@JeanPignon3
Merci infiniment pour ce commentaire, Jean. Je suis profondément touché par la façon dont vous avez ressenti la scène et cette figure féminine à la fois présente et insaisissable. Votre évocation de Lovecraft me parle tout particulièrement : son univers m’a toujours fasciné — cette manière qu’il a de suggérer l’indicible, de faire vibrer l’invisible sous la surface du réel. Si mon texte a pu, ne serait-ce qu’un instant, évoquer une atmosphère proche de la sienne, alors c’est un immense compliment. Merci encore pour votre lecture attentive et vos mots si justes.
@Logan Wane
Merci beaucoup, Logan pour votre retour ! C’est toujours un plaisir de savoir que le texte a résonné chez le lecteur, surtout lorsqu’il s’agit de thèmes aussi symboliques que la vanité : sujet que j'aime traiter particulièrement, surtout à notre ère. Votre œil sensible à ce genre d’univers est très apprécié — merci d’avoir pris le temps de partager vos impressions ! Cordialement.
Un très beau texte ! J’ai vraiment apprécié lire vos descriptions chargées de sens. C’était une très bonne lecture que j’ai faite ce matin : un excellent symbole de vanité ! (Étant fan de tels tableaux, je ne peux qu’apprécier, haha.)
Logan Wane.
Très, très beau texte !
Tout en lisant et à l'instar des hommes dans la salle de bal, j'étais envouté par cette femme sublime qui est là et ailleurs, intemporelle dans une solitude et une nostalgie indéfinissables.
De la même manière que pour certains autres commentateurs, des noms s'allument dans mes pensées, notamment Lovecraft...
Bravo et merci du partage.
@Cortex
Bonjour et merci pour cette merveilleuse note ainsi que pour votre appréciation. Concernant la fin, je l’ai ajoutée en me laissant simplement guider par mon instinct d’auteur.
Un texte d'une beauté rare, empreint de mélancolie et d'un regard lucide sur la vanité de la vie. Bravo. (la dernière phrase me semble de trop... le lecteur a compris...) @Anthony Valber
Merci, j’apprécie profondément ces références. C’est un honneur, car ces auteurs m’ont influencé, souvent de manière indirecte — par une essence dont je me suis sans doute inspiré, sans toujours en avoir conscience.
@Anthony Valber
C'est du grand art ! Ernst Theodor Hoffmann et Edgar Allan Poe ont furtivement honoré cette salle de bal de leur présence, me semble-t-il. Howard Phillips Lovecraft furète dans la cave et William Peter Blatty est "ailleurs", mais pas loin, dirais-je. Un petit bijou !
Ce livre est noté par
@JeanPignon3
Merci infiniment pour ce commentaire, Jean. Je suis profondément touché par la façon dont vous avez ressenti la scène et cette figure féminine à la fois présente et insaisissable. Votre évocation de Lovecraft me parle tout particulièrement : son univers m’a toujours fasciné — cette manière qu’il a de suggérer l’indicible, de faire vibrer l’invisible sous la surface du réel. Si mon texte a pu, ne serait-ce qu’un instant, évoquer une atmosphère proche de la sienne, alors c’est un immense compliment. Merci encore pour votre lecture attentive et vos mots si justes.
@Logan Wane
Merci beaucoup, Logan pour votre retour ! C’est toujours un plaisir de savoir que le texte a résonné chez le lecteur, surtout lorsqu’il s’agit de thèmes aussi symboliques que la vanité : sujet que j'aime traiter particulièrement, surtout à notre ère. Votre œil sensible à ce genre d’univers est très apprécié — merci d’avoir pris le temps de partager vos impressions ! Cordialement.
@Cortex
Bonjour et merci pour cette merveilleuse note ainsi que pour votre appréciation. Concernant la fin, je l’ai ajoutée en me laissant simplement guider par mon instinct d’auteur.
Cordialement ;)
@St-Bleyras
Merci, j’apprécie profondément ces références. C’est un honneur, car ces auteurs m’ont influencé, souvent de manière indirecte — par une essence dont je me suis sans doute inspiré, sans toujours en avoir conscience.
Cordialement.
@Anthony Valber
C'est du grand art ! Ernst Theodor Hoffmann et Edgar Allan Poe ont furtivement honoré cette salle de bal de leur présence, me semble-t-il. Howard Phillips Lovecraft furète dans la cave et William Peter Blatty est "ailleurs", mais pas loin, dirais-je. Un petit bijou !