
Ma plume s'est envolée pour publier en 2015 (sous le titre " La garce ") cette histoire policière complètement déjantée, inspirée de certains faits réels.
À vous, mes sympathiques lecteurs. J’ai le plaisir de vous informer que "Madame Poigret" est édité sous le titre « Louisette enquête ». Si vous le souhaitez, vous pouvez me laisser un commentaire via ce lien :
https://www.babelio.com/livres/Dumond-Louisette-enquete/1864150/41portee=editeur&desc_smenu=l
Avec mes sincères remerciements pour votre attention et ma gratitude pour m’avoir encouragée durant l’écriture de ses 11 épisodes. Si ce livre existe, c’est grâce à mes lecteurs sur mBS qui me réclamaient une autre aventure de Louisette chaque fois que j’avais ajouté un nouvel épisode !
Bien cordialement.
Fanny
Ce livre est noté par
@galodarsac Bonjour !
Mon Auvergne et moi, sommes honorées de savoir la soumission pour un concours de votre sonnet, rien que pour elle ! Comme vous, je suis impatiente de connaître le résultat. L’original est dans mes fichiers, mais la bordélique que je suis en aurait pour des lustres pour remettre les yeux dessus. Pourquoi ne l’ai-je pas imprimé, mystère et boule de gomme ! Madame Poigret ne reprendra pas du service, je la laisse vivre dans un livre « Louisette enquête » édité en mai, après moult péripéties : soumission très longue, puis relectures pénibles de ce pavé ! Si cela vous intéresse de voir son aboutissement, j’ai mis des liens sur cette page (couverture et QR code Babelio). La pub et moi, c’est pas mon fort, mais bon, soi-disant que c’est pas mal de faire la marchande des quatre saisons ! L’Auvergne n’échappe pas à la fournaise (38° prévus la semaine prochaine) et mes montagnes vont finir pelées, comme tous les étés, désormais. Maintenant que j’ai un peu plus de temps, je vais pouvoir dénicher de savoureuses lectures. En attendant, je vous souhaite une belle continuation, avec un éventail et les pieds dans une bassine d’eau fraîche. Bien cordialement. Fanny
@FANNY DUMOND Pas de soucis pour la dernière publication, si vous c'est pour la bonne cause que vous l'avez manquée: dois-je comprendre que nous aurons bientôt la joie de retrouver Mme Poigret ? Je l'attends impatiemment !
Ma province est actuellement écrasée sous le cagnard, c'est encore vivable mais ça promet pour juillet... L'Auvergne doit être plus clémente j'imagine. À ce propos, vous serez heureuse d'apprendre que j'ai soumis à un concours (après peaufinage) le sonnet auvergnat que j'avais improvisé jadis sur l'une de vos pages. Je ne manquerai pas de vous informer du résultat !
@Galodarsac Bonjour et merci infiniment pour votre sympathique retour de lecture avec tout plein de petits cœurs. C'est curieux comme les grands esprits se rencontrent : avant-hier, je pensais à notre poète et j'ai vu que j'avais raté sa dernière publication. Pour ma défense, ma Louisette m'a fort occupée ces derniers temps. Peut-être que, comme pour mes lectures, je sus éclectique dans l'écriture ? Certains de mes lecteurs remarquent que mes publications sont différentes et me disent qu'ils ont du mal à me cerner. Je vous souhaite une excellente fin de semaine dans votre province où il doit faire plus mieux bien vivre que dans la mienne ;-) Bien cordialement. Fanny
@Fanny Dumond Bonjour,
Ne vous souciez pas de mon avis sur les "coquilles" ! Moi-même, j'en laisse passer, et des énormes. On a beau se relire, le cerveau est programmé pour les rendre invisibles à notre oeil… d'où l'intérêt de se faire lire par d'autres personnes.
Mon conseil : continuez d'écrire, d'abord pour vous et ensuite pour que les lecteurs éprouvent du plaisir à vous lire.
Bonne journée.
@josette brondeau Bonjour !
Ne vous en faites surtout pas, je suis si contente d’avoir retenu votre attention après plus de 200 supposées lectures et je n’avais même pas prêté attention à votre manque de « bonjour ». Alors, un grand merci à vous d’avoir pris sur votre temps pour m’envoyer votre fort sympathique retour de lecture que vous recommandez. Quant aux coquilles, en 2013 je n’avais pas encore investi dans un correcteur orthographique et n’avais pas d’attentifs bêta-lecteurs. C’est à croire, qu’après des dizaines de relectures, que ces satanées coquilles ont le don de se cacher sous nos yeux et d’apparaitre subrepticement sous ceux de nos lecteurs ! Je vous souhaite une toute belle journée. Bien cordialement. Fanny
J'ai oublié de dire "bonjour"
Veuillez m'excuser, ça ne m'arrive pas souvent.
J'étais sans doute pressée de vous laisser un commentaire
Bonjour@Gilbert Gilbert 2 Un grand merci d'avoir recommandé votre lecture pour laquelle vous avez consacré votre précieux temps. C'est vrai qu'au lieu d'en faire un sordide machin sur certaines pathologies mentales, j'ai préféré en faire un livre loufoque. Et comme vous, avec votre feuilleton, que je me régale à suivre, je me suis beaucoup amusée en l'écrivant. L'écriture est une évasion, pas besoin de rajouter de la sinistrose dans nos têtes lorsqu'on écrit certains textes et puis, de temps en temps, nos lecteurs apprécient de se divertir, se délasser. En y réfléchissant, elles se rejoignent un peu nos histoires ? À bientôt de lire la suite de votre aventure, pleine d'humour sous-jacent, elle aussi. Bien cordialement. Fanny
Bonjour @FANNY DUMOND… (l'une de mes lectrices attentives sur mon feuilleton.)
Ayant un peu de temps devant moi, je me suis dit que j'allais lire de votre prose.
Je la qualifierais de joyeuse et haute en couleur. Sur les 220 pages, j'en tire deux extraits, vous ne m'en voudrez pas (?) pour montrer aux autres lecteurs la tonalité de cette joyeuse farce (?) En est-ce une vraiment ?
Voilà :
Extrait 1 :
— Faut vraiment être frappé d’alignement. Tu y crois, toi, à la fin du monde ?
— J’ai bien failli me faire avoir. Je n'étais pas au courant de cette rumeur et quand ils m'ont parlé du calendrier des Mayas, j'étais complètement largué.
— J’ai vu une émission sur ce sujet. Des cinoques se précipitent dans un coin en Provence où ils seraient à l'abri des envahisseurs. Le monde est complètement détraqué, c’est comme pour le bug de l’an 2000.
/
Extrait 2 :
— On peut-dire ça comme ça, répond Juju se tortillant sur sa chaise. On supporte pas
l'injustice, nous. Alors, on s’est dit qu’on allait tout rapporter à la vioque.
— Un instant, excusez-moi de vous couper ; vous vouliez restituer à votre grand-mère, la vioque, tout ce que votre tante, la garce, lui aurait soi-disant dérobé. Alors, comment se fait-il que vous ayez mis en vente le véhicule et votre butin sur internet? s'étonne Duchesné.
Les frérots en restent comme deux ronds de flan et Servant se croit au théâtre.
« Il est fort, le petit. Il est fort ! »
/
Moi, je trouve ça vraiment drôle à lire… les répliques s'enchainent dans un joyeux délire.
Merci pour ce moment de lecture.
/
GG
@Bruno Bonheur Bonjour !
A partir de certains faits réels et de plusieurs personnages existants ce qui aurait produit une vingtaine de lignes, j’ai préféré en faire un roman, écrit en 5 jours ! Ces actions (sauf le meurtre, ouf !) et comportements étranges dus à la frousse de la fin du monde en 2012, me posaient questions et c’est ainsi, que grâce à l’écriture, j’ai pu mettre tout ça noir sur blanc. J’ai préféré le poster dans la catégorie humour, bien qu’il ait plusieurs étiquettes, notamment celle de la psychologie. Je suis ravie que vous ayez apprécié ce petit cadeau, car j’ai plaisir à offrir tous mes livres, parce que j’écris exclusivement pour ma bibliothèque. Alors, un grand Merci de l’avoir recommandé et lu malgré ses maladresses que j'ai remarquées après l'avoir posté. Depuis 2012 que je me suis lancée dans l’écriture, j’espère avoir fait quelques progrès. En fait, quand je les relis, je me dis que je pourrais tous les retravailler. Mais, comme je ne suis pas Flaubert avec ses 4 500 pages de corrections pour madame Bovary, ça me va très bien comme ça, d’autant plus que, comme personne n’est prophète en son pays, ils sont très peu lus par mon entourage. De fait, MBS est une belle opportunité pour l’être et, surtout, commentée. Je vous souhaite une belle journée. Très occupée par ailleurs, en ce moment, je n’ai plus guère de temps pour lire et surtout commenter celles et ceux qui sont embarqués sur le même bateau. Fanny