
Le sujet : que la mort n'est pas la fin de la vie, que la réponse à ce monde c'est l'amour, qui inclut la littérature, qu'un humain est capable de changer, qu'on peut traverser les ravins de la mort et trouver la paix. Donc un texte que je souhaiterais porteur d'espérance.
Ce livre est noté par
@Bruno Bonheur Je prends bonne note de tes conseils... sur le fond, je suis d'accord... Je ne réponds plus à Patatras, ni aux deux auteur(e)s à qui j'ai donné de l'urticaire... Idem pour Catarina qui botte toujours en touche...
Cher Denis,
Je n'ai rien contre l'anonymat, à partir du moment où les intentions sont bonnes.
Mais il faut être très honnête avec soi-même et lucide : quand j'écris cela, doit-on se demander, quelles sont mes intentions ?
Tout procède du coeur : si le coeur est serein et cherche vraiment à comprendre, à apprécier, il peut tout dire, vraiment tout. S'il cherche à se venger, à régler des comptes, à se soulager après une blessure d'amour-propre, même les vérités qu'il dira seront inaudibles.
D'abord créer une relation de confiance avec l'autre. Ensuite, dans le cadre de cette relation, un échange franc devient possible.
Sur mBS, il y a une certaine violence, c'est vrai, mais, si tu regardes bien, tu verras qu'elle n'est entretenue que par quelques auteurs, DONT J'AI FAIT TRES LONGTEMPS PARTIE, ce qui explique (ce n'est que justice) que je sois pas mal détesté, comme sont détestés tous les auteurs qui entretiennent la haine ici.
SORS DU CERCLE de ces auteurs. Ne réponds pas agressivement à ceux qui te détestent, te découragent systématiquement ou te méprisent, ne te mêle pas de leurs écrits. C'est cela tendre l'autre joue : ne pas répondre à la haine par la haine.
Fais aux autres ce que tu voudrais qu'ils te fassent, ne fais pas aux autres ce que tu ne veux pas qu'ils te fassent, voilà un guide de conduite simple à comprendre... plus difficile à appliquer !
Mais, même si nous ne sommes pas des saints, si nous sommes sujets à quelques petites rechutes, si nous faisons parfois du mal en croyant bien faire, on peut toujours essayer de progresser, non ?
Bises
Bruno
Cher Bruno... Projet intéressant et généreux... Oui, Carpov a du talent, moi, je raconte juste des histoires...
La seule difficulté, c'est que si on pose une question, en tte sincérité, honnêteté, une remarque, (comme tu le fais souvent avec moi ou d'autres, mais avec courtoisie et empathie sans doute) on déclenche des cataclysmes.
C'est pour ça que l'anonymat, qd il n'est pas vicieux et biaisé, n'est pas forcément une mauvaise chose...
MON ESTHETIQUE DE LECTURE : MANIFESTE DE "L'ATELIER"
Comment passer de l'égoïsme à l'altruisme ? En :
- créant un réseau de lecteurs-auteurs ("l'atelier") qui ont dépassé l'égoïsme et s'intéressent vraiment aux livres.
- passant du lecteur qui juge selon ses critères d'auteur au lecteur qui essaye de voir si l'auteur, selon son esthétique propre, a atteint son but.
- étant généreux et ouvert, en se mettant à la place de l'autre, pour comprendre ce qu'il a voulu faire et voir comment il l'a fait et si ça fonctionne.
- sortant de la haine, du cercle vicieux du règlement de compte, des commentaires à double sens pour se venger, pour jeter de l'huile sur le feu.
- donnant leur chance à ceux qui ont du talent, en les repérant et en les mettant en lumière.
Nous pouvons le faire.
C'est un projet qui dépasse mBS : c'est un projet humain, une manière de vivre, de regarder qui inclut la lecture.
Lire, c'est une manière d'aimer, d'aller à la rencontre de l'autre, de son fonctionnement, de sa façon de raisonner, de sentir, de penser les choses. Ce projet-là, c'est l'amour du prochain, tout simplement.
Il faut que les auteurs, par définition centrés sur leur moi artistique, puissent se détacher de leur travail artistique, pour regarder d'autres travaux.
Et pour cela qu'ils soient convaincus que :
- cette ouverture aux autres est enrichissante pour leur propre travail mais aussi, plus fondamentalement, pour leur âme
- que lire et écrire sont des moyens de devenir plus humains, plus ouverts, plus authentiques, et que c'est ça qui importe et non le succès, la gloire, le fric.
@'Bruno Bonheur
Cher Bruno
1)je ne cherche pas la flatterie ni les retours de complaisance. Juste des échanges intéressants, honnêtes et sincères, comme on le fait parfois (souvent en ce moment).
2) Sophie Fichini intrigue, je t'ai dit qu'elle écrivait divinement bien et que j'essaie de l'inciter à publier... elle est trop modeste...
3) Que les premiers du classement et qqun(e)s (qu'on connait) affichent des scores à al Ceausescu est dommageable pour tous. Il suffirait déjà de faire décliner les textes à l'abandon pour qu'ils ne squattent pas les premières places... que fait la police ?
@bichetdenis 1G
Cher Denis,
Je comprends que tu cherches à éprouver la logique du site, à comprendre comment il fonctionne et s'il est cohérent. C'est une bonne chose, évidemment, mais pourquoi ne commences-tu pas par critiquer les premiers au classement ? Regarde le nombre de lectures. C'est proprement hallucinant. Et cette énigme : le nombre de "lectures" du 2e au classement... qui est un livre qu'on ne peut même pas lire !
N'est-ce pas une preuve éclatante que le nombre de "lectures" n'est pas le nombre de lectures effectives ?
Catarina Viti est certes membre du club de lecture. Mais cela ne lui enlève rien de sa liberté de soutenir les livres qu'elle choisit de soutenir. Son choix est d'autant plus fort qu'elle aime rarement un livre. Mais, quand c'est le cas, comme par exemple avec mon livre "Retour à Ithaque", elle le soutient à fond. J'ai de la chance qu'elle ait aimé mon livre et je souhaite cette chance à d'autres. Mais je n'y suis pour rien. C'est son choix, son goût. Chacun a ou non des affinités artistiques avec tel ou tel et aucune avec tel autre. Il faut être patient. Tu as déjà trouvé Sophie Fechini qui reconnait ton talent. Tu trouveras d'autres Sophie sur le site si tu es humble et si tu commentes régulièrement les auteurs. Evidemment, il y en a qui n'iront jamais voir ce que tu écris, parce qu'ils ne sont là que pour leur pomme. Mais il y a disons un auteur sur deux qui, quand tu lui mets un commentaire approfondi, te retourne la politesse en commentant ton livre.
Patience, humilité, humour : 3 vertus pour faire son chemin et rester zen sur mBS.
Bises
Bruno
Bruno (suite)
Je vois que cette Sophie Fechini intrigue... elle écrit divinement bien, mais elle est d'un modestie terrible, j'essaye de l'inciter à écrire mm anonymement sur mbs, elle y réfléchit.
@'Bruno Bonheur
Cher Bruno.
Merci pour ta réponse, dont je perçois évidemment l'humanité.
Ce que tu dis est exact dans l'absolu, dans un monde idéal, poétique et désincarné...
Mais ici nous sommes ici dans une structure qui a posé (c'est dans le préambule, la constitution du site) que le nombre de lecteurs était un indicatif sur lequel s'appuyer (si ce n'est la plaie des (du) tricheurs avérés, qu'il faudrait régler).
Catarina m'a dit grosso modo : "On s'en fiche du nombre de lecteurs', ce qui compte c'est... l'allégresse ? la joie de vivre ? youpi, embrassons- nous Folleville !"
Imagine qu'un chef d'entreprise dise a ses employés : "on s'en fiche des résultats, c'est vénal, bassement matériel... je déciderai au hasard ou selon mon humeur de ceux qui obtiennent des résultats, qui attirent des clients (des lecteurs)...
Bien à toi...
Cher Denis (@bichetdenis 1G),
Sur le style, je t'ai répondu (je ne sais plus où).
Sur le favoritisme que tu dénonces ("seuls quelques élus ont droit aux tribunes, aux mises à la une, aux honneurs officiels, malgré des scores souvent relatifs"), j'ai envie de te dire : est-ce qu'on est à l'école ? Est-ce que les auteurs sont en concurrence ? Perso, il suffit qu'un lecteur (une lectrice) reconnaisse mon travail dans un commentaire, et je suis heureux. J'écris pour exprimer ce que je porte en moi, et je le publie parce que l'homme est un être de communication. SI donc mon texte rencontre une personne, cela justifie pleinement que je l'aie publié. L'art a à voir avec la grâce et non avec "le marché". Une vraie rencontre, une fraternité artistique, c'est beaucoup plus essentiel que vendre des livres, avoir du succès, être publié, être "livre le +", etc.
Il y a ce qui est essentiel, vrai, gratuit, profond et ce qui est factice, illusoire, vain. Ce dont tu peux souffrir, c'est que ton travail ne soit pas reconnu. Mais ne l'est-il pas, par Sophie Fechini ?
Bises
Bruno
@Bruno Bonheur Je pense — ou pensais — avoir publié le commentaire en question sur ta page. Je regroupe sur la mienne, qui est une sorte de tribune libre, une rubrique "off", les échanges qui semblent intéresser les lecteurs visiteurs plutôt nombreux de ma page qui s'approche étonnement du top 50
Seuls quelques élus ont droit aux tribunes, aux mises à la une, aux honneurs officiels, malgré des scores souvent relatifs. Je suis las de m'en étonner auprès de @Catarina Viti ...
Je suis donc amené à pratiquer une tribune off dans l'intérêt de la liberté d'expression.
Je le republie donc (j'espère qu'il n'a pas été censuré, il est arrivé que certains de mes commentaires disparaissent...):
@Bruno Bonheur
Je viens de parcourir le roman de xxxxxxx et de réaliser par contraste ce que c'est que le style...
Un style, c’est une cohérence d’ambiance, un climat d’écriture.
Le style, ce n’est pas seulement une manière de dire, c’est une manière d’être dans le texte — une tonalité qui traverse tout, relie tout, sous-tend tout.
À l’inverse, l’absence de style produit une dissonance : des mots juxtaposés sans logique interne, des phrases qui s’ignorent, des niveaux de langue qui s’entrechoquent comme des voix qui ne s’écoutent pas.
Chaque personnage peut et doit avoir sa propre voix. Mais dans un récit habité par le style, on reconnaît cette voix avant même de savoir qui parle : une empreinte, une présence.
Le style, ce n’est pas une collection de mots, de verbes, de phrases posés les uns après les autres, comme des perles dépareillées sur des fils qui ne se croisent jamais. C’est un tissage. Un souffle. Une nécessité.
Il y a la même chose en peinture qd vous arrivez dans une expo, mm si les tableaux d'un peintre sont mélangés parmi d'autres, on doit reconnaitre immédiatement son style… Sinon, c'est qu'il n'en a pas. Pareil en écriture.
Je ne parle pas de l’amour du couple mais de l’amour pour les frères et sœurs en Jésus,
puisque par lui nous avons tous et toutes le même Père.
« Amour et vérité se rencontrent » c’est dans l’Ecriture (psaume). Si tu aimes les autres auteurs comme tes frères, tu peux leur dire avec amour la (ta) vérité. Tu n’es pas obligé de flatter, de mentir, d’être complaisant.
Je ne suis pas sûr que l'amour et la vérité fassent bon ménage. Ne dit-on pas que l'amour rend aveugle et qu'heureusement le mariage lui rend la vue... Et d'ailleurs, si l'amour et la vérité marchaient ensemble, il n'y aurait plus d'enfants. Raison pour laquelle, à l'heure d'Internet et de Wikipédia où on peut savoir tout ou partie, le nombre des enfants baisse drastiquement
@Bichetdenis 1G
Les tièdes en amour, peut-être, mais tant que tu es dans l’amour tu peux dire la vérité (amour et vérité vont de pair).
« Amour et vérité se rencontrent… »
@St-Bleyras
Merci pour la référence, St-Bleyras.
L'Apocalypse 3:16
Merci Bruno pour ta réponse...
Quand d'autre affectent un silence qui se veut du mépris et qui n'est que le produit d'une affligeante insuffisance cérébrale et d'une abyssale médiocrité intellectuelle...
Me concernant :
Hélas, je suis un trublion, un agitateur d'idée... ma cause est entendue et perdue...
N'est-il pas écrit dans la Bible (L'ecclésiaste ?) que "Dieu vomit les tièdes"...
Il ne s'agit pas de toi, évidemment qui n'a pas forcément ta langue dans ta poche et sait assener certaines vérités... mais de ce que tu préconises pour moi...
@bichetdenis 1G
Merci, Denis, c'est gentil.
Les seules choses que je puis te dire sont :
- sur mBS, il n'y a pas de Maîtres, ni comme écrivains ni comme critiques ni comme lecteurs. Nous sommes tous au même niveau, des pairs. Personne ne fait autorité, personne n'a autorité, aucun avis ne fait autorité. Par conséquent, si les gestionnaires du site (qui hébergent GRATUITEMENT nos textes) veulent mettre en lumière, selon LEUR goût, tel ou tel texte, peut-on dignement le leur reprocher ?
- tu apprécies mes remarques et que je sois un commentateur "open" et "universel" comme Pierre : eh bien, fais de même. Si nous sommes plusieurs, ça fera peut-être tache d'huile. De toute façon, je pars du principe (cf les évangiles) qu'il faut faire aux autres ce qu'on veut qu'ils nous fassent. Je veux qu'on me commente de façon respectueuse et constructive ? Je m'efforce de commenter de façon respectueuse et constructive. Certes, ce n'est pas automatique, ça n'est pas immédiatement "payant". Mais ça finit par faire son chemin et... tout le bien qu'on fait dans le monde rend le monde meilleur. C'est notre petite part de responsabilité à nous, que nous pouvons exercer. Le résultat global, nous ne le voyons pas. Mais toutes les petites bonnes actions invisibles forment un royaume qui est déjà un peu le royaume céleste.
Bon dimanche, cher Denis.
Bisous
Bruno
Merci Bruno pour tes remarques tjrs aimables, courtoises et constructives...
C'est vrai qu'il existe un grand mystère, pour ne pas dire opacité, sur le nombre de clics:
1) Il n'est plus à démontrer que qquns (2/3) trafiquent, d'autant que comme tu l'as dit, c'est techniquement possible.
2) Je sais que toi, moi et la plupart des auteurs ne trichent pas. Ce qui les intéresse, c'est de connaitre leur nombre de lecteurs (potentiels).
3) Il faut évidemment distinguer entre clics et lecture... et personne ne peut répondre à cette question, mm si on imagine qu'il y a une vague corrélation).
4) Le plus étrange, c'est que la plupart des lecteurs-clics ne commentent pas. Peuvent-ils seulement le faire ? Non, s'ils lisent sans être inscrits...
5) Il est dommage que seule une poignée d'auteurs commentent. Qui plus est, il y a trois ou quatre chapelles, factions antagonistes ou qui s'ignorent. Donc ça ne fait pas "bésef" pour chacun (3 ou 4). Avec de rares commentateurs "open" et universels, comme toi et Pierre Sanberro
6) Ts les auteurs sont égaux, mais certains le sont plus que d'autres et ont droit à des tribunes et des éloges dithyrambiques qui ne déplacent pas les foules... Un entre-soi préjudiciable à la qualité du site ?
Bonne journée.
PS : Je viens de publier en histoire longue ; DIX PETITS ÉCRIVAINS (version complète)
Bonjour Denis,
Si tu écris spontanément, pas de problème, chacun est libre d’écrire comme il veut et de mettre en ligne ce qu’il veut.
Cette liberté inclut aussi la possibilité de ne pas écrire spontanément sans pour autant vouloir imiter le style de Balzac ou de Proust.
Personnellement, je pense que c’est leur recherche d’authenticité qu’il faut imiter mais ce n’est que mon point de vue.
Ici personne n’est un Maître, personne ne fait autorité. On se donne des conseils entre nous.
Mais bien sûr, si c’est la spontanéité que tu vises, je n’ai plus aucune critique à t’adresser. La spontanéité par définition produit des textes spontanés qu’il serait malséant de vouloir critiquer puisqu’ils n’ont pas vocation à être retravaillés.
Bisous
Bonjour @St-Bleyras
A vrai dire je ne sais pas. Je crois qu’on ne peut pas savoir. Mais il y a quand même certains commentaires précis qui témoignent d’une lecture exhaustive (voir ci-dessous sur cette page). Mais je sais que vous me lisez aussi… j’aurais dû vous compter parmi mes lecteurs fidèles. À bientôt !
@Bruno Bonheur
Bonjour Bruno ! Juste un point : vous ne confondez pas, j'en suis sûr, nombre de lecteurs et nombre de commentateurs. Même s'il faut diviser, disons par 10, ou 20, le nombre de clics (présentés sur mBS comme nombre de lectures) pour avoir le nombre de lecteurs, c'est ce nombre-là qui me semble - c'est mon avis - devoir être pris en compte. D'ailleurs, sait-on si les commentateurs ont effectivement lu dans une proportion significative le texte qu'ils commentent ?
Mais non, il ne s'agit pas de ça, j'écris spontanément, une écriture directe avec des dialogues, que j'espère assez drôles et qui sentent le vécu a ce qu'on me dit... C'est mon style. Mais ce qui me plait surtout, c'est de raconter des histoires ironiques, déjantées. Les lecteurs viennent pour ça, ...
Ils ne viennent aps pour lire Châteaubriant ou Mallarmé. Lès auteurs mbs ont cette manie de vouloir imiter Balzac (souvent cité), voire Proust. C'est dérisoire, comme si un politicien se prenait pour Napoléon et voulait envahir la Russie...
Il y a des problèmes ; nous en avons tous.
Quand je t’écris, c’est pour t’inciter à travailler pour progresser.
Moi aussi je dois travailler pour progresser.
Tout le monde ici.
Si tu es persuadé que quand on te donne des conseils c’est qu’on pense qu’on écrit mieux que toi, alors on va arrêter de te donner des conseils.
On aime ou on n’aime pas.
On ne cherche pas à s’améliorer.
Si c’est ta philosophie du site, pas de problème, je la respecterai te concernant.
Bisous
Mais enfin qui te dit que je suis jaloux et que je me sens inférieur ? Ou supérieur on ne sait jamais. Est-ce qu'il faut que je relise tes écrits ou tu as dit que le style était nécessaire pour un écrivain et qu'il fallait que je ttravaille ce qui veut dire un que j'ai pas de style et deux que je devais travailler. Tu étais Corine Messonique si j'ai bien compris qui venait me lire me commentaire sans jamais mettre un petit cœur et qui disait que mes livres c'était la bibliothèque verte et plein de petites choses gentilles comme ça... Catarina dit volontiers que ce que j'écris c'est nul... Voire trivial... Quand elle ne change pas d'avis pour dire le contraire... Bon écoute si je rêvais n'en parlons plus... Il n'y a jamais eu de problème, tu m'as écrit des textes très longs et très intéressant parce qu'il n'y avait pas de problème...
Cher Denis, merci pour tes coeurs.
Je ne suis ni Aragon ni Maupassant, c'est entendu.
Par contre, je vais te demander d'être précis et rigoureux : quels sont, précisément, les mots que je t'ai écrits, où tu as vu sous-entendu "que ton style ou ton histoire sont six pieds sous les miens" ?
"Six pieds sous les tiens" me fait penser à "six pieds sous terre". Cher Denis, personne ne t'enterre, je t'assure. mBS, comme je me plais à le dire, est un atelier de pairs : nous sommes des écrivains parce que nous écrivons, c'est entendu. Il y a des écritures qui touchent les uns et laissent indifférents les autres. Et vice versa. Mais il n'y a ici aucun Maître, qui nous ferait sentir inférieurs à lui. Ai-je prétendu être un Maître, Denis ? Où ? Je veux les mots s'il te plaît. Si tu ne les trouves pas, je t'avertis, je tiens ma réponse toute prête : p*ta*n, Denis, s'il te plaît, arrête avec ton complexe d'infériorité de m*r*e !!! C'est que dans ta tête tout ça.
Bisous
P.S. : ok, Vanessa Michel, Cortex et Catarina Viti apprécient généralement ce que j'écris. Mais observe bien, va sur mes pages : il n'y a qu'eux. J'ai trois lecteurs. Je ne touche pas les autres. Peux-tu être sérieusement JALOUX d'un type qui n'a que trois lecteurs ? Alors, je sais, ce sont trois lecteurs qui ne sont pas n'importe qui. Je comprends que tu puisses me les envier. Mais trois, Denis. Un deux trois soleil, un deux trois lecteurs. C'est beaucoup trois ? Ou c'est peu ? Mathématiquement, qu'en penses-tu ?
PPS : Pierre est fidèle aussi à mes textes, mais il les lit en diagonale, avoue-t-il. Il trouve que j'écris bien mais je ne pense pas qu'il soit vraiment touché. Mais, si tu veux, on va dire 4. Quatre lecteurs, Denis. Quatre.
Oui, sur papier ce sera sur la page de droite comme pour un nouveau chapitre.
@Vanessa Michel
Mais je parlais de la version papier !!
Sur écran c'est parfait.
Une page blanche entre chaque dialogue ? Oui ! Merci !
PS : sur écran, ça ne donne rien. Mais je le ferai sur la version papier.
Je vois bien les dialogues sur deux pages - dont une blanche. Ça va être très beau ! À bientôt sur le radeau.
Oui :-)
@Vanessa Michel
C'est une très belle nouvelle.
P.S.: J'imagine que le "vous" inclus Monsieur Cortex ?
À plus tard, dans le coaltar ;-)
@Vanessa Michel
Merci Vanessa. Je suis super content et rassuré que vous ayez validé cette version.
Oui, j'aimerais bien l'auto-éditer comme Retour à Ithaque. L'un est le prolongement de l'autre en quelque sorte.
Bises fraternelles
A plus tard dans le brouillard
Bruno
Génial pour les chapitres. C'était visuellement trop proche de la pagination (déformation arts-appliqués désolé!).
Détails (suite et fin):
¤ P. 22: tu dis "à 15 ans j'ai tué". Mais elle a 19 ans (p. 21). Ou alors, c'est il y a quinze ans ?
Beau passage (et je précise que je n'ai pas le point de vue de Corine).
Très beau aussi, même page : "rendez-vous de la Violence et de la Haine (…) Place de l'Amour". (place tu gardes la majuscule intentionnellement ?)
¤ P. 23: brûle-pourpoint, avec un tiret il me semble
¤ Très bien amené le jaillissement d'abaissement (p. 24)
¤ Splendide, l'insertion de psaumes (p. 25), ça rythme et ça sacralise en grande douceur cette "action". C'est très pur, très fin.
> J'ai adoré te relire.
Que de transformations entre la première mouture et cette version. C'est tellement plaisant de te voir travailler.
Le texte est transcendé. Il est quasi parfait !
Penses-tu le publier un jour ? Avec un autre récit ? Es-tu satisfait ? C'est assez récent, je ne sais pas si tu a du recul sur lui...
Premier post-it...
J'ai lu 20 pages et je trouve que ton texte a pris une ampleur inouïe. Tu l'as véritablement magnifié dans l'épure.
Je suis comme @Cortex, (bien) soulagée de la disparition de l'abaissement. Le dogme évanoui, il reste les sentiments face à Dieu, ainsi que des visions/des aspirations à l'amour. Franchement, c'est très beau, et j'aime beaucoup BEAUCOUP.
Trois détails :
¤ les chiffres des chapitres m'apparaissent mal, pourrais-tu les mettre en noir ? (oui, il s'agit vraiment d'un détail !)
¤ Page 3: "lui" à trois reprises, en quelques lignes. "qu'il votait Lepen" serait-il possible?
¤ Page 16, est-ce que ce n'est pas plutôt malin plaisir à (que de) ?
Aparté: c'est magnifique, car le fils ne voit pas des caïds, mais ce qu'il sent de leurs fragilités. C'est Constantin qui dit et perçoit "des gros durs", pas son fils.
Mention spéciale: j'ai adoré le passage métamorphosé et enrichi de la première fois de Corine (pp. 19 et 20). L'idée du "brouillon". Je trouve qu'on la retrouve telle qu'elle est arrivée sur MBS, un peu désenchantée, très honnête.
C'est très très beau et très très réussi.
À plus tard dans la mare aux canards !
Merci, Cortex.
@Cortex6
J'aime beaucoup le synopsis.
Et toujours le merveilleux titre...
À bientôt sur le paquebot !