Révoltons-Nous... Bon Sang !

Un joli point de départ que ces deux mot Révoltons-nous !
Je vais découvrir pas à pas ce qui va me donner un nouveau point de vue…
Merci

@ Lys Jean-Luc,

Se prendre en charge, tout le monde n'est pas capable de le faire, hélas ! L'évolution de la société ne va pas dans le bon sens, en particulier pour les gagne-petits. La révolte doit être permanente pour infléchir l'oligarchie rayonnante... Les vrais circuits courts : faire son jardin, élever des poules et des lapins (dans un immeuble de 10 étages !) Je vous quitte en allant tailler mes oliviers, à plus, Fred

Bonjour @Fred Oberson. Après avoir lu les explications du Papy sur la crise, j'ai lu "Révoltons nous... Bon sang", qui, évidemment, me rappelle "Indignez-vous" de Stéphane Essel. Je suis globalement en phase avec ce que ce vous dénoncez, avec un petit bémol cependant concernant la supposée soumission du consommateur face aux grandes surfaces et leur marketing destiné à forcer les ventes. Des mouvements de circuits courts et de ventes directes par les producteurs se mettent en place actuellement et ont le vent en poupe. Tout espoir n'est pas perdu, et le citoyen doit aussi être capable par lui-même de ne pas céder aux mirages du consumérisme. La première révolte, pacifique celle là, consiste pour le citoyen à se prendre en charge chaque fois que ça lui est possible, c'est la seule solution. Elle ne viendra pas du haut, mais de la base, du moins, c'est mon avis.

Je vous remercie pour cette belle page d'histoire mais je pense qu'il ne s'agit plus de se revolter, il faut construire la revolution.

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Ce livre est un cri, une révolte. Un bel ouvrage qui décrit avec précision les différentes situations sociales justifiant cette révolte. Merci

@François daniel @Parcoureur
La révolte est permanente !
Bien à vous, Fred

le titre m'attire

Inventaire des problèmes sociétaux à la Prévert, rien de neuf que ce que nous constatons. De plus ce livre date de mars 2012, bien des aspects sont changés depuis et cela mériterait une réédition avec la critique des fausses solutions mises en œuvre. Donc c'est perdre son temps que de lire cette édition ancienne.

Cher monsieur, J’ai écrit plusieurs essais à caractère politique sans que rien ne change… mais avec un petit espoir que les ruisseaux fassent les grandes rivières. D’où mes coups de gueule que je publie sous forme de billets sur des sites numériques ! Finalement, il n’y a rien de mieux que de lire ou d’écrire des récits ou des romans qui ne sombrent pas dans la morosité actuelle. Allez-y, écrivez de petites nouvelles sur MBS, une fable par exemple, où « les moutons n’auront plus d’herbe ». Merci de m’avoir écrit, j’attends avec impatience de vous lire. Bien à vous, Fred