L'oiseau Bleu

611 pages de Floriane Akélois
L'oiseau Bleu Floriane Akélois
Synopsis

"Et si vos rêves portaient la clé de votre histoire
personnelle ?"

Alicia pensait embarquer pour un simple voyage en Corée.

Mais quelque chose l’attendait.
Une présence. Un appel.
Un battement venu d’ailleurs…

Des visions puissantes, étranges, presque sacrées. Un femme aux bras tatoués, deux enfants perdus dans le temps...

Ce qu’Alicia croyait être une hallucination pourrait bien être l’héritage d’un monde qu’on ne voit qu’en fermant les yeux...

Un roman initiatique entre rêve, mémoire
et renaissance.

Publié le 12 Juin 2025

Les statistiques du livre

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1 commentaires , 1 notes
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Bonjour @Cécile Labate,

Un grand merci pour votre retour, que je trouve magnifique et très inspirant. Vos mots m’ont profondément touchée et m’encouragent sincèrement. Merci pour votre sensibilité, votre lecture fine, et cette si belle image de l’aquarelle, que je garderai précieusement.

Concernant la mise en page, j’avais fait ce choix en pensant au confort de lecture, mais vous avez raison : 600 pages peuvent effectivement impressionner ! (L’idée du format A5 est très pertinente.)

Pour répondre à votre question sur le diptyque : pour être honnête, rien n’était prémédité. L’écriture est pour moi un espace de lâcher-prise total, où je me laisse guider par les personnages, le rythme du récit, et ce qu’ils ont à dire. Avec le recul, je comprends mieux aujourd’hui pourquoi ce qu’Alicia traverse prend cette forme fluide, presque implicite — comme vous l’avez si justement perçu. Ces symboles, ces non-dits, nous forcent à nous poser la question : "Qu’est-ce que cela signifie pour moi, en tant que lecteur ou lectrice ?"

Je pense que certains thèmes évolueront ou trouveront leur prolongement dans mes prochains écrits. Comme si j’avais besoin de mûrir, de vivre de nouvelles expériences pour aller plus en profondeur.

Pour ce qui est du couple, il est vrai que ce thème est universel et très ordinaire (je ne veux pas trop spoiler), alors oui, rien de nouveau sous le soleil… Mais je pense que l’on peut s’identifier à ce qu’ils traversent. C’était là, à mes yeux, le plus important : créer cette routine sans tomber dans la caricature — comme vous l’avez justement relevé.

Merci encore d’avoir pris ce temps pour plonger dans mon univers, et pour votre regard si juste. C’est précieux.

Bien à vous,
Floriane

Publié le 15 Juillet 2025
2.01
C’est un très beau roman, j’ai trouvé que vous l’aviez écrit comme si vous aviez peint une aquarelle, par petites touches successives, tout en nuances, en dégradés, avec des endroits presqu’un peu diffus, où il faut s’approcher près pour voir. Et même, deux aquarelles. Celle de la plongée en Corée, subtile, Joon, ce personnage qui donne de la grâce à ce qui l’entoure, ce que l’on lit et ce que l’on devine entre les lignes. A la fois au ralenti et comme si on survolait la scène. Et cette du couple. Plus banale sans doute. Plus déjà lue. Plus difficile de lui donner un traitement original, même si votre style pastel épargne des caricatures. N’empêche, je me demandais pourquoi vous les aviez réunis en diptyque. (vous devriez passer en format A5, cela limiterait le nombre de pages, 600, ça fait peur!)
Publié le 15 Juillet 2025