ON A TUE LA MÈRE MICHEL

53 pages
Extrait
de cloclo CARRON
ON A TUE LA MÈRE MICHEL cloclo CARRON
Synopsis

Dans un vieux quartier ouvrier de Rouen et en cette fameuse année 54, une lavandière sexagénaire est retrouvée poignardée sur le carrelage à damier de sa cuisine, dans une posture de mise en scène macabre, apparemment basée sur le jeu d’échecs, selon ce qu’il transparaissait de la scène de crime.
Le commissaire divisionnaire Gédéon FLAMBERGE, un tiers anar et deux tiers original, à la cinquantaine frétillante, ayant flairé une affaire aussi peu ordinaire qu’orthodoxe, avait souhaité aussitôt s’en charger personnellement. Extrait 52 pages. Publié papier aux éditions Edilivre, Amazon

Publié le 08 Mai 2013

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136 commentaires , 29 notes
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Cc papa je viens te voir la semaine prochaine avec ton petit fils

Publié le 24 Juillet 2019

Bonjour Monsieur Carron,

Je suis impressionné par votre façon
d'écrire, j'ai 13 et comme vous je suis née
à Rouen, depuis quelques années j'habite
à Perpignan, mon livre préféré est << on a
tué la mère Michel >> . Biz

Publié le 24 Juillet 2019

BIENTOT 100.000 VUES http://www.inlibroveritas.net/oeuvres/30211/sale-temps-pour-les-faisans#pf18

Publié le 22 Août 2018

@Alix Cordouan. Merci, chère Alix, de vos compliments qui me vont droit au cœur et auxquels je ne manquerai pas de faire suite, en allant visiter votre page à mon tour. CC

Publié le 01 Juin 2018
5
@cloclo CARRON Chouettes descriptions, belles illustrations assaisonnées d'un peu d'argot comme on l'aime, on en redemande. Et puis derrière l'enquête il y a l'histoire, la vraie, celle que l'on oublie de fourrer dans la tête de nos chers bambins pour ne pas risquer de les traumatiser... Quant aux noms propres, c'est du relevé, du soigné, ça virtuose. Une mention spéciale quand même pour BURNEMAUVE, même si Pierre Dac en est l'auteur vous n'avez pas démérité. Merci de nous apporter un peu d'air, on en manque singulièrement.
Publié le 27 Mai 2018

Rincez-vous bien les quinquets, à 50.000 vues je mets en vitrine...

Publié le 23 Décembre 2017

Extrait : "C’était encore trop frais et donc bien trop présent dans les mémoires, pour ne pas devoir entrer en considération dans les nombreuses pistes à suivre dans le déroulement de cette étrange affaire. Et puis il y avait aussi cette tendance encore vaguement facho traquant le « bolchevisme », qui perdurait en catimini dans certaines obscures officines en contact avec leur vague cousin raciste emprunt de KKK encagoulé et de maccarthysme venu d’Outre atlantique dès l’année 1951, malgré la récente victoire sur le fascisme et le nazisme. Tendance qui semblait encore bien pourtant hanter l’environnement de cette affaire trouvant ses origines depuis l’avant guerre et qui plaçait ce commissaire catalogué pro « coco », dans une espèce de doute permanent qui ne lui disait même vraiment rien qui vaille. Ce constat lui tira même une réflexion :
- Alors quoi ? Ils auraient encore pignon sur rue malgré tout ce cirque, ces morts et cette souffrance?
DUGARD se demanda de quoi il retournait pour l’entendre bougonner ce genre de phrase plutôt absconse :
- Rien de bien grave mon bon DUGARD, je faisais juste l’inventaire de mes périodes sombres. Au fait, que pensez-vous des hommes de mon cher collègue, vous DUGARD ? Vous êtes bien placé, il me semble. Vous les connaissez plutôt bien, non ?
- Mis à part FOURGNACE et BOURLAFIOLE avec lesquels j’ai de très bons contacts et qui n’ont qu’une hâte c’est de venir dans notre service, les autres sont toujours plutôt entre eux. Des prétentieux se prenant pour le dessus du panier et si vous me permettez de dire toute ma pensée à leur sujet…
- Allez-y, mon bon DUGARD, lâchez-vous, nous sommes entre nous.
- Eh bien je ne sais pas vraiment d’où ils sortent ces gars-là, mais ils font plus malfrats que policiers et du coup, ils font même un sacré tord à l’image de la profession, avec leur comportement fascisant. Je les ai déjà vu interroger un suspect une fois ou deux, et bien çà m’a suffit à me faire une idée sur eux, tant leurs méthodes ressemblaient furieusement à ce que la gestapo française faisait aux résistants, en guise d’interrogatoire entre gégène et baignoire ou à coups de serviette trempée.
Enfin quoi, ce n’est tout de même pas des comportements dignes de la police républicaine française, ces tortures de citoyens. Voilà ce que j’en dit, moi, chef.
-Et bien mon bon DUGARD, sachez que vous prêchez un converti, et je dirai même que vous me faites plaisir par votre saine répulsion envers ce genre de basse police. Alors, restons vigilants et ayons les à l’œil, voulez-vous ?
- Je n’osais pas vous le demander chef. Vous savez, moi le coup de l’esprit de corps dont ne cesse de faire état le commissaire LAPANOUILLE pour qu’on écrase? Hé bien çà, moi çà me débecte. Vis à vis de leurs exactions ce genre de connivence, çà touche l’omerta complice, çà.
- Ouais, je vois très bien çà aussi ainsi. LAPANOUILLE dissimule çà par de l’esprit de corps comme s’il s’agissait de solidarité envers une cause juste, alors que dans ce cas précis, c’est plutôt l’esprit de bande des loups visant à la conservation d’un petit esprit bourgeois, voyez-vous ?. Enfin bref, passons à autre chose. On se comprend parfaitement et c’est bien çà le principal dans l’immédiat.
- Ah non chef, le principal c’est vous !
- Oh ! Oh ! Oh ! Mais c’est qu’on s’essaie à l’humour, en plus, dites-moi mon bon DUGARD.
- Ah bah ! A votre contact c’est normal chef.
- J’avais oublié la flagornerie ?
- Ah non ! Là c’n’est pas juste chef, c’est vrai que j’ai du mal à être critique à votre égard, mais mon compliment est tout à fait sincère.
- Vous aurais-je vexé ? En ce cas, veuillez excuser cette légère mise en boîte mon cher DUGARD.
Je vous prie de croire que votre compliment sincère me va droit au cœur, mon cher suppléant.
De toute façon, FLAMBERGE méritait bien le profond respect qu’avait pour lui son doublard. C’était un de ces braves poulets de la sociale, un de ces trop peu nombreux grands flics humains autant que sobrement républicains, se considérant avant tout comme étant au service de la population, en se sachant respecter pour l’accomplissement de ce devoir de veille à sa sécurité du peuple républicain. Cette logique de respect mutuel, supposant chaque citoyen quelque soit sa position sociale, comme étant respectable dès lors qu’il respecte lui-même la loi et les autres. Une police comme on se la souhaiterait tous. Quoi d’autre ?
Son seul regret fut de ne pas avoir eu de progéniture avec sa chère et douce Louise, une digne descendante d’andalous républicains, avec laquelle il vivait un mariage des plus heureux depuis près de trente ans. Il s’était donc rabattu sur son chartrain, un greffier de classe nommé Néron, son chien Eusèbe – prénommé ainsi en représailles envers son confrère Eusèbe LAPANOUILLE, sur un coup de colère survenu le jour de la naissance du cabot – une erreur de la nature virant accident de croisement donnant dans le mélange incertain, oscillant entre le saucisson à pattes et le fox à poils durs à tête de bouledogue français, les canaris de sa femme et enfin ses chers neveux et nièces qui n’étaient pas toujours de tout repos, mais qui adoraient les histoires policières que leur contait leur oncle Gédéon. Un paterfamilias doublé d’un samaritain. Quand il ne prenait pas sous son aile, un de ces pauvres moineaux des rues, du genre de FREDDY, qui devenait peu à peu ce fils spirituel qu’il envisageait secrètement depuis peu, d’aider à suivre une formation d’inspecteur.
Et alors ? Cà gène quelqu’un, un flic humain et un demi sel qui cherche à se réinsérer?"

Publié le 15 Octobre 2017

@ Michel CANAL. Merci Michel pour cet éloge qui me va droit au cœur. Content d'avoir envoyé aux pelotes, la miss en question, pour avoir le bonheur de vous lire. Je ne manquerai pas de venir lire votre roman (je suis très pris sur les réseaux pour aider mon candidat) demain ou mercredi. Cordialement. A bientôt. CC

Publié le 13 Février 2017
5
Réveil tardif pour passer au polar façon @Claude CARRON, que j'ai découvert en fait grâce (ou à cause) des vifs échanges avec la spécialiste des commentaires acides (que je ne nommerai pas pour ne pas m'attirer les foudres de sa vindicte après en avoir astucieusement réchappé). Au vu de certains commentaires d'amateurs du genre, je confirme qu'il y a un "style CARRON" qu'il ne sied pas de comparer à d'autres. Vous devez je suppose trouver un certain plaisir en écrivant vos polars, maniant l'humour, la science policière, l'ambiance particulière d'une équipe autour d'un commissaire à nul autre pareil, auréolé d'une réputation. Merci pour ce bon moment de lecture, ces rappels historiques, cette incursion dans un langage propre au polar et qui est une autre façon d'écrire. Merci pour ce partage. Longue vie au commissaire FLAMBERGE et à son équipe. MC
Publié le 10 Février 2017

@Pierrick Nous sommes bien d'accord. A bientôt. CC

Publié le 26 Janvier 2017

@Claude Carron
Alors, je vois que nous sommes sur la même longueur d'onde. L'écriture sincère, il n'y a que cela de vrai. Bonne continuation. Bien à vous.PBP

Publié le 26 Janvier 2017

@Pierrick Blin-Paulin Merci Pierrick. Que voilà aussi un compliment plutôt bien formulé. Merci de me reconnaître que je fais du CARRON, et, cela, surtout moins mal que si je m'évertuais à copier vaguement mes idoles du genre. C'est bien du polar rigolard que j'aime produire et surtout, en veillant à garder en toile de fond les vieux coins ouvriers de cette ville où je suis né (en 51) et qu'aimaient fréquenter HUGO, FLAUBERT, MAUPASSANT, SIMENON et quelques peintres célèbres... Je veille aussi également à y mettre des faits historiques, auxquels je mêle mes personnages limite caricaturaux. Un style entièrement à part, faute d'en avoir un à part entière, quoi. Encore merci. CC

Publié le 26 Janvier 2017
4
@Claude CARRON Bonjour, Voilà un extrait plutôt bien troussé. C'est sympathique, parfois rigolard, bon enfant. Ca nous replonge un brin dans les polars de série B, style (en gros) années 55/60 et c'est assez plaisant, surtout pour des vieux crocodiles comme moi nourri à l'encre de Simonin, Audiard, Boudard, Le Breton. Bon, maintenant, on n'va pas se la raconter, mon cher Claude, on n'est pas non plus, comme je l'ai lu juste en dessous, dans la cour du Pape Dard ! Eh oui, il faut savoir quand même raison garder. Et puis, ce cadeau de la filiation offert à un auteur est souvent, un cadeau empoisonné. Ca pèse lourd sur les épaules et ça peut encombrer le bulbe. Ecrire en étant soi-même, droit dans ses bottes et « décontracté du gland », ça vaut bien plus que toutes les comparaisons avec les illustres, non ? C'est drôle et un peu con cet actuel besoin de toujours bramer dans les médias que, ça y est, on a trouvé le « nouveau Belmondo », le « nouveau Brel », le « nouveau Michel Audiard », etc...Ca en devient limite insultant pour celui qui essaye tout simplement d'avoir sa propre patte, son propre STYLE. Il en a peut-être rien à glander, lui,d'être comparé. Peut-être même que ça les lui brise menu ! Moi, j'dis, faites du Carron, c'est déjà pas mal. Bien à vous.
Publié le 22 Janvier 2017

@Jean-Paul Andersen : Merci Jean-Paul pour ce message plutôt flatteur. Me comparer à l'un de mes maîtres à penser et en plus, me reconnaître une touche très personnelle ébouriffante, je suis aux anges. A bientôt. CC

Publié le 30 Octobre 2016
5
Du Frédéric Dard avec un je ne sais quoi de plus séduisant, de plus ébouriffant. Très réussi.
Publié le 26 Octobre 2016

MISE EN ROUTE DU FEUILLETON

Publié le 07 Septembre 2016

@cloclo CARRON, le titre de votre ouvrage m'a
frappé dans l'oeil et je suis entrain de le lire! Je reviendrai vers vous pour les impressions
Je viens de publier la Perle de l'Ombre et je vous
invite à le lire et à me laisser vos impressions!

Publié le 27 Avril 2016

Merci Open Livre et bonne journée aussi. Aujourd’hui beau soleil à 15 km de Pont-Audemer (la Venise normande), Deauville 40 km... à bientôt pour la note. CC

Publié le 18 Avril 2016

Bonjour, merci pour ces précisions. D’où l’on voit l’intérêt de livres « régionaux » pour parfaire notre culture.
Bonne journée (j’espère aussi ensoleillée qu'a Brest aujourd'hui).

Publié le 17 Avril 2016

Bonjour @Openlivre. Merci de ce compliment très encourageant.

Alors le petit loup à vint balles. C'était (sur ROUEN et les environs, nommés le pays de Roumois) des petits paquets de bois bien sec, taillés à la hachette, qui servaient à allumer le feu et qu'on trouvait chez le charbonnier ou l'épicière du coin. Ça se retrouve à nouveau dans les petits "supermarket" pour allumer le barbecue, mais là, ça coûte bonbon. Les "vingt balles" en question étaient en réalité (dans les années cinquante), une pièce blanche de cinq francs (frappée de 1945 à 1952) appelée à l'époque "cent sous" par les anciens de l'époque qui avaient fait la grande guerre ou vingt balles pour les plus jeunes ayant connu la monnaie maréchaliste et le sou troué équivalent à vingt centimes. Ces cinq francs en aluminium (donc très légère) deviendront cinq centimes lors de la dévaluation de 1960.

Publié le 17 Avril 2016
5
Ambiance des années 1950 qui fait du bien en cette année 2016 si noire. Et si le rire peut nous rendre la vie moins sombre, alors ce roman est un médicament qui devrait être prescrit par les médecins et remboursé par la sécurité sociale. PS : qu’est-ce qu’un petit loup à 20 balles ?
Publié le 16 Avril 2016

Morival Elise
24 ans / Lille
Genres évalués :
Policier Thriller Nouvelles/ contes
Inscrit(e) le : 28-Jan-2013
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« Architecte »

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8.00 Appréciation Globale

8.00 Appréciation Littéraire

On A Tue La Mère Michel
Dans un vieux quartier ouvrier de Rouen et en cette fameuse année 54, une lavandière sexagénaire est retrouvée poignardée sur le carrelage à damier de sa cuisine, dans une posture de mise en scène macabre, apparemment basée sur le jeu d’échecs, selon ce qu'il semblait transparaître de la scène de crime.

Le commissaire divisionnaire Gédéon FLAMBERGE, un tiers anar et deux tiers original, à la cinquantaine frétillante, ayant flairé une affaire aussi peu orthodoxe qu'ordinaire, avait souhaité aussitôt s’en charger personnellement, au grand dam de son malencontreux subalterne, le commissaire Eusèbe LAPANOUILLE.
Mon résumé
L'histoire débute par le meurtre farfelu et inexpliqué d'une certaine Mère Michel, et narre l'enquête suivi par les inspecteurs Flamberge et Dugland (plus communément appelé Dugard). Histoire et folklore se mêle pour servir une intrigue bien ficelée.

Appréciation générale
En une phrase : Une belle surprise pour cette première lecture! L'écriture particulière m'a donné un peu de fil à retordre au début, mais une fois accrochée à l'intrigue, je n'ai pu m'en détacher.

Ce que j'ai particulièrement apprécié : Les jeux de mots ; le vocabulaire utilisé qui n'est pas le vocabulaire "commun" utilisé tous les jours ; l'écriture encore une fois ni "commune" ni "simpliste"; les références historique qui nous permettent de situer l'histoire clairement dans le temps et dans le contexte ; les caractères des personnage, très bien définis, et qui permettent la possibilité de s'identifier à eux ou en tout cas de reconnaître des personnes proches... ; le personnage de FLAMBERGE qui se trouve être finalement assez attachant

Autres commentaires
Style littéraire : Ecriture très intéressante et un style déjà bien défini.

Mon sentiment sur le titre du livre : Révélateur du roman mais également du style de l'auteur. J'ai choisi ce titre parmi d'autres en m'attendant à un style précis et c'est exactement ce que j'ai eu!

Ce que je pense des personnages : J'ai trouvé les personnages principaux bien définis et je ne serais ni étonnée ni mécontente de retrouver l'inspecteur Flamberge dans d'autres aventures.

Ce que je pense du thème général du livre :

Ce livre ferait-il un bon film ? : L'histoire reste celle d'un meurtre et d'une enquête visant à résoudre ce meurtre. A mon sens, ce livre policier n'a pas plus de raison qu'un autre de faire un bon ou un mauvais film.

Publié le 02 Avril 2016

http://www.eyrolles.com/Loisirs/Livre/on-a-tue-la-mere-michel-9782332551924

Publié le 28 Mars 2016

LA SUITE des aventures de ce commissaire divisionnaire hors norme : "FLAMBERGE SE REBIFFE" est désormais disponible en version papier (370 pages) sur le site des éditions EDILIVRE et bientôt sur ceux de la vente en ligne : Amazon, Fnac, Domaine...

Publié le 06 Novembre 2015

Merci de ce vent de fraîcheur lamish. Oui, on me fait souvent part d'une certaine difficulté au démarrage de ce polar (mon premier du genre) et la suite : "Flamberge se rebiffe" est un peu plus facile d'accès. Disons que j'avais voulu promener un peu le lecteur autour des zones d'ombre qui auraient pu surgir vers le milieu du polar, avant que ce dernier ne comprenne le pourquoi de cette mise en jambe. Certains lecteurs m'ont reproché cette "bizarrerie" et ont avoué avoir décroché avant le dessert, en ne voyant pas son côté imagé. Dommage... CC

Publié le 04 Octobre 2015

La mère MICHEL était une lavandière bilingue. C’est fou çà !
- MICHEL, MICHEL ? Ca serait donc d’origine russe comme nom? Bizarre, çà, non ?
- Non, pas vraiment chef. Puisque çà ne serait pas son vrai nom non plus, en définitive.
- Bon sang ! Le mystère s’épaissit. On va finir où là ?
Bon vous ratissez large et vous m’interrogez tout le quartier, pour en savoir un peu plus ! J’veux du concret, du solide et çà, pour hier. J’veux qu’çà saute et fissa !
- Bah, je n’en ai pas fini là ! C’est qu’c’à en fait un paquet de monde à interroger. Pensez chef. Le quartier c’est au bas mot quatre cent logements répartis sur les rues : SAINT VIVIEN, FLEURIGUET, POMME D’OR, ORBE, Théodore LEBRETON, de l’AMITIE et ABBE DE L’EPEE.
Ch’uis pas rendu, moi. D’autant que DANLEZARD est à l’hosto pour faire dessécher son chancre mou qui suinte et que TRACHEMOINZE est parti en vacances se faire dorer la pilule aux Dardanelles, chef.
- Ah ! Oui bon sang, c’est vrai, merdouille, chtouille et carambouille ! Et bien, demandez donc de ma part quelques renforts à cet « excellent », cet inénarrable et illustrissime commissaire LAPANOUILLE, qui se fera un devoir de vous les fournir.
Tiens, essayez donc de voir, par la même occasion, si vous ne pourriez pas, par hasard, arriver à récupérer les gars FOURGNACE et BOURLAFIOLE, ses deux meilleurs éléments qui s'étiolent dans son service...

Publié le 18 Septembre 2015

Il paraît que le vintage est très tendance. Je ne l'ai pas fait exprès, mais j'en suis bien content. CC

Publié le 07 Septembre 2015

ROUEN (76) :
Jean d’ AILLON : Rouen 1203 (Flammarion) Guilhem d’Ussel se rend à Rouen pour punir celui qui a tué ses gens
Michel BUSSI : Mourir sur seine (Ed. PTC) Se déroule pendant l’Armada 2008 de Rouen.
Jean CALBRIX : Mon cadavre s’enroue à Rouen (Charles Corlet) Nouvelle enquête de l’inspecteur Limard sur la disparition d’un médecin en forêt de Canteleu.
Jean CALBRIX : Crime sordide près de Rouen (Charles Corlet)
Claude CARRON : On a tué la mère Michel (Edilivre)
Gilles DELABIE : Les communiants de Rouen (Ravet-Anceau, Polars en Nord)
Philippe FEENY : Amer café (Krakoen) Roman policier contemporain, se déroule à ROUEN en 1948.
Fabienne FERRERE : un chien du diable (Denoel, 10/18 G. Détectives) Roman policier historique se déroulant en novembre 1594 à ROUEN. Une enquête de Gilles Bayonne.
Rodolphe FONTAINE : Nostalgie, quand tu nous tues (Les 2 encres)
Françoise KERMINA : Où sont les diamants du roi ? Enquête à Rouen sous la Terreur (Charles Corlet) Roman policier historique se dér oulant pendant la révolution
Aude LHOTELAIS : Le Tueur de Rouen se dévoile (Ravet-Anceau) Sur une des hauteurs qui dominent la ville de Rouen, le cadavre d’une étudiante intrigue les policiers. Il est recouvert de micro coupures, la victime s’est vidée de son sang et son assassin a laissé un message codé à l’attention des enquêteurs.
Patrick MOREL : Double meurtre à Rouen (Ravet Anceau, Polars en Nord)
Nadine MOUSSELET : Pour ta pénitence (Charles Corlet) Une nouvelle enquete de Laura Claes dans les rues de Rouen
Max OBIONE : Calmar au sang (Krakoen) Un Rouen de cauchemar ? En tout cas, un pastiche du Poulpe complètement déjanté. D’aucuns prétendent que ce Calmar fait la nique aux meilleurs des Poulpe !
Georges SIMENON : Oncle Charles s’est enfermé (Folio) A Rouen, Charles Dupeux est bouleversé lorsqu’il apprend le monstrueux secret de la fortune d’Henri, son beau-frère.

Publié le 26 Juillet 2015

Auteurs romans policiers normands :

http://polar.zonelivre.fr/romans-policiers-en-normandie/#R

Publié le 26 Juillet 2015

Bonjour, j'ai lu l'extrait de votre manuscrit et malheureusement je n'ai pas du tout accroché au style de la narration. Je ne suis pas quelqu'un qui a l'habitude de lire des histoires policières et c'est peut-être pour ça que je n'ai pas su apprécier votre histoire. Je regarde plutôt des séries policières à la télévision comme "Sœur Thérèse" - "Le Sang de la Vigne'' - et des séries anciennes comme "Les mystères de l'Ouest" - ''Mission Impossible'' et je pense que ça s'éloigne trop de ce que j'ai l'habitude de voir. J'ai choisi de lire ce livre parce que je trouvais le sujet intéressant et on se doute que c'est un livre où il y aura beaucoup d'humour et des jeux de mots, d’où le titre et j'avais déjà lu le début je trouvais dommage de ne pas poursuivre la lecture. En tout cas j'aurais bien voulu savoir comment ça se termine, connaître l'identité du meurtrier, et c'est un point positif et j'ai apprécié les détails de narration qui permettent de bien imaginer les scènes de crime par exemple. Je vais donc m'abstenir de noter et je vous remercie néanmoins pour ce partage, en vous souhaitant une bonne continuation.

Publié le 22 Juillet 2015

Bonjour Marie et merci pour ce petit mot. Content que ce style un peu baroque et vintage vous plaise. A bientôt sur votre livre. CC

Publié le 19 Juillet 2015
5
Bonjour Claude. J'ai beaucoup aimé cet extrait truculent "ambiance "Brigade du tigre"". L'intrigue est bien menée, les mots sont savoureux, certaines expressions sont vraiment drôles. On a bien sûr envie de connaître le dénouement. C'est vraiment très plaisant. J'espère que vous aimerez "Les écrits" qui est dans un tout autre registre d'écriture. A bientôt.
Publié le 17 Juillet 2015

Merci Richard. Je note la difficulté sur les jeux de mots. très intéressant. A bientôt. CC

Publié le 06 Juin 2015

Point de vue sur le site Nouvelles plumes :

A Rouen, le commissaire divisionnaire Flamberge se trouve confronter au meurtre intriguant d'une vielle lavandière: Mme Michèle. Sur fond d'après guerre entre intrigues mêlant ancien collabo, ancien nazi, nouveau coco, nouveau flics ripoux et espionnage, le commissaire Famberge va résoudre cette affaire en sac de noeud, aider par son adjoint Dugard et ,à son insu, le commissaire Lapapouille.
> Public concerné : Tous

Appréciation globaleEn une phrase:
J'aime bien l'intrigue, elle se tient. Même si par moment j'ai eu du mal a suivre les raisonnements parce que mes connaissance en histoire concernant l'après guerre sont limitées. En fait j'ai réellement commencé à apprécier le roman quand le commissaire Flamberge rencontre Descroisilles.

J'ai particulièrement apprécié:
Les dialogues et le langage général du livre; le vocabulaire et le rythme. A partir du milieu du livre , lors du rebondissement sur le fait que la mère Michèle n'est pas vraiment morte et que ce n'est pas la mère Michèle, en fait. On comprends l’intérêt des intrigues politiques.

Autres commentairesStyle littéraire:
Ça fait du bien de lire un roman qui ne soit pas soit du langage soutenu, soit du langage contemporain mais un mélange de ces deux là ajouter à du patois comme on dit par chez nous.

Mon sentiment sur le titre du livre:
c'est un bon titre, accrocheur. Même si parfois je me suis demandée s'il ne valait pas mieux l’appeler "on a tuer le perco"

Ce que je pense des personnages:
Le choix des noms et l'explication sur leur origine sont dissuasifs, on se demande sur quel type de roman on est en train de lire, est-ce un gag?. D'autant que sur une bonne partie du roman, les personnages manquent de profondeur, on ne s'attache ni s'identifie à aucun d'eux. Jusqu’à l'apparition de Freddy.

Ce que je pense du thème général du livre:
Pour ma part je me dirige rarement vers des romans policier se situant à l'après guerre, donc je trouve le thème original n'ayant pas de point de référence.

Ce livre ferait-il un bon film ?
Je ne pense pas que j'irais voir un film issu de ce roman, par contre une pièce de théâtre le mettrai à coup sure en valeur.

Publié le 17 Mai 2015

http://polar.zonelivre.fr/romans-policiers-en-normandie/

Publié le 17 Mai 2015

R
ROUEN (76) :
Jean d’ AILLON : Rouen 1203 (Flammarion) Guilhem d’Ussel se rend à Rouen pour punir celui qui a tué ses gens
Michel BUSSI : Mourir sur seine (Ed. PTC) Se déroule pendant l’Armada 2008 de Rouen.
Jean CALBRIX : Mon cadavre s’enroue à Rouen (Charles Corlet) Nouvelle enquête de l’inspecteur Limard sur la disparition d’un médecin en forêt de Canteleu.
Jean CALBRIX : Crime sordide près de Rouen (Charles Corlet)
Claude CARRON : On a tué la mère Michel (Edilivre)
Gilles DELABIE : Les communiants de Rouen (Ravet-Anceau, Polars en Nord)
Philippe FEENY : Amer café (Krakoen) Roman policier contemporain, se déroule à ROUEN en 1948.
Fabienne FERRERE : un chien du diable (Denoel, 10/18 G. Détectives) Roman policier historique se déroulant en novembre 1594 à ROUEN. Une enquête de Gilles Bayonne.
Rodolphe FONTAINE : Nostalgie, quand tu nous tues (Les 2 encres)
Françoise KERMINA : Où sont les diamants du roi ? Enquête à Rouen sous la Terreur (Charles Corlet) Roman policier historique se dér oulant pendant la révolution
Aude LHOTELAIS : Le Tueur de Rouen se dévoile (Ravet-Anceau) Sur une des hauteurs qui dominent la ville de Rouen, le cadavre d’une étudiante intrigue les policiers. Il est recouvert de micro coupures, la victime s’est vidée de son sang et son assassin a laissé un message codé à l’attention des enquêteurs.
Patrick MOREL : Double meurtre à Rouen (Ravet Anceau, Polars en Nord)
Nadine MOUSSELET : Pour ta pénitence (Charles Corlet) Une nouvelle enquete de Laura Claes dans les rues de Rouen
Max OBIONE : Calmar au sang (Krakoen) Un Rouen de cauchemar ? En tout cas, un pastiche du Poulpe complètement déjanté. D’aucuns prétendent que ce Calmar fait la nique aux meilleurs des Poulpe !
Georges SIMENON : Oncle Charles s’est enfermé (Folio) A Rouen, Charles Dupeux est bouleversé lorsqu’il apprend le monstrueux secret de la fortune d’Henri, son beau-frère.

Publié le 10 Mars 2015

Je n'ai pas eu le temps de chercher le tiens hier. Là tu me le donne, je te contacte ce matin. CC Voilà mon mail : stephbelami@hotmail.com

Publié le 14 Février 2015

OK

Publié le 12 Février 2015

Il n'empêche, mon poto que tu es incontournable.

Publié le 10 Février 2015

Merci mon poto et longue vie à tes oeuvres

Publié le 09 Février 2015

Extrait : LAPANOUILLE : "Une pauvre vieille femme de ménage assassinée chez elle pour des broutilles, par des aigrefins sans foi ni loi, pour qui la vie et la loi ne représentent pas grand chose. Rien de bien énigmatique là-dedans et pas vraiment de quoi en faire l’affaire du siècle, d’autant que dans ce genre de quartier ouvrier plutôt mal famé où le délit et la rapine sont monnaie courante, ce genre de filous ne manque évidemment pas. Le coupable ne doit pas être bien loin et donc, pas bien dur à trouver. Il ne faut tout de même pas être sorti de Saint-Cyr pour comprendre d’emblée qu’il s’agit d’un banal crime crapuleux, enfin. L’un de mes hommes en espionnage dans un bistrot du coin, aurait appris que le quartier avait même vu il y a quelques mois, un dénommé Marcel qui se serait battu dans un coupe-gorge de la rue Fleuriguet, et qui serait reparti à pied à l’hôpital avec un couteau planté dans le dos, et que ce serait même son agresseur l’ayant poignardé qui prétendait, de surcroît, porter plainte. Vous avouerez que ce quartier abrite de bien drôles de paroissiens, tout de même. Et même s’il trouvait le coupable, çà fera quoi au bout du compte ? Tout au plus un entrefilet dans les chiens écrasés d’une gazette locale. Vous parlez d’une récompense en contrepartie d’autant de recherches. Je vous le dis les amis, le ridicule guette bel et bien notre illustre commissaire FLAMBERGE!"

Publié le 08 Février 2015

le polar : "On a tué la mère Michel" en intégral est visible sur Amazon KDP , sur liseuse. CC

Publié le 03 Janvier 2015

Merci LAULALAULA. A très bientôt. CC

Publié le 03 Janvier 2015
5
Merci pour cet extrait plein de verve et d'humour qui donne envie de lire la suite...
Publié le 03 Janvier 2015

J'informe mes lecteurs que je participe au concours de nouvelles : "50 nuances de père Noel" sur MBS. Nouvelle rendue le 14 décembre 2014

Publié le 21 Décembre 2014

Bonsoir Yannick,je vous envoie çà ce jour. CC

Publié le 18 Novembre 2014

Bonsoir Claude. C'est gentil de me proposer cela. Vous pouvez envoyer cela à l'adresse suivante: yannick.fradin@gmail.com. Merci et bonne soirée.

Publié le 17 Novembre 2014

Bonjour Yannick. Donnez-moi une adresse mail et je vous envoie çà en PDF. CC

Publié le 13 Novembre 2014

Bonjour Claude. Merci pour cette précision et félicitations pour cette nouvelle étape. Il ne me reste plus qu'à me procurer votre livre si je veux en connaître la fin. Mais QUI a tué la Mère Michel, et surtout POURQUOI, scrogneugneu? Bonne fin de journée.

Publié le 12 Novembre 2014

Merci Yannick. Ce n'est un extrait que depuis quelques jours. Jusque récemment, j'avais mis l'intégralité du polar, mais comme il est édité chez Edilivre je suis contraint de ne mettre qu'un extrait. Le nom des collabos cités (locaux et nationaux) est vérifiable sur internet. A bientôt. CC

Publié le 12 Novembre 2014
4
Ah mais zut, je n'avais pas fait attention au fait qu'il s'agissait d'un extrait, même si en voyant 52 pages, j'aurais dû m'en douter. C'est original et drôle, en tout cas très vivant et bourré de clins d'yeux (ça se met au pluriel ça?) dont une bonne partie m'auront sûrement échappé, ne connaissant pas la ville de Rouen. En tout cas, on retrouve les éléments d'un bon polar, avec un ton et un style ma foi fort plaisants, et je dois ajouter que si je passe un jour par Rouen ou à proximité, l'envie de prendre le temps d'essayer de repérer au moins certains des lieux mentionnés dans cette enquête sera probablement de la partie, ainsi peut-être que le désir impérieux d'aller au commissariat du coin pour se renseigner sur les patronymes des fonctionnaires qui y travaillent, et qui sait, parvenir à poser le regard sur une machine à café d'un genre particulier. Blague mise à part, j'ai bien aimé et je suis curieux de connaître la suite.
Publié le 11 Novembre 2014

Merci Kris à bientôt. CC

Publié le 08 Novembre 2014

Je ne m'étais pas trompé, du grand ART, mes félicitations une fois de plus CC, Ps : J'ai posté un autre recueil (Poémitude tome 10).

Publié le 07 Novembre 2014

Merci Julien, j'y vole ! CC

Publié le 01 Novembre 2014

Merci Thierry. C'est une vraie mère poule qui fait des œufs de chez Lustucru. L’eussions-nous cru ? Merci pour le clin d’œil. A très bientôt...CC

Publié le 29 Octobre 2014

Merci Héros. C'est gentil. CC

Publié le 18 Octobre 2014

Merci Yannick. Bonne lecture. CC

Publié le 15 Octobre 2014

Bonjour Claude. Je prends votre livre dans ma bibliothèque. Cela fait un moment que je compte le lire, et comme mes lectures en cours seront bientôt terminées, je devrais pouvoir m'y mettre d'ici début novembre. A bientôt pour un retour quand je l'aurai terminé. Cordialement.

Publié le 14 Octobre 2014

Merci Roger c'est avec joie que je recueille tes félicitations (on est du même millésime, alors on se tutoie) et je suis tout à fait d'accord avec ton constat sur les fils et filles de, qui (à part quelques uns ayant vraiment du talent) se servent surtout des connaissances de leurs parents pour "percer". Cordialement. CC

Publié le 13 Octobre 2014
5
Bonjour Claude Toutes mes félicitations .Très content pour toi c'est mérité. Enfin un ''ptit ''jeune qui ne devra sa gloire qu'a son talent .Marre des fils ou filles DE qui n'ont que comme seuls talents que le nom de leur parent. Cordialement roger
Publié le 13 Octobre 2014

Comme je vous l'ai mis sur votre dernier livre, je vous remercie de votre compliment qui me va droit au cœur, tout en vous le retournant pour la qualité humaniste contenue dans vos écrits. Cordialement. CC

Publié le 04 Octobre 2014
5
Je vous admire pour votre noblesse d'âme!
Publié le 04 Octobre 2014

Merci Parcoureur de cette charmante et éclairée analyse. Pour l'éditeur c'est déjà fait, mais il est vrai que j'ai créé cette œuvrette, avant tout comme un scénario de film. Ce roman est édité chez Edilivre (les vilains ne corrigent pas les fautes, je vais donc devoir m'améliorer en orthographe et dans le style). J'ai même commis une suite, c'est là, en dessous et çà s'appelle : "Et un poulet rouennais sauce pruneaux, un !" On sent un progrès... CC

Publié le 30 Septembre 2014
4
Très bien
Publié le 29 Septembre 2014

Déjà merci pour votre avis posté pour "Radars et justes sanctions",
ce qui m'a incité à vous lire. Votre livre, c'est sans regret que je l'ai lu jusqu'au bout.
Ce qui m'a retenu c'est l'humour des personnages. L'intrigue est presque un fil invisible nécessaire à relier chaque scène typique, de part leur
langage et leurs jeux de mots. L'écriture semble faite que de dialogues, prêts pour un téléfilm.
L'aspect de l'intrigue policière est presque secondaire, ce sont le style de l'auteur et son phrasé qui aguichent incessamment.
Je venais de regarder à la TV petits meurtres selon Agatha Christie, aussi en démarrant ma lecture j'ai de suite pensé au commissaire et la journaliste.
J'étais de fait dans l'ambiance année 54, je l'ai lu très vite. Je vous souhaite de trouver éditeurs et producteurs. Ma note pour très bien 4.

Publié le 29 Septembre 2014

Extrait : Il a à peine dix ans de plus que moi et il sucre déjà les fraises, le tripoteur de perco. Remarquez, çà ne doit pas être récent pour qu’ils s’en soient séparés à Marseille, à moins de dix ans de la retraite.
- Oh ! Commissaire, comme vous y allez. Il a dû déjà résoudre quelques grosses affaires depuis cinq ans qu’il est là, et même à Marseille, tout de même.
- Oui, et bien parlons-en de ses petites victoires à «LAPAPA». Et d’abord lesquelles ? Il a retrouvé quoi en cinq ans ? Le chat de la mère MICHEL ou la panne du fameux perco ?
- Ah non pas quand même, parce que le coup du chat c’n’est pas lui, mais plutôt le père LUSTUCRU. Ceci dit j’sais pas trop moi finalement, mais bon, il a peut-être eu de la chance de temps en temps en trouvant la solution par hasard ou que les malfrats soient vraiment plus nuls que lui. Car enfin, s’il est assurément votre subalterne, il n’en demeure pas moins mon supérieur.
- Et çà suffirait à démontrer sa perspicacité ? Sans blague ?
- Peut-être pas, mais c’est au moins suffisant pour me faire sentir le poids de la hiérarchie quand je vais faire la demande de renfort, çà c’est couru. J’vois çà affiché au poteau et même sans qu’il y ait besoin de photo encore.
- Bon allez, vous avez gagné DUGARD. Je contacte moi-même LAPANOUILLE pour qu’il vous donne les deux inspecteurs en question, car entre les chiens écrasés, un conflit de voisinage et son bricolage quotidien de la machine à café se retrouvant en perpétuelle « panouille » par ses propres œuvres, il n’a pas vraiment grand-chose à faire.
D’autant que grâce à votre serviteur, il ne doit pas trop avoir à phosphorer en ce moment pour dénouer l’écheveau judiciaire. Moi j’vous l’dis, il n’est pas prêt d’inverser la courbe de la criminalité, le joli cœur des rombières à bigoudis et à double menton. L’inutile maladroit de service jouant les PAGANINI de chez MALONGO pour servir le café du patron et se faire valoir en bon fayot qu’ils sait toujours être avec ses ronds de jambe et ses courbettes de loufiat. Et en plus, mon bon DUGARD, nous faisons œuvre de charité chrétienne autant que de salut public, en réclamant les deux inspecteurs en question, parce qu’il y a drôlement urgence à leur faire prendre l’air à ses deux perdreaux anémiés. Et vu leur mine pâlichonne, c’est loin d’être du luxe.
- Merci de votre compréhension « m’sieu l’commissaire ». Du coup, je vais pouvoir aller à la mairie puis à la préfecture en fin de matinée pour pousser un peu à la roue.
- Enfin un truc de réglé. Mais en fait, ce qui me tracasse tout de même, c’est de savoir s’il arrivera enfin à la trouver.
- Quoi donc chef ?
- Ben, mais la « panouille » de la machine à café pardi ! Ah ! Ah ! Ah ! Elle est bien bonne hein ? Ah ! Ah ! Ah !

Publié le 29 Septembre 2014

Merci Patrick, c'est chouette. Je t'ai envoyé les docks en format Word, çà devrait marcher. CC

Publié le 12 Septembre 2014

Ah, il faut que je vois çà. Je te teins au courant Patrick. ce serait dommage que tu rates çà, c'est 70% de mon vécu durant les années 70, alors. A bientôt mon poto. CC

Publié le 12 Septembre 2014

EXTRAIT : FLAMBERGE resta perplexe en se tripotant lentement les bacchantes, comme à son habitude, çà aide à réfléchir ceux qui en sont pourvu. Les autres se grattent la tête. D’autant qu’il est effectivement plus aisé et raisonnable de se tripoter les moustaches, que les aisselles ou le berlingot. Là aussi, l’aspect du jeu, vu, rien que par le positionnement du corps symbolisant une tour en diagonale gauche face à une tour avancée d’une case avec reine, roi, fou et cavalier restés en place, çà ne laissait pas vraiment de doute sur le coup du pion taquin, et du coup, çà lui disait vaguement quelque chose, mais quoi ? A part, bien sûr la ressemblance entre les deux affaires distantes de cinq ans et de quelques centaines de mètres en ce qui concernait le lieu ?
Il lui semblait pourtant de plus en plus évident qu’on voulait lui transmettre un message, à lui et à personne d’autre. Mais lequel ? Qui et dans quel but? Le coup d’un assassin joueur le narguant par simple bravade ou bien un copieur facétieux qui marcherait au stimulus quinquennal, et qui pouvait espérer orienter ainsi ses recherches? Quoi d’autre ?

Publié le 31 Août 2014

Merci Patrick. CC

Publié le 27 Août 2014

Et en tapant stephbelami ou : un poulet sauce pruneaux, voir claude Carron, dans la recherche courrier ? cc

Publié le 27 Août 2014

Merci Patrick pour le vote. Oui, le texte sur la fille de Vanessa PARADIS j'étais allé le lire. Je t'ai envoyé une copie de : "Et un poulet rouennais sauce pruneaux, un!" par mail. Ta connexion a-t-elle pu te la restituer ? A Bientôt. CC

Publié le 26 Août 2014

Merci Patrick (je suis passé sur le site, good !) j'ai bien rigolé avec le coup des édteurs consanguins (comme nos ex rois cousins, dont le notre a tout de même fini par lire son courrier dans le panier de sciure) et je suis tout à fait preneur pour trouver des idées pour fédérer les auteurs inconnus. Très bonne idée. A bientôt camarade ! CC

Publié le 25 Août 2014

Si on ne trouve pas une place dans le taxi de Jo avec çà, c'est à désespérer d'écrire. Hubert, Patrick et Claude, le tiercé de dimanche ? Bien vu Patrick. CC

Publié le 24 Août 2014

Bonjour Patrick. Je suis preneur pour survoler ton oeuvre et je file tout de suite sur le lien que tu as eu la gentillesse de me passer. A bientôt. Honneur aux braves et salutations fraternelles

Publié le 24 Août 2014

Merci Cassandra. Bonne journée aussi à vous et ce petit coucou en mérite un autre. A très bientôt. CC

Publié le 17 Août 2014

J'aime beaucoup votre style,Claude ,bonne journée à tous et toutes

Publié le 17 Août 2014

Bonjour Patrick. Merci pour ce petit mot sympa. Pour ne pas avoir à acheter lesdits livres, tu peux me joindre sur stephbelami@hotmail.com et je te les enverrai par mail en PDF. A très bientôt. CC

Publié le 16 Août 2014

Merci, c'est encourageant et sympa, venant de la part d'un poète émérite. CC

Publié le 12 Août 2014
5
Du grand "ART", j'aime le style, félicitations, 5 étoiles hautement méritées. P 49 "tort"
Publié le 12 Août 2014

Alors là Soizic, merci ! Content que ce style vous plaise. Vous pouvez même avoir la suite des aventures du commissaire FLAMBERGE sur :"Et un poulet rouennais sauce pruneaux, un !" Bonne lecture. CC

Publié le 31 Juillet 2014
5
SUPER !
Publié le 31 Juillet 2014

Cà y est Monsieur BELLEFOND, j'ai transmis les documents pour le poulet rouennais et les docks en folie à votre secrétaire. J'écris là pour le cas où vous passeriez sur le site, car votre boite mails semble en dérangement. CC

Publié le 29 Juillet 2014
5
Pardonnez-moi, j'avais omis de noter. CB.
Publié le 14 Juillet 2014

Bonjour cher auteur. Je viens de lire les vingt premières pages de ce roman, ainsi que des deux autres et nous serions très intéressés par ce genre de romans policiers sortant un peu de l'ordinaire. Je vous saurai gré de bien vouloir me contacter à : ed.bellefond@hotmail.com. Cordialement et au plaisir de vous lire. Charles BELLEFOND

Publié le 14 Juillet 2014

Merci Hubert; je te répond sur les commentaires de ton dernier livre. CC

Publié le 26 Juin 2014

Et voici comme j'avais dit à Valoo, le polar rigolard en entier : 268 pages de rigolade et de rebondissements. C'est à ce jour sur le livre : "ET UN POULET SAUCE PRUNEAUX, UN! Bonne lecture. CC

Publié le 25 Juin 2014

Rouennais de naissance moi-même (je suis né au 10 rue de l'Amitié -quartier détruit à la fin des années 60), j'apprécie doublement votre message. Vous avez même la suite que je suis en train de terminer, sur ce même site, si çà vous intéresse. Çà s'appelle : "Et un poulet rouennais sauce pruneaux, un !". Bonne lecture. CC

Publié le 01 Juin 2014

Ce fut très agréable de replonger dans les rues de cette ville qui me manque. J'ai tout aimé: le style, les personnages, l'aspect historique... Bref, un grand merci pour ces pages que j'ai dévorées.
Valérie

Publié le 31 Mai 2014

Extrait : Une belle bâtisse faisant l’angle de la rue Damiette, de la place St Maclou et de la rue Martainville. Juste en face de l’église dudit saint, dont le curé venait souvent boire un pot en voisin.
Pélagie, avait commencé comme « petite main » dans le clac de madame Rose, dans le bien nommé cabaret « au pied d’argile » qui faisait briller sa lanterne rouge rue Ganterie et de ce fait, avait bien connu FLAMBERGE, trente ans plus tôt, en lui faisant perdre, au passage, son bon de garantie quand il était jeune étudiant.
Toute une époque passée, d’un temps où fleurissaient les bobinards bons enfants se voulant malgré tout emprunts de principes moraux et familiaux, le genre de maison de tolérance oscillant entre le compromis de la galipette cléricale et le mea culpa ancillaire recevant l’absolution bourgeoise.

Publié le 18 Mai 2014

Content que çà vous plaise. A la demande de lecteurs j'ai même commis une suite que je termine actuellement : "Et un poulet sauce pruneaux, un !" dont vous avez 126 pages sur le site. En espérant que FLAMBERGE deviendra un jour presque aussi célèbre que SAN ANTONIO... CC

Publié le 11 Mai 2014
5
Ça fleure bon l'argot (et pour une fois pas forcément le titi parisien) et l'après guerre. Un bon moment de lecture, merci.
Publié le 11 Mai 2014

Merci Eddard. Ce genre de compliment venant de gens de ta qualité sont toujours encourageants.Parce que côté rigolade et sortie de sentiers battus, tu n'es pas en reste. A bientôt Ed.

Publié le 04 Mai 2014
5
Sympa le style vraiment. Me suis bien marré. Comme d'hab, je soutiens ce qui sort des sentiers battus. Bravo CC !
Publié le 03 Mai 2014
5
je m'aime bien finalement, je vais même me dédicacer le livre, tiens !
Publié le 28 Avril 2014

Celui là fonctionne bien. En dix secondes les premières sont ouvertes, mais la suite "Et un poulet rouennais..." 1/4 d'heure pour deux pages, çà décourage d'attendre et le roman n'est plus lu.

Publié le 27 Avril 2014

Merci de ton passage Hubert. Je suis allé piquer ton petit dernier ce matin, Je reviendrai noter. A bientôt. CC

Publié le 10 Avril 2014

Alors à très bientôt et bonne lecture Gérard. Quelques lecteurs m'ont déjà parlé de leur difficulté à lire les trente premières pages, et je suis heureux que ces pages vous aient permises d'avoir envie de continuer à lire les aventures de ce commissaire divisionnaire hors norme, anar, multi facettes et tendrement humain.

D'autre part, certains lecteurs accro m'avaient demandé une suite de ce polar rigolard et j'ai donc commis :"ET UN POULET ROUENNAIS SAUCE PRUNEAUX, UN !" sur le point d'être terminé et dont 67 pages sont en ligne ci-dessous, avec mes "mémoires" de docker rouennais des années 70 : "LES DOCKS EN FOLIE. Bonne lecture donc.

 

Publié le 07 Avril 2014
4
Je n'ai lu qu'une vingtaine de pages, mais je reviendrai, c'est promis. J'ai accroché de suite et en tant qu'ex Parisien, j'ai beaucoup apprécié les expressions argotiques qui faisaient la joie de mes jeunes années. Je vous coince dans ma bibliothèque ! À bientôt
Publié le 06 Avril 2014

Merci Annie, c'est gentil.

Publié le 25 Mars 2014

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