alban paulh

Je reste sans mot, étourdi par cette lecture extraordinaire de précision, de sensibilité et de profonde humanité. Percutant, tellement naturellement décrit. Le grand mystère des apparences, de la normalité (l'anormalité...) et de tout ce cirque invraisemblable qui se finit inéluctablement dans un trou. Je n'ai jamais lu d'aussi belle évocation de la farce cosmique d'une humaine incarnation... Pas assez d'étoiles au compteur pour noter (quelle prétention celà impliquerait pour moi) votre merveilleux talent littéraire. Un immense merci Ma Dame!

J'ai lu avec intéret et attention cette immersion dans un univers parallèle étrange et, pour moi, totalement inconnu. J'ai eu un peu de mal à adhérer à la soumission un peu rapide d'Adèle à la confrérie dont les objectifs restent longtemps obscurs pour le lecteur. Syndrome de Stockholm ? Petite déception pour ma part, je l'avoue car l'intrigue un peu policière du début s'efface complétement au profit d'échanges de considérations sur la sexualité homme-femme... J'ai trouvé Adèle un peu hors réalité : qui souscrirait à une prétendue relation amoureuse téléphonique fut-elle étayée par un roman au point d'en être ensuite déçue... Je dois être un peu lourdeau et trop terre à terre. En tout cas, votre écriture est belle, nette et efficace et m'a beaucoup plu. J'y ai appris qu'il est plus accadémique d'écrire "Au temps pour moi" que "Autant pour moi". Par contre je me demandais si vous n'aviez pas voulu dire page 90 " n'hésite pas à me recadrer" plutôt que à me recaler. Détail bien sûr. Un grand merci pour ce partage et votre retour sur ma modeste prose.

Intriguant, fascinant et lancinant. Une belle écriture prenante qui nous entraine à en perdre tout repère au gré d'une fantasmatique volupté féminine partagée sans tabou. Très beau.

J'ai lu avec le plus grand intérêt votre roman. Il s'avèrs que nous sommes proches géographiquement, pofessionnellement et spirituellement. Par contre, je me vois contraint de m'effacer, sans regret, devant votre indénaible talent littéraire. Du Bouddah à Shri Aurobindo ne sont que quelques différences de cheminements pour répondre à l'infini divesité des êtres mais l'indicible réalité demeure la même. Puisse votre livre éveiller la curiosité de certains lecteurs pour cette destination à la fois si proche et si lointaine. Pondichéry, c'est ici et la Mère, mainteant... Un grand merci, cher ami.

Savoureux, poétique et licencieux... Tellement bien écrit et si léger. Un vrai bonheur. Bravo