Un texte très plaisant et plein de mystères qui m'a donné l'occasion de me souvenir de mon dernier semi-marathon de Lyon ! Un cadre bien réel pour des événements flous. Beau contraste.
Mon dieu que c'est beau. Vous avez votre propre style, le fait de tout écrire d'un trait, de nous forcer à chercher qui est qui, mais c'est ce qui fait la beauté de cette nouvelle. Dans une autre vie j'ai fait beaucoup de semi et je m'y suis retrouvé. Vos descriptions sont tellement bien faites qu'on sent les odeurs, qu'on entend les cris. Continuez à nous émerveiller et dites-vous qu'avec l'age, les journées sont de moins en moins longues, elles passent bien trop vite.
Alain.
Peut-être que Elle pourrait devenir l'autre ?
Je suis certaine que vous allez trouver votre équilibre dans ce récit, y compris dans les ellipses. J'aurai grand plaisir à vous relire.
Belle journée à vous !
Un grand merci pour vos remarques. Je suis tombé dans mon habituel travers qui est d'être trop elliptique. Les personnages, leur histoire, leurs relations sont clairs pour moi mais je laisse trop de choses non dites qui rendent le texte incompréhensible.
Le fameux "Elle" qui brouille la compréhension est la petite amie de Thomas au moment de leur rencontre. Ce n'est ni la narratrice ni sa copine Aline mais bien une quatrième personne. C'est ce même "Elle" que Thomas rencontre dans la seconde partie. La narratrice n'en donne jamais son prénom car elle se sait perdante, hors concours, face à "Elle".
Je vais retravailler le texte pour clarifier tout ça.
@Vanessa Michel : ici je veux explorer le sentiment de fragilité de la narratrice qui se sait "seconde" et cette forme d'amour si intense qui confine à une mystique que ressent Thomas pour "Elle". Je ressors ma plume, mon encre et mon buvard et j'épure tout ça :)
C'est très gentil de votre part de prendre le temps de lire mon texte et de partager ensuite votre ressenti et votre expérience de lectrice. Je vous en suis très reconnaissant, ça me permet d'avancer.
Bonsoir,
Je n'avais pas vu votre second message. Donc, le formidable Plongeon, dont j'ai été marquée, de par sa sensibilité, sa puissance et sa beauté était bien de vous. C’est à vrai dire avec cette merveille en arrière-pensée que j’avais écrit mon commentaire...
Plus aérien, alors :
1. Plus d'épure, si je me réfère au Plongeon, c'était très direct et très beau. Les descriptions allaient à l'essentiel tout en détaillant ;
2. Moins littéral ou plus suggéré (idem le Plongeon).
Je trouve votre histoire forte, et j'ai l'impression que ses « caractéristiques » ont pris un peu l'ascendant. C'est peut-être la raison de la quatrième personne et des petits imbroglios il/elle. J'ai la sensation que pour le Plongeon, vous aviez glissé tendrement ou avec fougue sur les vagues d'émotions qui se présentaient, et qu’ici c'est plus l'histoire qui a dirigé votre plume.
Je me répète, je suis certaine qu'en aérant, en recentrant, en gardant votre poésie et les sentiments, vous pouvez métamorphoser cette nouvelle. Il suffit de peu, quand on a votre talent et votre sensibilité, pour changer totalement la donne !
Bien cordialement.
P.S.: je n'aurais pas nécessairement mis de guillemet au début.
Je me demandais si fol était intentionnel ou pas, s'il l'est, il n'y a pas de souci bien sûr !
Je suis confuse, je ne me souvenais pas du guillemet de départ. Personnellement « je mets le gros texte dans les grands guillemets qui ouvrent et ferment ici "et les guillemets intérieurs j'utilise ceux-là".»
Bonne journée !
@Vanessa Michel : si vous parlez du texte "Le Plongeon", épousailles de la méditerranée et de l'atlantique pendant des vacances au bord de l'eau de jeunes ados, oui c'était mon texte précédent.
Vos remarques me touchent beaucoup. Merci d'apprécier mon texte.
Qu'entendez-vous par plus aérien ? Épurer un peu plus ?
@Vanessa Michel : merci pour toutes les corrections. j'ai honte de toutes ces fautes. J'ai corrigé et mis à jour le texte.
2 remarques que je n'ai pas prises en compte parce que je me pose la question :
- "fou/fol" : j"ai en tête la chanson des vieux amants de Brel dans lequel il écrit "vingt ans d'amour, c'est l'amour fol". Cela vient de là.
- les guillemets : je ne sais pas comment les traiter. C'est un monologue intérieur donc le texte débute par un guillemet. A l'intérieur de ce monologue, j'ai des dialogues que j'ai également encadrés de guillemet. Mais je n'ai pas ajouté un guillemet ouvrant après la fin du dialogue et la reprise du monologue intérieur. Je ne connais pas les règles typographiques qui s'appliquent. Aurais-je dû ?
Bonsoir, De mémoire (était-ce bien vous?), j'avais adoré votre récit en bord de plage… direct, suggéré, épuré et dense d’un point de vue des angles et des émotions. Je pense que cette nouvelle pourrait vraiment gagner en puissance en rejoignant l'essence des sentiments que vous déroulez déjà, mais d’une manière peut-être plus aérienne. La qualité, la poésie et la sensibilité de votre plume s’y prêteraient bien. C'est très subjectif, cela dit ! Merci pour ce partage, et mention spéciale à « sa peau grenue écrit en braille nos années passées ensemble », que c’est beau ! Bien cordialement.
@Valérie Pison2 : Oulàlà, que de participes passés ai-je martyrisés. Les règles du français ne sont pas si compliquées mais un moment d'inattention et je tombe dedans. Je confesse que j'ai toujours eu quelques faiblesses avec ces règles.
Voilà, j'ai corrigé et mis à jour le document. J'espère que vous pourrez maintenant le lire, si vous le souhaitez, sans vous perdre entre madame (la narratrice de la première partie) et monsieur (le narrateur de la dernière partie).
Merci de m'avoir alerté.
Très belle semaine
@Zoé Florent : merci Michèle d'avoir pris le temps de me lire.
J'aimerais publier plus mais les journées n'ont jusqu'à présent que 24h (il parait que le temps passe plus vite à la montagne qu'en plaine, peut être devrais-je déménager en haut du Mont Blanc :D)
Merci pour vos compliments.
Oups, vous avez raison. Je viens de me relire et je me suis fort cogné aux participes passés. J'en ai corrigé un certain nombre. J'ai mis à jour le fichier, j'espère les avoir tous vus.
Très belle semaine,
Amicalement
Vos mises en ligne sont rares mais toujours aussi appréciées, cher @Buvard de mots... Votre plume épurée, mais dense et précise, possède ce je ne sais quoi en plus qui immerge rapidement le lecteur dans vos ambiances et permet d'accéder en temps réel aux impressions et sentiments de vos personnages... Un délice pour l'amatrice que je suis ;-). / Merci pour le partage de cette histoire aussi belle que subtile, qui évoque si bien ces intrusions inopinées et brutales du passé dans nos vies, quand elles nous prennent de court, nous déstabilisent... Bon week-end. Amicalement, Michèle
Ce livre est noté par
Un texte très plaisant et plein de mystères qui m'a donné l'occasion de me souvenir de mon dernier semi-marathon de Lyon ! Un cadre bien réel pour des événements flous. Beau contraste.
@Alain Lamoliatte : Merci Alain.
Peut-être que Elle pourrait devenir l'autre ?
Je suis certaine que vous allez trouver votre équilibre dans ce récit, y compris dans les ellipses. J'aurai grand plaisir à vous relire.
Belle journée à vous !
Bonjour @Valérie Pison2
Bonjour @Zoé Florent
Bonjour @Vanessa Michel
Un grand merci pour vos remarques. Je suis tombé dans mon habituel travers qui est d'être trop elliptique. Les personnages, leur histoire, leurs relations sont clairs pour moi mais je laisse trop de choses non dites qui rendent le texte incompréhensible.
Le fameux "Elle" qui brouille la compréhension est la petite amie de Thomas au moment de leur rencontre. Ce n'est ni la narratrice ni sa copine Aline mais bien une quatrième personne. C'est ce même "Elle" que Thomas rencontre dans la seconde partie. La narratrice n'en donne jamais son prénom car elle se sait perdante, hors concours, face à "Elle".
Je vais retravailler le texte pour clarifier tout ça.
@Vanessa Michel : ici je veux explorer le sentiment de fragilité de la narratrice qui se sait "seconde" et cette forme d'amour si intense qui confine à une mystique que ressent Thomas pour "Elle". Je ressors ma plume, mon encre et mon buvard et j'épure tout ça :)
C'est très gentil de votre part de prendre le temps de lire mon texte et de partager ensuite votre ressenti et votre expérience de lectrice. Je vous en suis très reconnaissant, ça me permet d'avancer.
Encore une fois un grand merci
Et une très belle journée à vous
Bonsoir,
Je n'avais pas vu votre second message. Donc, le formidable Plongeon, dont j'ai été marquée, de par sa sensibilité, sa puissance et sa beauté était bien de vous. C’est à vrai dire avec cette merveille en arrière-pensée que j’avais écrit mon commentaire...
Plus aérien, alors :
1. Plus d'épure, si je me réfère au Plongeon, c'était très direct et très beau. Les descriptions allaient à l'essentiel tout en détaillant ;
2. Moins littéral ou plus suggéré (idem le Plongeon).
Je trouve votre histoire forte, et j'ai l'impression que ses « caractéristiques » ont pris un peu l'ascendant. C'est peut-être la raison de la quatrième personne et des petits imbroglios il/elle. J'ai la sensation que pour le Plongeon, vous aviez glissé tendrement ou avec fougue sur les vagues d'émotions qui se présentaient, et qu’ici c'est plus l'histoire qui a dirigé votre plume.
Je me répète, je suis certaine qu'en aérant, en recentrant, en gardant votre poésie et les sentiments, vous pouvez métamorphoser cette nouvelle. Il suffit de peu, quand on a votre talent et votre sensibilité, pour changer totalement la donne !
Bien cordialement.
P.S.: je n'aurais pas nécessairement mis de guillemet au début.
Je me demandais si fol était intentionnel ou pas, s'il l'est, il n'y a pas de souci bien sûr !
Je suis confuse, je ne me souvenais pas du guillemet de départ. Personnellement « je mets le gros texte dans les grands guillemets qui ouvrent et ferment ici "et les guillemets intérieurs j'utilise ceux-là".»
Bonne journée !
@Vanessa Michel : si vous parlez du texte "Le Plongeon", épousailles de la méditerranée et de l'atlantique pendant des vacances au bord de l'eau de jeunes ados, oui c'était mon texte précédent.
Vos remarques me touchent beaucoup. Merci d'apprécier mon texte.
Qu'entendez-vous par plus aérien ? Épurer un peu plus ?
Très belle semaine,
@Vanessa Michel : merci pour toutes les corrections. j'ai honte de toutes ces fautes. J'ai corrigé et mis à jour le texte.
2 remarques que je n'ai pas prises en compte parce que je me pose la question :
- "fou/fol" : j"ai en tête la chanson des vieux amants de Brel dans lequel il écrit "vingt ans d'amour, c'est l'amour fol". Cela vient de là.
- les guillemets : je ne sais pas comment les traiter. C'est un monologue intérieur donc le texte débute par un guillemet. A l'intérieur de ce monologue, j'ai des dialogues que j'ai également encadrés de guillemet. Mais je n'ai pas ajouté un guillemet ouvrant après la fin du dialogue et la reprise du monologue intérieur. Je ne connais pas les règles typographiques qui s'appliquent. Aurais-je dû ?
@Valérie Pison2 : Oulàlà, que de participes passés ai-je martyrisés. Les règles du français ne sont pas si compliquées mais un moment d'inattention et je tombe dedans. Je confesse que j'ai toujours eu quelques faiblesses avec ces règles.
Voilà, j'ai corrigé et mis à jour le document. J'espère que vous pourrez maintenant le lire, si vous le souhaitez, sans vous perdre entre madame (la narratrice de la première partie) et monsieur (le narrateur de la dernière partie).
Merci de m'avoir alerté.
Très belle semaine
@Zoé Florent : merci Michèle d'avoir pris le temps de me lire.
J'aimerais publier plus mais les journées n'ont jusqu'à présent que 24h (il parait que le temps passe plus vite à la montagne qu'en plaine, peut être devrais-je déménager en haut du Mont Blanc :D)
Merci pour vos compliments.
Oups, vous avez raison. Je viens de me relire et je me suis fort cogné aux participes passés. J'en ai corrigé un certain nombre. J'ai mis à jour le fichier, j'espère les avoir tous vus.
Très belle semaine,
Amicalement