la désorientation, un récit sur le trouble bipolaire

@Christian Vogel merci beaucoup pour votre commentaire. Il est vrai que ce récit a été difficile et douloureux à écrire. Les maladies psychiques touchent plus de un pour-cent de la population. Mon but entre autre chose est bien de rendre ces malades plus visibles. Si j’ai réussi, j’en suis contente.

@Olga Mikovski Un récit bouleversant où l'on découvre un pan méconnu de la société, et pourtant tellement important! J'imagine que l'écriture est presque cathartique et qu'il doit être douloureux de retracer certains évènements. Les routes les plus difficiles sont bien souvent les plus intéressantes. J'espère vous lire de nouveau!

Bonjour @Thierry Laugier. Je suis très touchée par votre commentaire, je vous remercie de m'avoir lue et surtout, je vous remercie pour vos remarques constructives. Je suis contente d'avoir des pistes d'amélioration pour retravailler mon texte. Bonne journée !

Bonjour Olga, Vous dites dans votre présentation avoir toujours eu envie d'écrire, je n'aurais qu'une suggestion à vous faire: écrivez! Votre texte prouve que vous avez tout ce qu'il faut pour y réussir, à commencer par un vrai style. Vous écrivez avec une simplicité dont je suis à peu près sûr qu'elle ne va pas toujours de soi. C'est juste que la recherche avec laquelle vous écrivez ne se remarque pas. Certaines parties de votre texte n'échappent pas complétement au défaut de nombreux témoignages de vécus douloureux, qui est d'accumuler les faits en une espèce d'inventaire pouvant devenir lassant. Mais ici c'est très loin d'être rédhibitoire. Je vous fais cette critique surtout pour contrebalancer mes éloges. Il me semble par ailleurs que cela enrichirait votre texte de préciser certains faits ou circonstances que vous ne faites qu'évoquer, comme l'épisode avec la formatrice de physique, le jeu dont vous avez été exclue, le contenu de certains mails... Liste non exhaustive. Vous pourriez aussi développer et approfondir les passages concernant vos ancêtres. Le parallélisme que cela crée avec votre propre situation est à la fois troublant et porteur d'espoir. Il y a dans toute généalogie une universalité qui rassure. Le seul droit que je me reconnais à vous donner autant de conseils est d'avoir aimé votre témoignage, alors pour avoir le plaisir de vous lire à nouveau, je vous en donnerai un dernier : continuez d'écrire! Bien à vous

@Martine Elisabeth merci beaucoup ! J’ai essayé d’écrire un récit qui soit au plus près de la réalité. Je suis contente que vous l’ayez vu

bravo pour ce récit captivant qui nous fait partager le quotidien d'une patiente atteinte d'un trouble psychique sévère et nous alerte sur les maltraitances qui persistent dans certains lieux de soins Hérédité , poids de l'histoire familiale , l'autrice cherche à donner du sens à ce qui lui arrive et nous transporte dans un monde de souvenirs empli de poésie

@Mathieu Luci merci de m’avoir lue et merci pour votre commentaire

Un témoignage poignant !

@Benoît M je te remercie pour ton commentaire c’est un joli cadeau d’anniversaire ;)

Un témoignage fort et sincère poétique et émouvant sur une maladie encore trop peu connue

@Ema Lorenz Merci beaucoup pour ce gentil commentaire !

Un récit de vie poignant qui explore avec authenticité et sensibilité les revers du trouble bipolaire et les coulisses du monde médical. À découvrir absolument !

@Al Nayal merci beaucoup ! J’espère que la suite de ce témoignage vous plaira aussi

J'ai commencé à lire ce récit qui nous plonge au plus profond de l'être humain. Très touchant, on s'imprègne très vite de l'histoire qui nous transporte dans un autre monde. Á suivre.....

@Zoé Florent merci beaucoup de m'avoir lue et relue, d'autant que vous connaissez très bien le sujet, de par votre métier. Je suis d'accord avec vous, il est regrettable que la spécialisation des infirmiers en psychiatrie n'existe plus. Que je sache, les médecins psychiatres ne sont pas encore remplacés par des généralistes... J'ai bien conscience que nous sommes des patients un peu particuliers : un diagnostic s'établit en examinant mais aussi en écoutant le malade. Or nous, patients atteints d'une maladie psychiatrique, lorsque nous sommes en crise, perdons notre fiabilité. Comme notre état peut-être fluctuant, un médecin nous verra malade ou bien portant, c'est selon, et ce sont des variations qu'il est difficile de mesurer. Je ne sais pas pourquoi j'ai décompensé aux urgences, probablement parce que je n'avais pas le bon de traitement... peut-être était-ce la fatigue, le décalage horaire, l'accueil, un peu des trois... Quant à poser un diagnostic fiable et définitif, c'est extrêmement compliqué pour un interne qui n'a que quelques minutes à consacrer à chaque malade. Vous avez raison, j'ai encore un peu peur des médecins et des infirmiers mais cela va de mieux en mieux. En tout cas merci encore pour vos encouragements !

Féícitations pour cette deuxième mise en avant, @Olga Mikobski, et trois coeurs tout neufs que votre témoignage vaut bien ;-). /// L'ayant conservé, voici mon commentaire déposé l'automne dernier : @Olga Kolesnikovski Trois coeurs pour ce témoignage touchant, Annabelle, d'autant plus mérités au vu de votre travail sur la forme. /// J'espère que ce commentaire vous trouvera en meilleure forme que lors des multiples épisodes maniaco-dépressifs que vous décrivez avec justesse et sincérité. J'espère aussi que les pistes biologiques d'ores et déjà explorées finiront par apporter leur lot de solutions thérapeutiques. /// À l'époque où je suis devenue infirmière psychiatrique, cette profession bénéficiait d'une formation spécialisée, indépendante de l'actuelle formation fourre-tout, et je ne peux que regretter que ce ne soit plus le cas, car nous étions mieux armés pour comprendre les différentes pathologies et adopter une attitude adéquate qui favorisait la confiance réciproque avec les malades. Nous étions passionnés et ignorions la lassitude, de ce fait… /// J'ai eu l'impression d’une grande défiance de votre part, et ne peux que le regretter pour vous, car à part les thymorégulateurs et une psychothérapie dans le but d’apprendre à prévenir et à amortir les troubles dont vous souffrez, il n’existe aucune autre alternative pour l’instant… L’ambiguïté de cette remarque, qui revient deux fois dans votre dossier, m’a interpellée, d’ailleurs : “absolument évacuer la question du diagnostic”… Le corps médical aurait-il réalisé à retardement que ce diagnostic aurait causé une forme d’enfermement dans la maladie ? La cas échéant, il est urgent de vous en délivrer, il me semble, et là encore, seul un bon thérapeute peut vous aider. /// Je vous souhaite le meilleur, chère Annabelle. Merci pour ce nouveau partage peaufiné et bon courage. Amicalement, Michèle /// Bonne continution. Prenez grand soin de vous. Amicalement, Michèle

@Isabelle Lestine
Bonjour madame, je vous remercie de m’avoir lue. Je ne pouvais espérer commentaire aussi encourageant que le vôtre. Vous m’avez donné confiance en moi, merci encore.

Merci beaucoup de m’avoir lue @Renaud R. Je vous remercie aussi pour votre commentaire encourageant