? La question source du savoir.

81 pages de jean claude ROBIN
? La question source du savoir. jean claude ROBIN
Synopsis

Voyage dans l'inconnu, celui de la réflexion discursive, sans limites, sauf celles de nos facultés, de nos sens, en un mot de l'intelligence humaine.
Pour ceux qui aiment la science et quelquefois la fiction de l'incompréhensible, vous y trouverez les secrets du rêve éveillé. Après tout ce qui est rapporté, vous pourrez disserter sur ce qui suit :
Alors réalité ou illusion. ?

Publié le 04 Juillet 2017

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10 commentaires , 3 notes
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@ Josselyn Pagliarini.
On comprend parfaitement de tels propos, lorsqu'on traite de "l'horreur de vivre" et que cela ne peut que se terminer qu'avec "les derniers soupirs". "C'est une profusion d'absurdités néanmoins salutaires pour le commun des mortels, qui défie si bien notre bon sens qu'elle en nie même l'utilité". Après ce commentaire sur ce que vous écrivez, je le confesse j'ai eu la curiosité d'approfondir le sujet, et d'en faire le panégyrique de ce que j'ai découvert, je dois l'avouer ce qui suit me rassure sur la qualité des vôtres. "Si je peux m'autoriser un reproche, c'est le désordre de votre rédaction...on a plus de difficulté à comprendre la cohérence de votre réflexion", mais aussi "j'ai parfaitement compris votre propos. C'est pourquoi je ne vous ai pas lu au-delà de la première page". Ou encore "qui a envie de lire un livre sur un amnésique qui se préoccupe banalement de météo". Peut-être la plus méchante "Tu as raison Sophie, il vaut mieux ignorer les gens comme moi" quelle agressivité lorsqu'on écrit "vous êtes encore dans la provoc juvénile" etc... Enfin, vos commentaires sont révélateurs d'un détracteur de grand talent, que j'apprécie comme vous pouvez vous l'imaginer.

Publié le 22 Février 2019
1
Je me serais bien passer de l'avant-propos... Page 6 - Si penser, se questionner, signifie vivre, quid des plantes et des animaux ? Bref... - "Depuis l'origine des temps [virgule ?] ce sont les mêmes interrogations qui ne cessent de se poser [lesquelles ?], balisées par un point [un point ou un point d'interrogation ? Je ne pige déjà plus rien...], elles semblent définitivement closes [alors pourquoi ne cessent-elles de se poser ?]. A l'inverse, toute réponse est un complément [un complément de quoi ?] qui souvent induit une nouvelle question [pas si souvent que ça à mon avis...], une marche supplémentaire à franchir [ce n'est plus la vie, c'est une marche maintenant ?], et ainsi de suite pour circonscrire le sujet jusqu'à sa conclusion [une question induisait souvent une nouvelle question, tu l'écrivais dans la phrase précédente, faudrait savoir !!!]. Par le biais du questionnement [par ce biais seulement ?], l'esprit doit parvenir à découvrir des vérités cachés au fond de lui-même [quelle questionnement ? Quelles vérités ? Pourquoi sont-elles cachées ? Pourquoi vouloir les connaître ? J'ai tellement hâte de lire la suite...], vérités qu'il ignore à priori [ a priori sans accent, c'est du latin ! En plus, cet "a priori" ne veut rien dire dans le contexte !] Et tout le reste me semble du même acabit... Je ne sais pas combien de pages je vais tenir... mais je vais de consternation en consternation, c'est magnifique, quelle aventure, mon Dieu, quelle aventure !
Publié le 21 Février 2019

@lamish
Merci Michelle, j'apprécie sans retenue le retour que vous me faites après avoir "boulotté mon petit dernier". J'avais prévenu en introduction, que le questionnement sans limites pré-établies ne permettait pas d'en prévoir à l'avance son aboutissement. C'est encore la réalité de la puissance de la nature qui nous entoure qui l'a emportée, après mes incursions dans l'infini, je suis revenu près de mon étang. Vous comprendrez pourquoi je regrette de ne pas avoir mentionné à la fois le plaisir et le désagrément, que me procure d'autres visiteurs que sont mes hérons cendrés. Le plaisir d'observer la grâce de ces oiseaux magnifiques, comme le sont vos "grues cendrées", mais aussi le désagrément de devoir les chasser pour protéger mes poissons qu'ils adorent "boulotter" à leur guise.Je confesse que j'utilise un artifice pour les encourager à aller se nourrir ailleurs, qui consiste à installer autour de l'étang des hérons cendrés en plastique, comme si la place était déjà occupée, ils ne se posent plus, sans utiliser les méthodes espagnoles. Le défaut, mes leurres sont immobiles, dès qu'ils ont compris le subterfuge, rassurés ils reviennent, la seule solution, changer régulièrement leur emplacement. Au sujet de "l'instinct des grues cendrées", mais aussi des "chenilles processionnaires" je vous promets d'échanger prochainement et vous dire combien j'ai aimé le parcours de vie de Sarah et Julien, accompagné de Kate et Barry, et ce qu'il m'inspire. Avec tous mes remerciements pour les 5 étoiles, je suis ravi que vous ayez partagé avec plaisir mon "petit dernier".
Amicalement Jean Claude.

Publié le 02 Février 2019

@J.C.Heckers
Bien vu ! On ne va pas trancher la question aujourd'hui de savoir quelle a été l'influence de Nietzsche sur "Mein Kampft", beaucoup se sont déjà affrontés sur ce sujet, quant à Elisabeth vous avez raison, aucun doute sur son engagement Nazi. En tous cas félicitations pour ce que vous faites, votre domaine la fiction, n'est pas le mien, vous l'aurez remarqué, la seule fiction que je m'autorise est de me poser des "questions" au niveau qui est le mien, c'est dire celui de "Toto ou de mon chien Charly". vous voyez que je ne sors pas de ma propre "confusion", vous dites "fourre-tout" , à votre guise !
Cordialement.

Publié le 29 Janvier 2019

Cuistrerie pour cuistrerie, on ne pouvait pas demander à l'Heidegger du pauvre de daigner se pencher sur de la philosophie analytique...

Quant à Nietzsche et Mein Kampf, j'ai encore du mal à saisir le rapprochement, sauf... si vous parlez d'Elisabeth falsifiant son frère Friedrich.

Publié le 28 Janvier 2019

@J.C Heckers
Sans polémiquer, le sens et le non sens, concept abordé par Wittgenstein, dont il disait que ce qu'il écrivait avait sa part de "Kitsch", au fond c'est aussi un peu le sens et le non sens de votre jugement.
Quant à votre conseil de me pencher sur "Tractatus logico-philosophicus", je m'en tiendrai ce que disait Jean Paul SARTRE de cet ouvrage, "qu'il préférait lire de la série noire plutôt que ce genre de philosophie". Excusez le coté un peu cuistre de notre échange.

Publié le 28 Janvier 2019

L'auteur savourant le terme "confus", je choisirai l'expression "fourre-tout" pour cet assemblage hétéroclite qui relève de la sophistique bavarde autant qu'erratique.

PS: J'aurais pu éclater de rire en lisant dans le commentaire ci-dessous "« Quant à NIETSCHE après "My Kampft" se rappeler "nos jugements qui apparaîtront aussi dépourvus d'intelligence etc…[…] », si la remarque n'était pas consternante (je vous laisse deviner pourquoi).

PS2: Vous devriez vous pencher sur le "Tractatus logico-philosophicus" de Wittgenstein, il vous ferait le plus grand bien.

Publié le 28 Janvier 2019

@Didier CHATEAU, Merci de votre commentaire ! Je ne retiendrai que l'appréciation "un peu confus" que j'apprécie, car ce sont bien souvent la somme des confusions qui conduit à la vérité. On peut dire sans trop se tromper, que la vérité provoque la confusion. J'ai cité dans mon livre de nombreux scientifiques de grand renom dont on peut dire qu'ils étaient à leur façon très "confus". Paul DIRAC "autiste asperger" disait "une formule mathématique se doit d'être avant tout "esthétique". Richard FEYNMAN, "La nature est quantique. Si vous voulez la comprendre et la représenter, il faut construire un ordinateur qui soit lui même quantique", il ajoutait "je pense pouvoir dire sans trop me tromper que personne ne comprends la mécanique quantique", la nuit il jouait du bongo dans une boite à strip-tease. Ils furent tous les deux prix Nobel. Quant à NIETSCHE après "My Kampft" se rappeler "nos jugements qui apparaîtront aussi dépourvus d'intelligence etc... voir la suite, c'est le dernier paragraphe de mon livre. Le titre "la question source du savoir", j'aurais dû conclure en rappelant une citation de l'homme le plus confus de l'histoire de l'humanité, il en portait le nom "CONFUCIUS", il disait "je ne cherche pas à connaître les réponses, je cherche à comprendre les questions". Pour ma part, j'ai compris comme aimait à le rappeler Henri de MONTHERLANT "Qu'on ne comprend rien à la vie tant qu'on a pas compris que tout y est confusion"
Merci, pour les quatre étoiles.

Publié le 24 Novembre 2018
4
J'ai apprécié ce travail intéressant et bien écrit, bien qu' il m'ai paru un peu confus.
Publié le 15 Novembre 2018

Vos reflexions sur le temps et la connaissance sont justes. Vous mettez bien en valeur la courbe exponentielle du savoir et des connaissances qui dépassent l'entendement tant elles s'accélèrent. C'est la vitesse de l'accumulation qui rend l'homme impuissant à la maitriser. Les champs qu'il investigue sont relayés par l'intelligence artificielle qui est 1 milliards de fois plus rapide, certes, mais qui est incapable comme vous le mentionnez d'investiguer de nouveaux champs. C'est le rôle de l'homme.
J'aime aussi vos reflexions sur les animaux, qui relèvent pour moi plus de leurs capacités d'adaptation, instinct de survie, et évolution que de l'accumulation de savoir par l'intelligence.

Publié le 02 Octobre 2017
4
Votre essai est très intéressant et fort instructif. Merci pour ce partage et au plaisir de vous lire de nouveau.
Publié le 20 Septembre 2017

Oui, pas un roman d’été. Mais un essai fort instructif que je mets dans ma bibliothèque pour le redécouvrir quand le temps se gâtera. Merci d’avoir partagé vos réflexions éclectiques et de bon sens !

Publié le 02 Août 2017

Bonjour Monsieur Jean Claude Robin
Merci beaucoup pour ce livre philosophique
Il me semble qu'il faut le re-lire 2 deux fois
C'est un bon travail

Publié le 23 Juillet 2017