, aie ! Mais j'ai bien peur, à ce stade, de m'en contrecarrer, car souvent ceux qui s'attachent à la forme sont en manquent d'idées.
"Qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse" et si vous ne goûtez les choses qu'au travers du flacon, votre palais risque d'être bien asséché.
@Isabelle Blackeney
Aïe, aïe, aïe ! Quatre de vos vers sont encore défectueux. Je crains que vous ne soyez victime de la malédiction du "e" muet...
PS : Pour votre gouverne, je ne suis pas une fanatique de la règle. Je pense simplement que lorsqu'on choisit l'alexandrin classique, la moindre des choses est de le construire comme il sied. Après tout, rien ne vous y oblige - à choisir l'alexandrin classique, veuillé-je dire.
Eh bien, moi, elle me plaît, cette révolution,
Parce que, justement, elle retombe sur ses pieds,
Dont douze sont requis, pour bien la faire rimer,
Dans chacun de ses vers, écrits avec passion.
@Ellen Hodges
Voilà, voilà cher ami, chose promise, chose due.
Car la dite chose a été revue.
J'espère que cette nouvelle version sera à votre convenance.
Quoique, j'en sui sûre, vous y verrez encore quelques imperfections. Car même dans la révolution vous y voyez encore des règles.
Pour les suivantes productions, sachant que vous êtes aux aguets, je ferai attention.
@Isabelle Blackeney
Les deux vers sont de parfaits alexandrins puisqu'ils comptent douze pieds chacun et que la césure est à la bonne place. A l'intérieur d'un vers, on compte la syllabe qui se termine par un "e" muet si la syllabe suivante commence par une consonne, on ne la compte pas si la syllabe suivante commence par une voyelle. A la fin d'un vers, on ne compte jamais le "e" muet. Voici, voilà.
@Ellen Hodges
"Que me font ces vallons ces palais ces chaumières"
"La critique est aisée mais l'art est difficile"
Que voilà donc deux imperfections à vous entendre, si l'on veut à tout prix prononcer ou non la dernière syllabe, afin de respecter dans votre intransigeance, les règles qui vous sont dictées.
Il en existe des tas de même facture. Mais voilà n'étant ni Lamartine ni Destouches, je dois pour ma part m'en sentir touchée. J'ai fait d'autres poèmes, ici publiés, de toute autre nature et la frime ne fait pas partie de mes idées.
Quant à mon inconscient il est, comme pour tous, un mélange savant d'inné et d'acquis dont on ne sait avec précision en déterminer la composition. J'aimerais bien, si cela est possible, juger ainsi du votre à la lecture de vos œuvres.
@Isabelle Blackeney
Faire la révolution en ajoutant des syllabes à l'alexandrin me semble tout de même un peu dérisoire... De toute façon, pourquoi choisir presque systématiquement cette sorte de vers ? Votre inconscient serait-il moins subversif que vous le pensez ? Autrement dit, tout ça ne serait-il rien d'autre que de la frime ?
@J-P LAURIER
Salut ami et merci.
On me reproche déjà la métrique, il est vrai que j'abuse des "e" muets.
Mais bon, je vais comme pour le reste tacher de mieux m'appliquer, car semble-t-il même dans la révolution ii faut encore respecter des règles.
Qui l'aurait dit...
Amitiés
@Ellen Hodges
Oui, je sais, je fais des "e" muets à toutes les sauces. En clair je parle comme un vrai titi parisien me foutant, tout du moins sur cette page, tant des règles, que de la métrique.
Faites donc comme moi, gobez alors les "e",
Je vous promets cher ami que pour vous plaire
Le coup suivant je tenterai de faire mieux.
En clair, ici, je m'amuse.
Bien à vous
@Isabelle Blackeney
Cher ami, j'ai bien compris que vous vous inscriviez dans une veine anarchisante ; dès lors, pourquoi cet asservissement à l'alexandrin, d'autant que nombre des vôtres se prennent les pieds dans la métrique ?
Ce livre est noté par
@D-G-M Roualland
Merci mille fois pour votre commentaire. J'espère que vous suivrez l'évolution de la chose.
J'ai par ailleurs laissé un commentaire pour vos écrits.
A bientôt.
@mambouckou
Merci pour votre intérêt.
Je publie régulièrement une suite à cette saga, les sujets ne manquent pas.
J'irai faire un tour du côté de chez vous.
A bientôt
Bel exercice de satire bienvenue actuellement.
D-G-M Roualland
Par ailleurs, n'hésitez pas à consulter mon profil car j'y ai publié récemment l'un de mes livres qui se nomme : les histoires vraies des survivants de l'extrême !
J'aimerai beaucoup avoir votre commentaire qui me ferait très plaisir.
Passez une excellente soirée et à très bientôt.
@Isabelle BLACKENEY je suis d'accord avec vous car quelques fois rire est très bien et c'est même l'un si ce n'est le meilleur médicament. Je lirai votre poésie avec plaisir !
@DenisJaje
Je viens de ranger l'œuvre dans ma bibliothèque et vous promets de la lire. J'ai déjà parcouru quelques pages qui ne manquent pas d'humour et sont très bien écrites. Le confinement qui finit par nous transformer en meuble par exemple, vaut le détour.
Je dois terminer une "pamphleterie" sur l'Assemblée Nationale et je pars quelques jours pour régler quelques affaires. Je serai ensuite plus disponible pour lire entièrement votre livre.
A Bientôt donc. Amitiés.
@IsabelleBlackeney
Juste pour vous informer que le coq que je suis a, miracle (comme le disait Brassens au sujet d'une poule) pondu quelques textes regroupés en une chose bizarre (!) intitulée "Les Lumières Cendrées De l'Aube. Mélange de chroniques, poèmes (classiques ou non), coup de cœur, coup de blues, bouts d'histoires inventées ou pas... Avec une sorte de fil de Marianne du nom d'Adrien Jouans, une sorte d'avatar...
J'aimerais avoir votre retour. Alors, il y a 136 pages ! Prenez le temps et n'hésitez pas à arrêter la lecture en cas d'indigestion ! Je ne me vexerai pas ! Merci !
A bientôt, Denis.
@DenisJaje
Merci beaucoup. Pour votre commentaire et vos cœurs,
Vous en aurez encore cher ami, régulièrement, c'est promis. Il faut juste, de passage, venir voir si la poule a pondu d'autres œufs.
A bientôt alors...
@Cbw3313
Je vous remercie pour votre sympathique commentaire.
En fonction des retours et de l'actualité, je vais compléter ces pages défouloir.
Donc peut-être à bientôt ?
@Isabelle Blackeney
Je n'ai pas bien saisi votre histoire de pots de chambre ; j'imagine que c'est de la poésie à forte teneur en urée, en créatinine, en ammoniac et en acide urique.. Pour le reste, souvenez-vous ce ce que disait Quintus Ennius, homme du monde, danseur de tango et père de la littérature romaine : "Ce n'est pas parce que je ne ponds pas d’œufs que je suis incapable de juger d'une omelette". Mais peut-être avez-vous, aussi, quelque chose contre les poètes latins. Ou contre les omelettes.
J'ai trouvé cette poésie fantastique et bien écrite.
@Ellen Hodges
Bon, je vais faire un dernier effort.
N'avez-vous rien d'autre à faire que de venir pérorer derrière votre pseudo ?
Vous avez bien quelques vieux pots de chambre à rafistoler pour faire votre mixture, de ceux que l'on trouve au brocanteur et dont plus personne ne veut.
Nous aimerions en connaitre le contenu pour en juger l'odeur et la saveur. Car à vous croire nous sommes en présence d'un maître en la matière.
Mais bien mal vous prendrait et vous le savez bien, que de nous mener sur la piste de vos exploits littéraires car vous me semblez bien trop couard pour tenter l'aventure.
Ici nul ne vous demande d'acheter. En clair personne ne vous demande rien. Et comme l'on fait, léchant les devantures, quand on ne trouve pas ce qui convient, on passe son chemin.
Je vous signale, à tout hasard, que ce n'est pas moi qui ai choisi le flacon et que ce n'est pas ma faute s'il est fêlé...
@Patrice Dumas
Merci pour votre sympathique commentaire qui m'éloigne ainsi des maniaques de la règle absolue et de leur métrique à deux balles. Car oui, au diable tout ceci si le massage passe.
Merci également pour vos cœurs qui vont droit au mien.
A bientôt peut-être et bien à vous.
@Ellen Hodges
Aie, aie, aie ! Mais j'ai bien peur, à ce stade, de m'en contrecarrer, car souvent ceux qui s'attachent à la forme sont en manquent d'idées.
"Qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse" et si vous ne goûtez les choses qu'au travers du flacon, votre palais risque d'être bien asséché.
@Isabelle Blackeney
Aïe, aïe, aïe ! Quatre de vos vers sont encore défectueux. Je crains que vous ne soyez victime de la malédiction du "e" muet...
PS : Pour votre gouverne, je ne suis pas une fanatique de la règle. Je pense simplement que lorsqu'on choisit l'alexandrin classique, la moindre des choses est de le construire comme il sied. Après tout, rien ne vous y oblige - à choisir l'alexandrin classique, veuillé-je dire.
@Ellen Hodges
Voilà, voilà cher ami, chose promise, chose due.
Car la dite chose a été revue.
J'espère que cette nouvelle version sera à votre convenance.
Quoique, j'en sui sûre, vous y verrez encore quelques imperfections. Car même dans la révolution vous y voyez encore des règles.
Pour les suivantes productions, sachant que vous êtes aux aguets, je ferai attention.
@Isabelle Blackeney
Les deux vers sont de parfaits alexandrins puisqu'ils comptent douze pieds chacun et que la césure est à la bonne place. A l'intérieur d'un vers, on compte la syllabe qui se termine par un "e" muet si la syllabe suivante commence par une consonne, on ne la compte pas si la syllabe suivante commence par une voyelle. A la fin d'un vers, on ne compte jamais le "e" muet. Voici, voilà.
@Ellen Hodges
"Que me font ces vallons ces palais ces chaumières"
"La critique est aisée mais l'art est difficile"
Que voilà donc deux imperfections à vous entendre, si l'on veut à tout prix prononcer ou non la dernière syllabe, afin de respecter dans votre intransigeance, les règles qui vous sont dictées.
Il en existe des tas de même facture. Mais voilà n'étant ni Lamartine ni Destouches, je dois pour ma part m'en sentir touchée. J'ai fait d'autres poèmes, ici publiés, de toute autre nature et la frime ne fait pas partie de mes idées.
Quant à mon inconscient il est, comme pour tous, un mélange savant d'inné et d'acquis dont on ne sait avec précision en déterminer la composition. J'aimerais bien, si cela est possible, juger ainsi du votre à la lecture de vos œuvres.
@Isabelle Blackeney
Faire la révolution en ajoutant des syllabes à l'alexandrin me semble tout de même un peu dérisoire... De toute façon, pourquoi choisir presque systématiquement cette sorte de vers ? Votre inconscient serait-il moins subversif que vous le pensez ? Autrement dit, tout ça ne serait-il rien d'autre que de la frime ?
@J-P LAURIER
Salut ami et merci.
On me reproche déjà la métrique, il est vrai que j'abuse des "e" muets.
Mais bon, je vais comme pour le reste tacher de mieux m'appliquer, car semble-t-il même dans la révolution ii faut encore respecter des règles.
Qui l'aurait dit...
Amitiés
@Ellen Hodges
Oui, je sais, je fais des "e" muets à toutes les sauces. En clair je parle comme un vrai titi parisien me foutant, tout du moins sur cette page, tant des règles, que de la métrique.
Faites donc comme moi, gobez alors les "e",
Je vous promets cher ami que pour vous plaire
Le coup suivant je tenterai de faire mieux.
En clair, ici, je m'amuse.
Bien à vous
@Isabelle Blackeney
Cher ami, j'ai bien compris que vous vous inscriviez dans une veine anarchisante ; dès lors, pourquoi cet asservissement à l'alexandrin, d'autant que nombre des vôtres se prennent les pieds dans la métrique ?