alban paulh

Biographie

Retraité, Alban PAULH est diplômé de l’École Nationale vétérinaire de Lyon. Malgré une classe préparatoire au Collège Sainte-Barbe à Paris, la deuxième partie de son cursus d'enseignement laïque, scientifique et rationaliste n’a pas effacé l’imprégnation spirituelle de sa scolarité antérieure dirigée d’abord par les prêtres séculiers puis à partir de la seconde par les Jésuites dans un internat de province. Celle-ci a éveillé en lui un véritable questionnement sur le sens de l’existence qui ne l'a plus quitté et l'a
amené ultérieurement à rencontrer la pratique du Dharma du Bouddha…

alban paulh a noté ces livres

5
Bien mené et inquiétant. La chute est doublement inattendue. bravo.
Publié le 25 Août 2023
5
Cher Troll. Heureux de vous recroiser par hasard ici. Excusez mon audace. J'ai vu de la lumière et suis entré sur la pointe des pieds. Remarquez que je n'ai pas regretté. La leçon de diction et d'imagination était au firmament. Je ne vous parle pas du style qui m'a donné des frissons de bonheur. Par contre juste pour que vous ne preniez pas trop la grosse tête (déja qu'elle est multicéphale et bisexuée au point que personne n'est capable de poser un chiffre sur le nombre d'avatars qui peuplent votre schizophrénie), je tenais à vous signaler que dans votre facilité révoltante d'écriture, vous ommettez de vous relire et il vous arrive de laisser négligemment traîner quelques fautes d'accord (qui venant de vous s'apparentent sûrement plus à des bugs typographiques). J'ai relevé page 4 : "On aimerait bien évidemment trouvé (au lieu de trouver) des contre-exemples flatteurs." et page 5: "publication des plus confitentielle" (qui dans ce cas doit toujours s'accrorder). Bien évidemment ma nullité ne saurait rien vous reprocher mais je voulais juste vous souligner que vous pourriez être plus tolérant avec les pauvres écrivaillons de la même espèce que moi puisqu'en précipitation, il vous arrive parfois de ne pas voir certains manquements de votre merveilleuse prose (et je suis plus que sincère.) Merci en tout cas de m'avoir régalé. Je me réjiouirais d'avoir l'occasion de lire un de vos romans si vous m'en donniez l'accès. Cordialement Alban Paulh
Publié le 25 Août 2023
5
Je suis loin d'être expert et laisse à d'autre le soin de noter l'excellence technique de vos vers. Je me contenterais quant à moi poéte béotien d'en aprècier la musique mais sutout le fond qui rigole de ce troll que la canicule semble avoir échaudé pire qu'un trombicule qui nous échauffe les ridules... Cordialement Alban Paulh (ex Alain-Paul)
Publié le 24 Août 2023
5
Il m'a fallu deux lectures à quelques jours d'intervalle pour finalement épouser complètement vos divagations en dépression. D'abord étonné que le recueil soit classé en érotique, j'ai ensuite dépassé ce concept limitateur. J'ai finalement adoré l'ambiance, votre écriture et vos atermoiments sur l'inéluctale écoulement du temps qui vous conduit à envisger votre date de péremption. J'allais vous dire que la chasse au troll vous avait retourné la cervelle quand vous avez finalement évoqué la méditation. Je serais vous j'y regarderais de plus près. Inutile d'arrêter de boire, de manger et de se raser la tête pour se poser, entrer en amitié avec soi-même et se réconcilier avec l'impermanence. Vous décrivez merveilleusement bien la première noble réalité du premier tour de Roue des enseignements du Bouddha : Dukkha, la réalité de la souffrance liée à la naissance, la vieillesse, la maladie et la mort. Vous reste à aller explorer la suite. Sans vouloir vous la spoiler, elle pourraît ne pas vous décevoir. Merci pour ce bon moment à vous lire. Amicalement Alban Paulh
Publié le 22 Août 2023
5
voici les étoiles depuis mon ordinateur Bonne continuation
Publié le 15 Août 2023

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Après "Si c'est amer, tu dois l'aimer" puis "Intervalle", une première nouvelle, qui répond à l'appel à Concours de MBs, puis une deuxième nouvelle "Orang-outan" qui répond à l'appel à concours de Librinova, voici un deuxième roman intitulé "Maudit Tabarnack " déja disponible sur Amazon et une nouvelle "Quarantaine incertaine", relatant un discours prononcé à l'occasion d'une fête familiale à la française, évoquant vaguement un "Festen" à la danoise, toute rugosité viking transmutée, volontairement, en préciosité langagière aristocratico-bourgeoise, reflet de l'ambiguité de cette famille.

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