
Ne dit-on pas à une femme, lorsque l’amour que l’on éprouve envers elle est si intense et passionné, qu’on la mangerait ? Sublime gourmandise partagée si elle aussi ressent le même désir !
Depuis quand cette idée de manger cette femme venue de la mer m’est-elle venue ? Dès cette rencontre inattendue, j’ai été subjugué par tant de beauté et de fraicheur, tout en elle inspirait le désir et l’amour quand elle m’est apparue, telle une nymphe sortant de l’eau, elle s’approchait en marchant sur la pointe des pieds dans le sable chaud de la plage, des perles d’eau ruisselaient sur sa peau ivoire, brillaient au soleil de mille diamants, le ciel bleu azur se noyait dans la mer bleue océan, je ressentais des bleus à l’âme à l’idée qu’elle passe son chemin sans me prêter attention.
Ce livre est noté par
@halicki
Vous êtes très généreux avec votre commentaire. Vous me battez à plate couture dans le parcours de votre vie... J'ai aussi pratiqué une dizaine d'activités dans la mienne. Je vais vous découvrir dans votre dernier livre. Bien à vous, Fred Oberson
@ Bonjour Jean-Luc,
Entre le plaisir d'écrire et celui d'être lu... voici la gageure ! Merci de votre gentille attention.
Bonjour @Fred Oberson
Un beau texte très poétique, que j'ai pris plaisir à lire tout en rêvant à cet îlot caché, ce volcan éteint qui, surgissant des flots, vous permit de donner tout votre amour à cette jolie sirène sortie tout droit de votre imagination fertile.
@ Fred Oberson
Cette nouvelle prenante a de quoi faire réfléchir.
Pleine de vérité on s'identifie aisément. Se demandant si nous aussi, par amour fou, on aurait osé dévorer l'être aimé.
Bravo et salutations de Montreux.
Stéphane Mansour.
@Fred Oberson
J'attends toujours que vous lisiez mes nouvelles, cher Fred ! Cela fait toujours plaisir un retour de lecteur, n'est-ce pas ? :) Bien à vous !
@Zulztabix
Perdu dans les oliviers, je vous remercie tardivement et je vais lire vos nouvelles. Bon dimanche d'écriture!
@Fred Oberson
Si d'aventure, au pied de l'un vos chers oliviers, l'envie vous prenait subitement d'aller zieuter mes petites nouvelles, afin d'y trouver peut-être quelque ombrage sous un soleil cuisant, j'en serai fort ravi. Bien à vous !
@Chris Martelli
Les sirènes ont le pouvoir de changer la fiction en réalité !
Bien à vous, Fred
@Zultabix
Dévorons, dévorons l’amour, dévorons les mots, dévorons vos cent lignes, jusqu’à plus soif d’un repas sans fin et toujours renouvelé.
Merci d’avoir survolé le ciel, au-dessus de mes oliviers que je cultive, que je chérie comme des amantes.
Amicalement, Fred, le cannibale