alban paulh

Biographie

Docteur vétérinaire à la retraite, Alban Paulh redécouvre un manuscrit cathartique rédigé en 1995 parallèlement à une psychothérapie. Amusé par ce hasard, il le réécrit dans une perspective éditoriale. L’ajout d’un chapitre et d’un épilogue témoigne des 27 années écoulées depuis ce premier jet aussi improbable que douloureux. Primo-romancier atypique, simultanément jeune et vieux, il souhaite ainsi partager le cadeau caché d’une lente maturation : la découverte, à l’issue d’un parcours mal engagé, du secret d’une improbable renaissance familiale à laquelle chacun peut accéder.

alban paulh a noté ces livres

5
Ambiance qui m'était très familière au début de ma carrière en clientèle laitière dans les monts du Lyonnais puis en Isère. Très bien rendu. Malheureusement toujours autant d'actualité. Il y a vraiment de quoi pleurer. Grand merci pour ce beau partage tout en sensibilité qui parle d'une autre façon du sens, du non sens ou de l'absence de sens de l'existence. Du grain à moudre pour introspecter... Nous nous rejoignons quelque part en pensée... Amicalement. Alban Paulh de l'e
Publié le 26 Mai 2023
5
Sympathique thématique que celle du rêve des arbres. Mon ressenti de lecteur est de m'en trouver un peu laissé à l'écart par une description pas assez poétique et peut-être un peu trop technique de la communication au sein de cette tribu végétale. Pour moi tous les ingrédients sont là dans votre nouvelle mais peut-être pourriez-vous adopter une narration plus endogène qui coule comme une sève du coeur de chaque arbre vers sa périphérie et notemment ses voisins via la magie de la toile de capillaires invisibles en évitant un certain nombre d'étiquettages trop mentalement humains, précis et donc restrictifs. Ils bornent en la dualité d'une perception ordinaire une expérience qui n'attend que de devenir panoramique, onirique et lumineuse. Pas évident certes ! La limitation du nombre de caractère est une aubaine dans cet exercice imposé puisqu'elle oblige l'auteur à peser la pertinence de chaque mot à l'aune du message qu'il veut véhiculer. Il faut déclamer et voir si ça coule, couper où ça coince, élaguer ce qui dépasse. Je suis certain que vous en avez déjà la fibre notemment en lisant le premier paragraphe. Merci pour ce partage. Espérant vous relire bientôt. Amicalement. Alban Paulh
Publié le 23 Mai 2023
5
Chère Zoé, qu'importe à mes yeux qu'il soit hors-sujet ou nom. Le simple fait qu'il provoque votre enthousiasme est pour moi une consécration qui s'additionne au plaisir que j'ai pris à l'écrire. Peut-être se manifeste-t-elle là, la résilience ? Amicalement Alban Paulh
Publié le 22 Mai 2023
5
Ce double monologue (lui et elle) qui converge finalement en eux m'a séduit. Pas flou pour moi. Tout est délicatement évoqué avec en filigranne tout le poids des non-dits (la colère du père) sur la génèse de ce mutisme fils/mère qui remonte à des années et qui plane encore, pudiquement passé sous silence. Synchronicité d'un double déclenchement : naufrage en dépression du couple qui avait d'abord sauvé ce fils du marasme familial de ses origines. Iris ne l'aime plus ! Chute du vase qui provoque chez la mère la redécouverte inopinée de la photo de Vincent, son fils, dans le champ de coquelicots et la ramène à l'évocation des impatiences du père et de sa fuite à elle, mère réfugiée en littérature pour ne pas voir son incapacité à préserver son enfant. Violaine, la soeur dont on ignore le positionnement dans ce drame mais dont le prénom évoque l'obstination d'un parfum rémanent reste le trait d'union qui rend possible les retrouvailles malgré "la saison qui s'était évaporée, la nuit qui épousait le jour et l'envie de Vincent de se rouler dans la mer et de s'offrir aux eaux noires de la Manche. Au final la mère aimerait pouvoir remettre le cadre à sa place et qu'il n'y ait pas de pièces manquantes à la photo de famille... Boucle pathétique joliment décrite sur fond d'attraction Sud/Nord, Méditerranée/Manche d'une symbolique de recherche de mère entre deux mers. Beaucoups d'échos en moi par rapport à la génèse de l'écriture de mon roman " Si c'est amer, tu dois l'aimer". Un grand merci pour ce beau moment émouvant. Je vous envoie beaucoup d'étoiles bien méritées selon moi. Si vous avez quelues minutes à conscrer à la lecture de ma nouvelle "Intervalle", je serais très curieux d'avoir votre retour d'auteur/lecteur. Cordialement Alban Paulh Si vous avez
Publié le 22 Mai 2023
5
Alors là ! j'ai été scotché. Je n'ai jamais parcouru le chemin de Compostel. Films, reportages tV et témoignages de proches m'en ont mis en esprit une certaine représentation... Pourquoi immédiatement la délectation de votre style incisif, humoristique et percutant m'a évoqué cette méditation marchée unifiée en ce magnifique groupe de un qui symboliquement ramène à "la maison" ? Mystère de l'expérience secrète évoquée qui échappe à l'emprise du temps calendaire... Vous m'avez envouté. Immense merci pour ce partage quasi chamanique. Je vous envoie toutes les étoiles qu'il a réveillées en moi. Si vous aviez la gentillesse de consacrer quelques minutes de votre atemporalité à la lecture de ma nouvelle " intervalle " et de m'en faire un retour, je serais extrêmement honoré. Cordialement Alban Paulh
Publié le 22 Mai 2023

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Après "Si c'est amer, tu dois l'aimer", voici "Intervalle" une nouvelle qui répond à l'appel à Concours de Nouvelles de MBs. J'ai choisi les personnages, les lieux et l’intrigue dans la continuité de mon roman. Mon souhait est que les deux ouvrages s’éclairent mutuellement pour apporter au lecteur une vision plus précise de mon univers intérieur d'auteur. « Intervalle » est une sorte de pastille un peu amère. La gardant juste sous la langue, il se peut que plusieurs impressions se manifestent. Des petits effets Kiss Cool qui peuvent provoquer différentes sortes de frissons... À consommer avec modération pour éviter l'ivresse...

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