
Ces textes sont nés au cours de séances de « cadavres exquis » menées avec ma femme, au printemps 1994. Je ne publie ici que les textes de mon cru. Il manque donc sa partie, ce qui explique certaines discontinuités.
Je précise avoir déjà publié « Et tous eurent les yeux vert pâle » sur mBS, en 2021, du vivant de Chantal qui approuvait la démarche et trouva du plaisir à relire ce petit ensemble.
Ce livre est noté par
@ St-Bleyras. Je lis et relis et je ne m'en lasse pas. Je vais l'imprimer. Pour le moment m'obsède l'image du char d'argent tiré par trois coursiers noirs aux yeux fous sur la Via Dolorosa... Amitiés Georges. Anne
@Ernest Cangabir
Merci pour ce commentaire enjoué. Le classement en poésie m'a toujours semblé à éviter, il est prohibitif pour pas mal de gens. Non pas pour la poésie (tant de gens l'apprécient fort) mais à cause de ce qu'on y trouve parfois, en effet. Les classements sont trop tributaires des réseaux de relations (certains sont très fournis). Ce que vous évoquez en est un très bon exemple.
@alain.lamoliatte
Merci pour votre commentaire très stimulant pour moi. Les Yeux vert pâle vous a donc procuré un moment de pure évasion, et j'en suis content pour vous !
J"ai repéré votre livre "Le mur de Berlin doit tomber". J'ai vu qu'il comprend plus de 300 pages, du coup j'hésite à l'aborder. Qu'en pensez-vous ?
Georges
@A.P. Gounon
Merci pour votre commentaire qui m'est une grâce ! J'aime que vous soit arrivée cette chose étrange que vous évoquez. J'aime beaucoup ce genre de vibrations inattendues de la mémoire et du degré de conscience. Et l'étrange sentiment de trouble perceptif qui les accompagne. Merci pour ce partage, cet échange, Anne.
J'ai écrit plusieurs fois sur ce site que je ne savais pas écrire de commentaires sur des textes littéraires à un degré ou à un autre. Je confirme. Je ne sais pas bien comment m'y prendre avec les poèmes en particulier, et donc avec ceux de votre recueil.
J'ai exprimé mon appréciation générale, et annoncé vouloir commenter chacun d'entre eux. Je n'y renonce pas, et je me résoudrai à ce que ce soit très peu conventionnel, càd que ce soit comme ça me viendra assez spontanément. En tout cas, j'ai imprimé ces poèmes pour les lire plus aisément (et plus librement).
Vos trois cœurs sont d'une discrétion qui les honore !
Je n'ai pas votre adresse mail, car contrairement à ce que j'ai écrit précédemment, ce n'est pas moi qui dois chercher à vous contacter via la page "Voir son profil" d'une de vos publications, mais vous qui devez le faire depuis l'une des miennes.
Merci encore Anne pour ce beau commentaire !
Amitiés,
Georges
@Robert C
Merci pour votre commentaire que j'apprécie beaucoup. "Et je vis : c'était un cheval blême (chloros). Celui qui le montait s'appelait la Mort, et l'Hadès le suivait" (Apocalypse 6/8)." Voici qui peut ouvrir et nourrir un imaginaire !
Merci encore, Robert C,
Amicalement,
Georges
@St-Bleyras. Bonjour Georges. J' ai lu et relu votre somptueux texte, à chaque fois plus admirative. Et il m'est arrivé une chose étrange : j'avais l'impression de revenir dans une ville où j'avais longtemps vécu, de me promener dans un jardin où j'avais longtemps rêvé...En vous lisant, je pensais : " J'aurais pu écrire ça !" J'ai adoré vos images qui s'impriment pour toujours sur la rétine, votre style magnifique, et, bien sûr, la charmante surprise des deux poèmes dédicacés qui, en effet, me parlent encore plus que les autres. Merci Georges !
J'y reviendrai car il faut que je précise mes préférences et mes éblouissements. En attendant je vous offre trois coeurs puisqu'on ne peut pas en donner davantage. Amitiés. Anne
Je voulais dire plusieurs fois évidemment, la correction orthographique automatique sur Android n'est pas mon amie!
@Zoé Florent
Merci Michèle. Là tout de suite, merci à vous. Votre commentaire me touche. Toujours cette satisfaction d'être reçu. Je garde précieusement votre lecture des Yeux vert pâle. Je suis touché, je me répète, et vous remercie d'avoir pris la peine de m'écrire ce retour.
Cette double ration de big becs reçoit mon total assentiment (!). Et je vous en adresse itou !
Bonne soirée, Michèle.
Georges