alban paulh

J'ai bien aimé votre nouvelle. On suit sans problème le narrateur au cours de cette déambulation tendue dans Paris. Ses ressentis, impressions, appréciations et questionnements alimentent l'incertitude croissante du lecteur quant à son objectif. Cette mystérieuse malette noire et sa rencontre inopinée avec une réplique qui semble se diriger dans la même direction éveillent une foule de suppositions qu'on est impatient de pouvoir confronter au dénoument de l'histoire. A l'arrivée, sentiment de s'être bien fait berner... Tout ça pour ça... Bravo, bien écrit et bien ficellé (quelques coquilles sans gravité à corriger). Si vous avez quelques minutes, je serai curieux d'avoir votre retour sur ma nouvelle "intervalle". Bonne continuation en écriture. Cordialement Alban Paulh

Belle ballade en forêt dont les implications rampantes dépassent l'envergure des racines et des frondaisons d'une canopée luxuriante qui vous hante et vous happe. L'appel de la nature lave déprime, burn-out, mal-être existentiel et incomplétude. La chercheuse redevenue cueuilleuse entre en atemporalité sans regret... Joli transport fantastique où l'on vous suit avec bonheur. Je vous adresse mes remerciements pour ce joli partage et vous adresse plein d'étoiles. Si vous redescendez quelques instants de votre arbre, je serais heureux que vous jettie un oiel sur ma nouvelle "intervalle" et que vous me donniez votre avis éclairé. Amicalement Alban Paul. ex Alain-Paul

Chère Zoé, je tombe sur votre nouvelle inopinément en parcourant les nouvelles et leurs commentaires. Mais quelle belle recontre fortuite. Vous m'avez balladé au bout de votre fine plume, suivant intensément le court de votre élaboration littéraire et de toutes ses préoccupantes implications et m'avez attiré à votre suite jusque dans le secret de votre antre professionnelle perchée dans les hauteurs d'un gratte-ciel... Jamais je ne me suis douté de ce que j'y risquais. Depuis que nous nous connaissons épistolairement, vous m'aviez tellemenet mis en confiance. Quel feu d'artifice ! Mille fois merci pour ce voyage peu ordinaire. J'ai vu plein d'étoiles que je vous adresse. Amicalement Alban Paulh

Vous m'avez régalé, chère ANN avec cette nouvelle si bien écrite et construite où l'on voyage naturellement dans un environnement que l'on voit comme si on y était. Le parralèlle entre le cheminement de vie de cette joggueuse et le périple de la bouteille à la mer est d'une merveilleuse sensibilité. La fin que je ne veux pas dévoiler aux futurs lecteurs réjouit le coeur... Quant à l'espérence de vie des Goelands, j'ai beau être vétérinaire à la retraite et en avoir soigné qulques uns,, vous m'avez bluffé. J'ignorais qu'elle pouvait atteindre pareil chiffre. J'ai donc vérifié et c'est bien vrai. Mille bravos. Vu votre jeune âge, nul doute que votre talent trouvera un jour éditeur. Il vous faut persévérer contre vents et marées. Je vous le souhaite. Si vous avez quelques minutes à consacrer à la lecture de ma courte Nouvelle "Intervalle" , je serai heureux d'avoir votre retour d'autrice talentueuse. Merci pour ce beau partage et bon vent...

Je viens de terminer votre magnifique roman et suis sans voix. Ayant perdu un jeune neveu relativement récemment de la même pathologie, je suis très touché par la justesse, la délicatesse et l'exquise sensibilité du rendu de l'inhumaine odyssée traversée par Mél. Je ne connais par la proximité des influences qui vous ont inspirée mais nul doute qu'elles vous ont touchée. Un immense bravo pour votre talent littéraire et un grand merci pour ce partage.