Comme cet autre commentaire le précise, on embarque et à la fin, on ne peut qu'avoir envie de remonter à bord, car une escale est un lieu mais également un moment et l'on se réjouit d'avance de repasser.
Le style m'a paru un peu forcé, et au bout de 40 pages j'ai décroché.
Quelque chose sonne faux dans cette thérapie par "vengeance post-mortem".
Désolé, cela doit venir de moi.