
« On ne peut plus rien dire. » Combien de fois n’avez-vous pas entendu cette réflexion dernièrement ?
Cyril Le Folgoas, fils unique d’une famille parisienne richissime, vient de passer son baccalauréat. Désœuvré, il s’invente un jeu, le jeu des objets perdus, pour occuper le temps.
Après avoir pris pour point de départ la Bretagne, ce jeu de piste l’entraîne dans un va-et-vient vertigineux entre Paris et Bruxelles où l’adolescent découvre le monde à coups de détestations.
Car il n’y a pas de licence en art.
Ce livre est noté par
@_Grandy_
Bonjour Grandy,
J'ai pris connaissance de vos compliments au petit-déjeuner, je vous dois donc une belle journée.
Je vous souhaite une joyeuse lecture au coin du feu. Racontez-moi si votre enthousiasme se sera effiloché, quelque déception ? ou au contraire, remettons une bûche dans la cheminée !
Beaucoup de mercis à vous.
Superbe plume, j’espère un jour avoir votre talent Monsieur @CyrilLeFolgoas. En attendant, je vais moi aussi aller au coin du feu. Mais contrairement à Monsieur Marsan ce sera pour apprécier votre histoire. :)
@Ibrahim Tembely
Merci.
Good
@Julien Marsan
Cher Julien Marsan,
J'en suis désolé, je ne prétends pas à une lecture exigeante. Au contraire, rien de sérieux. Me réconforte vous imaginer au coin du feu, veinard! et les bouquins ne doivent pas manquer.
L'écriture, c'est comme la peinture, "si l’on n’a pas la connaissance, le mode d’emploi, la culture, la curiosité, on peut passer à côté" (je vous cite): un excellent conseil de lecteur à l'écriteur, merci. Merci aussi pour la "prose magnifique".
Je vous souhaite, cher Julien, un... heureux dimande.
Moi je n’ai pas eu ni la même patience ni le même talent pour dépasser le 1er chapitre. Francis Bacon, bonne image, et toute la bande sure réaliste pourrait être appelée en rescousse, d’ailleurs, c’est comme la peinture, si l’on n’a pas la connaissance, le mode d’emploi, la culture, la curiosité, on peut passer à côté. Pourtant, c’était un dimanche idéal, froid, brumeux, broullardeux, un dimanche à rester près de la cheminée, au chaud donc, mais ça n’a pas suffit pour comprendre cette prose magnifique et néanmoins exigeante, exigeant des lecteurs plus pugnaces, déjantés, repus, que moi, sorry !
@Jacques-M
Bonjour, Monsieur Jacques-M.
Moi aussi, au début, j'ai un peu flippé. Nom d'un camion, il va tout raconter?! Vous vous baladez sur le fil, on dirait un funambule, j'ai apprécié. En plus, vous avez le droit de dire ce que vous voulez! Tiens, ça ne pourrait pas être un métier: raconter la fin?
Vos commentaires à propos de mon écriture me paraissent exagérément bienveillants. Non, non, je ne me plains pas! M'a particulièrement touché le couple Francias Bacon et la Commedia dell'Arte, vous avez mis le doigt dessus! Il y aussi les méchants attachants, intéressant, belle idée.
Il ne m'échappe pas que vous êtes le premier lecteur, courageux? à commenter "Interitus".
En vous remerciant encore et encore, Monsieur Jacques-M, je vous souhaite une bonne... continuité.