Je n' adhère pas à ce roman qui fait l' apologie du pire : meurtres,drogues, prostitution, argent facile, mineurs sous emprise. Bien sur, c' est un "polar" imaginé et teinté de sombre.
Lu jusqu'à la page 363, ma gène s' amplifie au fil des lignes; Fautes, tirets, accords, essayez un correcteur d' orthographe ou
une relecture du "Bescherelle". Salutations, Watt sonne
Publié le 05 Mai 2018