@shishy bad
Oui, bien sûr, effectivement en effet, complètement d'accord OK avec vous, les pensées positives c'est comme qui dirait la crème des crèmes, la cerise sur le gâteau ou l'ananas sur le pont de Tancarville. En tout cas, ça mange pas de pain et, comme disait ma grand-mère qui était ceinture noire de PNL sur terrain compensé, vaut mieux ça que se casser une jambe ou se luxer le clitoris. Ceci dit, puisqu'il est question ici de changement de vie (à moins que je n'avions pas bien compris), je me dis comme ça, mais ça n'engage que moi (et encore, à peine), que vous pourrissiez peut-être en choisir une où vous n'attenteriez pas tous les trois mots à la langue française. Oui, bon, d'accord, je sais, on peut très bien vivre en poussant des cris de ouistiti, mais ça serait vachtement dommage que vous essayassiez pas de réformer votre orthographe et votre grammaire (si j'ose dire : ça vous changerait la vie). Après tout, comme disait mon grand-père qui avait remporté l'épreuve de saut attelé au Olympiades de 1847, tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se mouille. Vous ne voyez pas le rapport ? Moi non plus, mais je m'étions promis de placer ce délicat apophtegme (qui ne rime pas avec australopithèque) avant la fin de l'hiver. Voilà, c'est fait et ce qui est fait n'est plus à faire ; je sais plus exactement qui disait cela, mais je suis bien certaine que c'était ni ma grand-mère ni mon grand-père. Pas plus, d'ailleurs, que mon oncle Adrien ou ma tante Perséphone. Bien à vous, et mort aux rutabagas (je vous expliquerai peut-être un de ces jours ce que j'ai contre les rutabagas - et la passacaille, tant qu'on y sera).
Publié le 16 Février 2021