Dans un vieux quartier ouvrier de Rouen et en cette fameuse année 54, une lavandière sexagénaire est retrouvée poignardée sur le carrelage à damier de sa cuisine, dans une posture de mise en scène macabre, apparemment basée sur le jeu d’échecs, selon ce qu’il transparaissait de la scène de crime.
Le commissaire divisionnaire Gédéon FLAMBERGE, un tiers anar et deux tiers original, à la cinquantaine frétillante, ayant flairé une affaire aussi peu ordinaire qu’orthodoxe, avait souhaité aussitôt s’en charger personnellement. Extrait 52 pages. Publié papier aux éditions Edilivre, Amazon
Ce livre est noté par
Cc papa je viens te voir la semaine prochaine avec ton petit fils
Bonjour Monsieur Carron,
Je suis impressionné par votre façon
d'écrire, j'ai 13 et comme vous je suis née
à Rouen, depuis quelques années j'habite
à Perpignan, mon livre préféré est << on a
tué la mère Michel >> . Biz
BIENTOT 100.000 VUES http://www.inlibroveritas.net/oeuvres/30211/sale-temps-pour-les-faisans#pf18
@Alix Cordouan. Merci, chère Alix, de vos compliments qui me vont droit au cœur et auxquels je ne manquerai pas de faire suite, en allant visiter votre page à mon tour. CC
Rincez-vous bien les quinquets, à 50.000 vues je mets en vitrine...
Extrait : "C’était encore trop frais et donc bien trop présent dans les mémoires, pour ne pas devoir entrer en considération dans les nombreuses pistes à suivre dans le déroulement de cette étrange affaire. Et puis il y avait aussi cette tendance encore vaguement facho traquant le « bolchevisme », qui perdurait en catimini dans certaines obscures officines en contact avec leur vague cousin raciste emprunt de KKK encagoulé et de maccarthysme venu d’Outre atlantique dès l’année 1951, malgré la récente victoire sur le fascisme et le nazisme. Tendance qui semblait encore bien pourtant hanter l’environnement de cette affaire trouvant ses origines depuis l’avant guerre et qui plaçait ce commissaire catalogué pro « coco », dans une espèce de doute permanent qui ne lui disait même vraiment rien qui vaille. Ce constat lui tira même une réflexion :
- Alors quoi ? Ils auraient encore pignon sur rue malgré tout ce cirque, ces morts et cette souffrance?
DUGARD se demanda de quoi il retournait pour l’entendre bougonner ce genre de phrase plutôt absconse :
- Rien de bien grave mon bon DUGARD, je faisais juste l’inventaire de mes périodes sombres. Au fait, que pensez-vous des hommes de mon cher collègue, vous DUGARD ? Vous êtes bien placé, il me semble. Vous les connaissez plutôt bien, non ?
- Mis à part FOURGNACE et BOURLAFIOLE avec lesquels j’ai de très bons contacts et qui n’ont qu’une hâte c’est de venir dans notre service, les autres sont toujours plutôt entre eux. Des prétentieux se prenant pour le dessus du panier et si vous me permettez de dire toute ma pensée à leur sujet…
- Allez-y, mon bon DUGARD, lâchez-vous, nous sommes entre nous.
- Eh bien je ne sais pas vraiment d’où ils sortent ces gars-là, mais ils font plus malfrats que policiers et du coup, ils font même un sacré tord à l’image de la profession, avec leur comportement fascisant. Je les ai déjà vu interroger un suspect une fois ou deux, et bien çà m’a suffit à me faire une idée sur eux, tant leurs méthodes ressemblaient furieusement à ce que la gestapo française faisait aux résistants, en guise d’interrogatoire entre gégène et baignoire ou à coups de serviette trempée.
Enfin quoi, ce n’est tout de même pas des comportements dignes de la police républicaine française, ces tortures de citoyens. Voilà ce que j’en dit, moi, chef.
-Et bien mon bon DUGARD, sachez que vous prêchez un converti, et je dirai même que vous me faites plaisir par votre saine répulsion envers ce genre de basse police. Alors, restons vigilants et ayons les à l’œil, voulez-vous ?
- Je n’osais pas vous le demander chef. Vous savez, moi le coup de l’esprit de corps dont ne cesse de faire état le commissaire LAPANOUILLE pour qu’on écrase? Hé bien çà, moi çà me débecte. Vis à vis de leurs exactions ce genre de connivence, çà touche l’omerta complice, çà.
- Ouais, je vois très bien çà aussi ainsi. LAPANOUILLE dissimule çà par de l’esprit de corps comme s’il s’agissait de solidarité envers une cause juste, alors que dans ce cas précis, c’est plutôt l’esprit de bande des loups visant à la conservation d’un petit esprit bourgeois, voyez-vous ?. Enfin bref, passons à autre chose. On se comprend parfaitement et c’est bien çà le principal dans l’immédiat.
- Ah non chef, le principal c’est vous !
- Oh ! Oh ! Oh ! Mais c’est qu’on s’essaie à l’humour, en plus, dites-moi mon bon DUGARD.
- Ah bah ! A votre contact c’est normal chef.
- J’avais oublié la flagornerie ?
- Ah non ! Là c’n’est pas juste chef, c’est vrai que j’ai du mal à être critique à votre égard, mais mon compliment est tout à fait sincère.
- Vous aurais-je vexé ? En ce cas, veuillez excuser cette légère mise en boîte mon cher DUGARD.
Je vous prie de croire que votre compliment sincère me va droit au cœur, mon cher suppléant.
De toute façon, FLAMBERGE méritait bien le profond respect qu’avait pour lui son doublard. C’était un de ces braves poulets de la sociale, un de ces trop peu nombreux grands flics humains autant que sobrement républicains, se considérant avant tout comme étant au service de la population, en se sachant respecter pour l’accomplissement de ce devoir de veille à sa sécurité du peuple républicain. Cette logique de respect mutuel, supposant chaque citoyen quelque soit sa position sociale, comme étant respectable dès lors qu’il respecte lui-même la loi et les autres. Une police comme on se la souhaiterait tous. Quoi d’autre ?
Son seul regret fut de ne pas avoir eu de progéniture avec sa chère et douce Louise, une digne descendante d’andalous républicains, avec laquelle il vivait un mariage des plus heureux depuis près de trente ans. Il s’était donc rabattu sur son chartrain, un greffier de classe nommé Néron, son chien Eusèbe – prénommé ainsi en représailles envers son confrère Eusèbe LAPANOUILLE, sur un coup de colère survenu le jour de la naissance du cabot – une erreur de la nature virant accident de croisement donnant dans le mélange incertain, oscillant entre le saucisson à pattes et le fox à poils durs à tête de bouledogue français, les canaris de sa femme et enfin ses chers neveux et nièces qui n’étaient pas toujours de tout repos, mais qui adoraient les histoires policières que leur contait leur oncle Gédéon. Un paterfamilias doublé d’un samaritain. Quand il ne prenait pas sous son aile, un de ces pauvres moineaux des rues, du genre de FREDDY, qui devenait peu à peu ce fils spirituel qu’il envisageait secrètement depuis peu, d’aider à suivre une formation d’inspecteur.
Et alors ? Cà gène quelqu’un, un flic humain et un demi sel qui cherche à se réinsérer?"
@ Michel CANAL. Merci Michel pour cet éloge qui me va droit au cœur. Content d'avoir envoyé aux pelotes, la miss en question, pour avoir le bonheur de vous lire. Je ne manquerai pas de venir lire votre roman (je suis très pris sur les réseaux pour aider mon candidat) demain ou mercredi. Cordialement. A bientôt. CC
@Pierrick Nous sommes bien d'accord. A bientôt. CC
@Claude Carron
Alors, je vois que nous sommes sur la même longueur d'onde. L'écriture sincère, il n'y a que cela de vrai. Bonne continuation. Bien à vous.PBP
@Pierrick Blin-Paulin Merci Pierrick. Que voilà aussi un compliment plutôt bien formulé. Merci de me reconnaître que je fais du CARRON, et, cela, surtout moins mal que si je m'évertuais à copier vaguement mes idoles du genre. C'est bien du polar rigolard que j'aime produire et surtout, en veillant à garder en toile de fond les vieux coins ouvriers de cette ville où je suis né (en 51) et qu'aimaient fréquenter HUGO, FLAUBERT, MAUPASSANT, SIMENON et quelques peintres célèbres... Je veille aussi également à y mettre des faits historiques, auxquels je mêle mes personnages limite caricaturaux. Un style entièrement à part, faute d'en avoir un à part entière, quoi. Encore merci. CC
@Jean-Paul Andersen : Merci Jean-Paul pour ce message plutôt flatteur. Me comparer à l'un de mes maîtres à penser et en plus, me reconnaître une touche très personnelle ébouriffante, je suis aux anges. A bientôt. CC
MISE EN ROUTE DU FEUILLETON
@cloclo CARRON, le titre de votre ouvrage m'a
frappé dans l'oeil et je suis entrain de le lire! Je reviendrai vers vous pour les impressions
Je viens de publier la Perle de l'Ombre et je vous
invite à le lire et à me laisser vos impressions!
Merci Open Livre et bonne journée aussi. Aujourd’hui beau soleil à 15 km de Pont-Audemer (la Venise normande), Deauville 40 km... à bientôt pour la note. CC
Bonjour, merci pour ces précisions. D’où l’on voit l’intérêt de livres « régionaux » pour parfaire notre culture.
Bonne journée (j’espère aussi ensoleillée qu'a Brest aujourd'hui).
Bonjour @Openlivre. Merci de ce compliment très encourageant.
Alors le petit loup à vint balles. C'était (sur ROUEN et les environs, nommés le pays de Roumois) des petits paquets de bois bien sec, taillés à la hachette, qui servaient à allumer le feu et qu'on trouvait chez le charbonnier ou l'épicière du coin. Ça se retrouve à nouveau dans les petits "supermarket" pour allumer le barbecue, mais là, ça coûte bonbon. Les "vingt balles" en question étaient en réalité (dans les années cinquante), une pièce blanche de cinq francs (frappée de 1945 à 1952) appelée à l'époque "cent sous" par les anciens de l'époque qui avaient fait la grande guerre ou vingt balles pour les plus jeunes ayant connu la monnaie maréchaliste et le sou troué équivalent à vingt centimes. Ces cinq francs en aluminium (donc très légère) deviendront cinq centimes lors de la dévaluation de 1960.
Morival Elise
24 ans / Lille
Genres évalués :
Policier Thriller Nouvelles/ contes
Inscrit(e) le : 28-Jan-2013
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« Architecte »
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8.00 Appréciation Globale
8.00 Appréciation Littéraire
On A Tue La Mère Michel
Dans un vieux quartier ouvrier de Rouen et en cette fameuse année 54, une lavandière sexagénaire est retrouvée poignardée sur le carrelage à damier de sa cuisine, dans une posture de mise en scène macabre, apparemment basée sur le jeu d’échecs, selon ce qu'il semblait transparaître de la scène de crime.
Le commissaire divisionnaire Gédéon FLAMBERGE, un tiers anar et deux tiers original, à la cinquantaine frétillante, ayant flairé une affaire aussi peu orthodoxe qu'ordinaire, avait souhaité aussitôt s’en charger personnellement, au grand dam de son malencontreux subalterne, le commissaire Eusèbe LAPANOUILLE.
Mon résumé
L'histoire débute par le meurtre farfelu et inexpliqué d'une certaine Mère Michel, et narre l'enquête suivi par les inspecteurs Flamberge et Dugland (plus communément appelé Dugard). Histoire et folklore se mêle pour servir une intrigue bien ficelée.
Appréciation générale
En une phrase : Une belle surprise pour cette première lecture! L'écriture particulière m'a donné un peu de fil à retordre au début, mais une fois accrochée à l'intrigue, je n'ai pu m'en détacher.
Ce que j'ai particulièrement apprécié : Les jeux de mots ; le vocabulaire utilisé qui n'est pas le vocabulaire "commun" utilisé tous les jours ; l'écriture encore une fois ni "commune" ni "simpliste"; les références historique qui nous permettent de situer l'histoire clairement dans le temps et dans le contexte ; les caractères des personnage, très bien définis, et qui permettent la possibilité de s'identifier à eux ou en tout cas de reconnaître des personnes proches... ; le personnage de FLAMBERGE qui se trouve être finalement assez attachant
Autres commentaires
Style littéraire : Ecriture très intéressante et un style déjà bien défini.
Mon sentiment sur le titre du livre : Révélateur du roman mais également du style de l'auteur. J'ai choisi ce titre parmi d'autres en m'attendant à un style précis et c'est exactement ce que j'ai eu!
Ce que je pense des personnages : J'ai trouvé les personnages principaux bien définis et je ne serais ni étonnée ni mécontente de retrouver l'inspecteur Flamberge dans d'autres aventures.
Ce que je pense du thème général du livre :
Ce livre ferait-il un bon film ? : L'histoire reste celle d'un meurtre et d'une enquête visant à résoudre ce meurtre. A mon sens, ce livre policier n'a pas plus de raison qu'un autre de faire un bon ou un mauvais film.
http://www.eyrolles.com/Loisirs/Livre/on-a-tue-la-mere-michel-9782332551924
LA SUITE des aventures de ce commissaire divisionnaire hors norme : "FLAMBERGE SE REBIFFE" est désormais disponible en version papier (370 pages) sur le site des éditions EDILIVRE et bientôt sur ceux de la vente en ligne : Amazon, Fnac, Domaine...
Merci de ce vent de fraîcheur lamish. Oui, on me fait souvent part d'une certaine difficulté au démarrage de ce polar (mon premier du genre) et la suite : "Flamberge se rebiffe" est un peu plus facile d'accès. Disons que j'avais voulu promener un peu le lecteur autour des zones d'ombre qui auraient pu surgir vers le milieu du polar, avant que ce dernier ne comprenne le pourquoi de cette mise en jambe. Certains lecteurs m'ont reproché cette "bizarrerie" et ont avoué avoir décroché avant le dessert, en ne voyant pas son côté imagé. Dommage... CC
La mère MICHEL était une lavandière bilingue. C’est fou çà !
- MICHEL, MICHEL ? Ca serait donc d’origine russe comme nom? Bizarre, çà, non ?
- Non, pas vraiment chef. Puisque çà ne serait pas son vrai nom non plus, en définitive.
- Bon sang ! Le mystère s’épaissit. On va finir où là ?
Bon vous ratissez large et vous m’interrogez tout le quartier, pour en savoir un peu plus ! J’veux du concret, du solide et çà, pour hier. J’veux qu’çà saute et fissa !
- Bah, je n’en ai pas fini là ! C’est qu’c’à en fait un paquet de monde à interroger. Pensez chef. Le quartier c’est au bas mot quatre cent logements répartis sur les rues : SAINT VIVIEN, FLEURIGUET, POMME D’OR, ORBE, Théodore LEBRETON, de l’AMITIE et ABBE DE L’EPEE.
Ch’uis pas rendu, moi. D’autant que DANLEZARD est à l’hosto pour faire dessécher son chancre mou qui suinte et que TRACHEMOINZE est parti en vacances se faire dorer la pilule aux Dardanelles, chef.
- Ah ! Oui bon sang, c’est vrai, merdouille, chtouille et carambouille ! Et bien, demandez donc de ma part quelques renforts à cet « excellent », cet inénarrable et illustrissime commissaire LAPANOUILLE, qui se fera un devoir de vous les fournir.
Tiens, essayez donc de voir, par la même occasion, si vous ne pourriez pas, par hasard, arriver à récupérer les gars FOURGNACE et BOURLAFIOLE, ses deux meilleurs éléments qui s'étiolent dans son service...
Il paraît que le vintage est très tendance. Je ne l'ai pas fait exprès, mais j'en suis bien content. CC
ROUEN (76) :
Jean d’ AILLON : Rouen 1203 (Flammarion) Guilhem d’Ussel se rend à Rouen pour punir celui qui a tué ses gens
Michel BUSSI : Mourir sur seine (Ed. PTC) Se déroule pendant l’Armada 2008 de Rouen.
Jean CALBRIX : Mon cadavre s’enroue à Rouen (Charles Corlet) Nouvelle enquête de l’inspecteur Limard sur la disparition d’un médecin en forêt de Canteleu.
Jean CALBRIX : Crime sordide près de Rouen (Charles Corlet)
Claude CARRON : On a tué la mère Michel (Edilivre)
Gilles DELABIE : Les communiants de Rouen (Ravet-Anceau, Polars en Nord)
Philippe FEENY : Amer café (Krakoen) Roman policier contemporain, se déroule à ROUEN en 1948.
Fabienne FERRERE : un chien du diable (Denoel, 10/18 G. Détectives) Roman policier historique se déroulant en novembre 1594 à ROUEN. Une enquête de Gilles Bayonne.
Rodolphe FONTAINE : Nostalgie, quand tu nous tues (Les 2 encres)
Françoise KERMINA : Où sont les diamants du roi ? Enquête à Rouen sous la Terreur (Charles Corlet) Roman policier historique se dér oulant pendant la révolution
Aude LHOTELAIS : Le Tueur de Rouen se dévoile (Ravet-Anceau) Sur une des hauteurs qui dominent la ville de Rouen, le cadavre d’une étudiante intrigue les policiers. Il est recouvert de micro coupures, la victime s’est vidée de son sang et son assassin a laissé un message codé à l’attention des enquêteurs.
Patrick MOREL : Double meurtre à Rouen (Ravet Anceau, Polars en Nord)
Nadine MOUSSELET : Pour ta pénitence (Charles Corlet) Une nouvelle enquete de Laura Claes dans les rues de Rouen
Max OBIONE : Calmar au sang (Krakoen) Un Rouen de cauchemar ? En tout cas, un pastiche du Poulpe complètement déjanté. D’aucuns prétendent que ce Calmar fait la nique aux meilleurs des Poulpe !
Georges SIMENON : Oncle Charles s’est enfermé (Folio) A Rouen, Charles Dupeux est bouleversé lorsqu’il apprend le monstrueux secret de la fortune d’Henri, son beau-frère.
Auteurs romans policiers normands :
http://polar.zonelivre.fr/romans-policiers-en-normandie/#R
Bonjour, j'ai lu l'extrait de votre manuscrit et malheureusement je n'ai pas du tout accroché au style de la narration. Je ne suis pas quelqu'un qui a l'habitude de lire des histoires policières et c'est peut-être pour ça que je n'ai pas su apprécier votre histoire. Je regarde plutôt des séries policières à la télévision comme "Sœur Thérèse" - "Le Sang de la Vigne'' - et des séries anciennes comme "Les mystères de l'Ouest" - ''Mission Impossible'' et je pense que ça s'éloigne trop de ce que j'ai l'habitude de voir. J'ai choisi de lire ce livre parce que je trouvais le sujet intéressant et on se doute que c'est un livre où il y aura beaucoup d'humour et des jeux de mots, d’où le titre et j'avais déjà lu le début je trouvais dommage de ne pas poursuivre la lecture. En tout cas j'aurais bien voulu savoir comment ça se termine, connaître l'identité du meurtrier, et c'est un point positif et j'ai apprécié les détails de narration qui permettent de bien imaginer les scènes de crime par exemple. Je vais donc m'abstenir de noter et je vous remercie néanmoins pour ce partage, en vous souhaitant une bonne continuation.
Bonjour Marie et merci pour ce petit mot. Content que ce style un peu baroque et vintage vous plaise. A bientôt sur votre livre. CC
Merci Richard. Je note la difficulté sur les jeux de mots. très intéressant. A bientôt. CC
Point de vue sur le site Nouvelles plumes :
A Rouen, le commissaire divisionnaire Flamberge se trouve confronter au meurtre intriguant d'une vielle lavandière: Mme Michèle. Sur fond d'après guerre entre intrigues mêlant ancien collabo, ancien nazi, nouveau coco, nouveau flics ripoux et espionnage, le commissaire Famberge va résoudre cette affaire en sac de noeud, aider par son adjoint Dugard et ,à son insu, le commissaire Lapapouille.
> Public concerné : Tous
Appréciation globaleEn une phrase:
J'aime bien l'intrigue, elle se tient. Même si par moment j'ai eu du mal a suivre les raisonnements parce que mes connaissance en histoire concernant l'après guerre sont limitées. En fait j'ai réellement commencé à apprécier le roman quand le commissaire Flamberge rencontre Descroisilles.
J'ai particulièrement apprécié:
Les dialogues et le langage général du livre; le vocabulaire et le rythme. A partir du milieu du livre , lors du rebondissement sur le fait que la mère Michèle n'est pas vraiment morte et que ce n'est pas la mère Michèle, en fait. On comprends l’intérêt des intrigues politiques.
Autres commentairesStyle littéraire:
Ça fait du bien de lire un roman qui ne soit pas soit du langage soutenu, soit du langage contemporain mais un mélange de ces deux là ajouter à du patois comme on dit par chez nous.
Mon sentiment sur le titre du livre:
c'est un bon titre, accrocheur. Même si parfois je me suis demandée s'il ne valait pas mieux l’appeler "on a tuer le perco"
Ce que je pense des personnages:
Le choix des noms et l'explication sur leur origine sont dissuasifs, on se demande sur quel type de roman on est en train de lire, est-ce un gag?. D'autant que sur une bonne partie du roman, les personnages manquent de profondeur, on ne s'attache ni s'identifie à aucun d'eux. Jusqu’à l'apparition de Freddy.
Ce que je pense du thème général du livre:
Pour ma part je me dirige rarement vers des romans policier se situant à l'après guerre, donc je trouve le thème original n'ayant pas de point de référence.
Ce livre ferait-il un bon film ?
Je ne pense pas que j'irais voir un film issu de ce roman, par contre une pièce de théâtre le mettrai à coup sure en valeur.
http://polar.zonelivre.fr/romans-policiers-en-normandie/
R
ROUEN (76) :
Jean d’ AILLON : Rouen 1203 (Flammarion) Guilhem d’Ussel se rend à Rouen pour punir celui qui a tué ses gens
Michel BUSSI : Mourir sur seine (Ed. PTC) Se déroule pendant l’Armada 2008 de Rouen.
Jean CALBRIX : Mon cadavre s’enroue à Rouen (Charles Corlet) Nouvelle enquête de l’inspecteur Limard sur la disparition d’un médecin en forêt de Canteleu.
Jean CALBRIX : Crime sordide près de Rouen (Charles Corlet)
Claude CARRON : On a tué la mère Michel (Edilivre)
Gilles DELABIE : Les communiants de Rouen (Ravet-Anceau, Polars en Nord)
Philippe FEENY : Amer café (Krakoen) Roman policier contemporain, se déroule à ROUEN en 1948.
Fabienne FERRERE : un chien du diable (Denoel, 10/18 G. Détectives) Roman policier historique se déroulant en novembre 1594 à ROUEN. Une enquête de Gilles Bayonne.
Rodolphe FONTAINE : Nostalgie, quand tu nous tues (Les 2 encres)
Françoise KERMINA : Où sont les diamants du roi ? Enquête à Rouen sous la Terreur (Charles Corlet) Roman policier historique se dér oulant pendant la révolution
Aude LHOTELAIS : Le Tueur de Rouen se dévoile (Ravet-Anceau) Sur une des hauteurs qui dominent la ville de Rouen, le cadavre d’une étudiante intrigue les policiers. Il est recouvert de micro coupures, la victime s’est vidée de son sang et son assassin a laissé un message codé à l’attention des enquêteurs.
Patrick MOREL : Double meurtre à Rouen (Ravet Anceau, Polars en Nord)
Nadine MOUSSELET : Pour ta pénitence (Charles Corlet) Une nouvelle enquete de Laura Claes dans les rues de Rouen
Max OBIONE : Calmar au sang (Krakoen) Un Rouen de cauchemar ? En tout cas, un pastiche du Poulpe complètement déjanté. D’aucuns prétendent que ce Calmar fait la nique aux meilleurs des Poulpe !
Georges SIMENON : Oncle Charles s’est enfermé (Folio) A Rouen, Charles Dupeux est bouleversé lorsqu’il apprend le monstrueux secret de la fortune d’Henri, son beau-frère.
Je n'ai pas eu le temps de chercher le tiens hier. Là tu me le donne, je te contacte ce matin. CC Voilà mon mail : stephbelami@hotmail.com
OK
Il n'empêche, mon poto que tu es incontournable.
Merci mon poto et longue vie à tes oeuvres
Extrait : LAPANOUILLE : "Une pauvre vieille femme de ménage assassinée chez elle pour des broutilles, par des aigrefins sans foi ni loi, pour qui la vie et la loi ne représentent pas grand chose. Rien de bien énigmatique là-dedans et pas vraiment de quoi en faire l’affaire du siècle, d’autant que dans ce genre de quartier ouvrier plutôt mal famé où le délit et la rapine sont monnaie courante, ce genre de filous ne manque évidemment pas. Le coupable ne doit pas être bien loin et donc, pas bien dur à trouver. Il ne faut tout de même pas être sorti de Saint-Cyr pour comprendre d’emblée qu’il s’agit d’un banal crime crapuleux, enfin. L’un de mes hommes en espionnage dans un bistrot du coin, aurait appris que le quartier avait même vu il y a quelques mois, un dénommé Marcel qui se serait battu dans un coupe-gorge de la rue Fleuriguet, et qui serait reparti à pied à l’hôpital avec un couteau planté dans le dos, et que ce serait même son agresseur l’ayant poignardé qui prétendait, de surcroît, porter plainte. Vous avouerez que ce quartier abrite de bien drôles de paroissiens, tout de même. Et même s’il trouvait le coupable, çà fera quoi au bout du compte ? Tout au plus un entrefilet dans les chiens écrasés d’une gazette locale. Vous parlez d’une récompense en contrepartie d’autant de recherches. Je vous le dis les amis, le ridicule guette bel et bien notre illustre commissaire FLAMBERGE!"
le polar : "On a tué la mère Michel" en intégral est visible sur Amazon KDP , sur liseuse. CC
Merci LAULALAULA. A très bientôt. CC
J'informe mes lecteurs que je participe au concours de nouvelles : "50 nuances de père Noel" sur MBS. Nouvelle rendue le 14 décembre 2014
Bonsoir Yannick,je vous envoie çà ce jour. CC
Bonsoir Claude. C'est gentil de me proposer cela. Vous pouvez envoyer cela à l'adresse suivante: yannick.fradin@gmail.com. Merci et bonne soirée.
Bonjour Yannick. Donnez-moi une adresse mail et je vous envoie çà en PDF. CC
Bonjour Claude. Merci pour cette précision et félicitations pour cette nouvelle étape. Il ne me reste plus qu'à me procurer votre livre si je veux en connaître la fin. Mais QUI a tué la Mère Michel, et surtout POURQUOI, scrogneugneu? Bonne fin de journée.
Merci Yannick. Ce n'est un extrait que depuis quelques jours. Jusque récemment, j'avais mis l'intégralité du polar, mais comme il est édité chez Edilivre je suis contraint de ne mettre qu'un extrait. Le nom des collabos cités (locaux et nationaux) est vérifiable sur internet. A bientôt. CC
Merci Kris à bientôt. CC
Je ne m'étais pas trompé, du grand ART, mes félicitations une fois de plus CC, Ps : J'ai posté un autre recueil (Poémitude tome 10).
Merci Julien, j'y vole ! CC
Merci Thierry. C'est une vraie mère poule qui fait des œufs de chez Lustucru. L’eussions-nous cru ? Merci pour le clin d’œil. A très bientôt...CC
Merci Héros. C'est gentil. CC
Merci Yannick. Bonne lecture. CC
Bonjour Claude. Je prends votre livre dans ma bibliothèque. Cela fait un moment que je compte le lire, et comme mes lectures en cours seront bientôt terminées, je devrais pouvoir m'y mettre d'ici début novembre. A bientôt pour un retour quand je l'aurai terminé. Cordialement.
Merci Roger c'est avec joie que je recueille tes félicitations (on est du même millésime, alors on se tutoie) et je suis tout à fait d'accord avec ton constat sur les fils et filles de, qui (à part quelques uns ayant vraiment du talent) se servent surtout des connaissances de leurs parents pour "percer". Cordialement. CC
Comme je vous l'ai mis sur votre dernier livre, je vous remercie de votre compliment qui me va droit au cœur, tout en vous le retournant pour la qualité humaniste contenue dans vos écrits. Cordialement. CC
Merci Parcoureur de cette charmante et éclairée analyse. Pour l'éditeur c'est déjà fait, mais il est vrai que j'ai créé cette œuvrette, avant tout comme un scénario de film. Ce roman est édité chez Edilivre (les vilains ne corrigent pas les fautes, je vais donc devoir m'améliorer en orthographe et dans le style). J'ai même commis une suite, c'est là, en dessous et çà s'appelle : "Et un poulet rouennais sauce pruneaux, un !" On sent un progrès... CC
Déjà merci pour votre avis posté pour "Radars et justes sanctions",
ce qui m'a incité à vous lire. Votre livre, c'est sans regret que je l'ai lu jusqu'au bout.
Ce qui m'a retenu c'est l'humour des personnages. L'intrigue est presque un fil invisible nécessaire à relier chaque scène typique, de part leur
langage et leurs jeux de mots. L'écriture semble faite que de dialogues, prêts pour un téléfilm.
L'aspect de l'intrigue policière est presque secondaire, ce sont le style de l'auteur et son phrasé qui aguichent incessamment.
Je venais de regarder à la TV petits meurtres selon Agatha Christie, aussi en démarrant ma lecture j'ai de suite pensé au commissaire et la journaliste.
J'étais de fait dans l'ambiance année 54, je l'ai lu très vite. Je vous souhaite de trouver éditeurs et producteurs. Ma note pour très bien 4.
Extrait : Il a à peine dix ans de plus que moi et il sucre déjà les fraises, le tripoteur de perco. Remarquez, çà ne doit pas être récent pour qu’ils s’en soient séparés à Marseille, à moins de dix ans de la retraite.
- Oh ! Commissaire, comme vous y allez. Il a dû déjà résoudre quelques grosses affaires depuis cinq ans qu’il est là, et même à Marseille, tout de même.
- Oui, et bien parlons-en de ses petites victoires à «LAPAPA». Et d’abord lesquelles ? Il a retrouvé quoi en cinq ans ? Le chat de la mère MICHEL ou la panne du fameux perco ?
- Ah non pas quand même, parce que le coup du chat c’n’est pas lui, mais plutôt le père LUSTUCRU. Ceci dit j’sais pas trop moi finalement, mais bon, il a peut-être eu de la chance de temps en temps en trouvant la solution par hasard ou que les malfrats soient vraiment plus nuls que lui. Car enfin, s’il est assurément votre subalterne, il n’en demeure pas moins mon supérieur.
- Et çà suffirait à démontrer sa perspicacité ? Sans blague ?
- Peut-être pas, mais c’est au moins suffisant pour me faire sentir le poids de la hiérarchie quand je vais faire la demande de renfort, çà c’est couru. J’vois çà affiché au poteau et même sans qu’il y ait besoin de photo encore.
- Bon allez, vous avez gagné DUGARD. Je contacte moi-même LAPANOUILLE pour qu’il vous donne les deux inspecteurs en question, car entre les chiens écrasés, un conflit de voisinage et son bricolage quotidien de la machine à café se retrouvant en perpétuelle « panouille » par ses propres œuvres, il n’a pas vraiment grand-chose à faire.
D’autant que grâce à votre serviteur, il ne doit pas trop avoir à phosphorer en ce moment pour dénouer l’écheveau judiciaire. Moi j’vous l’dis, il n’est pas prêt d’inverser la courbe de la criminalité, le joli cœur des rombières à bigoudis et à double menton. L’inutile maladroit de service jouant les PAGANINI de chez MALONGO pour servir le café du patron et se faire valoir en bon fayot qu’ils sait toujours être avec ses ronds de jambe et ses courbettes de loufiat. Et en plus, mon bon DUGARD, nous faisons œuvre de charité chrétienne autant que de salut public, en réclamant les deux inspecteurs en question, parce qu’il y a drôlement urgence à leur faire prendre l’air à ses deux perdreaux anémiés. Et vu leur mine pâlichonne, c’est loin d’être du luxe.
- Merci de votre compréhension « m’sieu l’commissaire ». Du coup, je vais pouvoir aller à la mairie puis à la préfecture en fin de matinée pour pousser un peu à la roue.
- Enfin un truc de réglé. Mais en fait, ce qui me tracasse tout de même, c’est de savoir s’il arrivera enfin à la trouver.
- Quoi donc chef ?
- Ben, mais la « panouille » de la machine à café pardi ! Ah ! Ah ! Ah ! Elle est bien bonne hein ? Ah ! Ah ! Ah !
Merci Patrick, c'est chouette. Je t'ai envoyé les docks en format Word, çà devrait marcher. CC
Ah, il faut que je vois çà. Je te teins au courant Patrick. ce serait dommage que tu rates çà, c'est 70% de mon vécu durant les années 70, alors. A bientôt mon poto. CC
EXTRAIT : FLAMBERGE resta perplexe en se tripotant lentement les bacchantes, comme à son habitude, çà aide à réfléchir ceux qui en sont pourvu. Les autres se grattent la tête. D’autant qu’il est effectivement plus aisé et raisonnable de se tripoter les moustaches, que les aisselles ou le berlingot. Là aussi, l’aspect du jeu, vu, rien que par le positionnement du corps symbolisant une tour en diagonale gauche face à une tour avancée d’une case avec reine, roi, fou et cavalier restés en place, çà ne laissait pas vraiment de doute sur le coup du pion taquin, et du coup, çà lui disait vaguement quelque chose, mais quoi ? A part, bien sûr la ressemblance entre les deux affaires distantes de cinq ans et de quelques centaines de mètres en ce qui concernait le lieu ?
Il lui semblait pourtant de plus en plus évident qu’on voulait lui transmettre un message, à lui et à personne d’autre. Mais lequel ? Qui et dans quel but? Le coup d’un assassin joueur le narguant par simple bravade ou bien un copieur facétieux qui marcherait au stimulus quinquennal, et qui pouvait espérer orienter ainsi ses recherches? Quoi d’autre ?
Merci Patrick. CC
Et en tapant stephbelami ou : un poulet sauce pruneaux, voir claude Carron, dans la recherche courrier ? cc
Merci Patrick pour le vote. Oui, le texte sur la fille de Vanessa PARADIS j'étais allé le lire. Je t'ai envoyé une copie de : "Et un poulet rouennais sauce pruneaux, un!" par mail. Ta connexion a-t-elle pu te la restituer ? A Bientôt. CC
Merci Patrick (je suis passé sur le site, good !) j'ai bien rigolé avec le coup des édteurs consanguins (comme nos ex rois cousins, dont le notre a tout de même fini par lire son courrier dans le panier de sciure) et je suis tout à fait preneur pour trouver des idées pour fédérer les auteurs inconnus. Très bonne idée. A bientôt camarade ! CC
Si on ne trouve pas une place dans le taxi de Jo avec çà, c'est à désespérer d'écrire. Hubert, Patrick et Claude, le tiercé de dimanche ? Bien vu Patrick. CC
Bonjour Patrick. Je suis preneur pour survoler ton oeuvre et je file tout de suite sur le lien que tu as eu la gentillesse de me passer. A bientôt. Honneur aux braves et salutations fraternelles
Merci Cassandra. Bonne journée aussi à vous et ce petit coucou en mérite un autre. A très bientôt. CC
J'aime beaucoup votre style,Claude ,bonne journée à tous et toutes
Bonjour Patrick. Merci pour ce petit mot sympa. Pour ne pas avoir à acheter lesdits livres, tu peux me joindre sur stephbelami@hotmail.com et je te les enverrai par mail en PDF. A très bientôt. CC
Merci, c'est encourageant et sympa, venant de la part d'un poète émérite. CC
Alors là Soizic, merci ! Content que ce style vous plaise. Vous pouvez même avoir la suite des aventures du commissaire FLAMBERGE sur :"Et un poulet rouennais sauce pruneaux, un !" Bonne lecture. CC
Cà y est Monsieur BELLEFOND, j'ai transmis les documents pour le poulet rouennais et les docks en folie à votre secrétaire. J'écris là pour le cas où vous passeriez sur le site, car votre boite mails semble en dérangement. CC
Bonjour cher auteur. Je viens de lire les vingt premières pages de ce roman, ainsi que des deux autres et nous serions très intéressés par ce genre de romans policiers sortant un peu de l'ordinaire. Je vous saurai gré de bien vouloir me contacter à : ed.bellefond@hotmail.com. Cordialement et au plaisir de vous lire. Charles BELLEFOND
Merci Hubert; je te répond sur les commentaires de ton dernier livre. CC
Et voici comme j'avais dit à Valoo, le polar rigolard en entier : 268 pages de rigolade et de rebondissements. C'est à ce jour sur le livre : "ET UN POULET SAUCE PRUNEAUX, UN! Bonne lecture. CC
Rouennais de naissance moi-même (je suis né au 10 rue de l'Amitié -quartier détruit à la fin des années 60), j'apprécie doublement votre message. Vous avez même la suite que je suis en train de terminer, sur ce même site, si çà vous intéresse. Çà s'appelle : "Et un poulet rouennais sauce pruneaux, un !". Bonne lecture. CC
Ce fut très agréable de replonger dans les rues de cette ville qui me manque. J'ai tout aimé: le style, les personnages, l'aspect historique... Bref, un grand merci pour ces pages que j'ai dévorées.
Valérie
Extrait : Une belle bâtisse faisant l’angle de la rue Damiette, de la place St Maclou et de la rue Martainville. Juste en face de l’église dudit saint, dont le curé venait souvent boire un pot en voisin.
Pélagie, avait commencé comme « petite main » dans le clac de madame Rose, dans le bien nommé cabaret « au pied d’argile » qui faisait briller sa lanterne rouge rue Ganterie et de ce fait, avait bien connu FLAMBERGE, trente ans plus tôt, en lui faisant perdre, au passage, son bon de garantie quand il était jeune étudiant.
Toute une époque passée, d’un temps où fleurissaient les bobinards bons enfants se voulant malgré tout emprunts de principes moraux et familiaux, le genre de maison de tolérance oscillant entre le compromis de la galipette cléricale et le mea culpa ancillaire recevant l’absolution bourgeoise.
Content que çà vous plaise. A la demande de lecteurs j'ai même commis une suite que je termine actuellement : "Et un poulet sauce pruneaux, un !" dont vous avez 126 pages sur le site. En espérant que FLAMBERGE deviendra un jour presque aussi célèbre que SAN ANTONIO... CC
Merci Eddard. Ce genre de compliment venant de gens de ta qualité sont toujours encourageants.Parce que côté rigolade et sortie de sentiers battus, tu n'es pas en reste. A bientôt Ed.
Celui là fonctionne bien. En dix secondes les premières sont ouvertes, mais la suite "Et un poulet rouennais..." 1/4 d'heure pour deux pages, çà décourage d'attendre et le roman n'est plus lu.
Merci de ton passage Hubert. Je suis allé piquer ton petit dernier ce matin, Je reviendrai noter. A bientôt. CC
Alors à très bientôt et bonne lecture Gérard. Quelques lecteurs m'ont déjà parlé de leur difficulté à lire les trente premières pages, et je suis heureux que ces pages vous aient permises d'avoir envie de continuer à lire les aventures de ce commissaire divisionnaire hors norme, anar, multi facettes et tendrement humain.
D'autre part, certains lecteurs accro m'avaient demandé une suite de ce polar rigolard et j'ai donc commis :"ET UN POULET ROUENNAIS SAUCE PRUNEAUX, UN !" sur le point d'être terminé et dont 67 pages sont en ligne ci-dessous, avec mes "mémoires" de docker rouennais des années 70 : "LES DOCKS EN FOLIE. Bonne lecture donc.
Merci Annie, c'est gentil.
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