Je n’ai pas lu l’intégralité du récit mais j’avoue que j’ai eu un coup de cœur pour votre récit aussi bien sur la forme que sur le fond. Vous écrivez bien parbleu ! J’ai vraiment pris du plaisir à lire votre expression écrite, vos phrases sont bien construites, bien chiadées. Vous arrivez à nous faire vivre certaines scènes poignantes et ce n’est pas à la portée de tout le monde de pouvoir faire cela, mazette! Vos personnages sont touchants, courageux, humains avec un sens du devoir qui forcent le respect, difficile de ne pas les bénir. Votre récit m'a fait frémir de plaisir surtout que j'adore l'histoire et qu'on pourrait le répertorier dans la catégorie des romans historiques. Je suis aux anges grâce à vous donc je ne peux que vous dire merci!

On peut dire que votre récit est bien fait et qu’on voit que vos enquêtes sont méticuleusement bien préparées. Votre roman est vraiment bien fourni, vous développez et approfondissez bien les sujets, vous avez le sens de la précision et du détail. Vos personnages principaux ont une vie aventureuse qui sort de l’ordinaire et qui pourraient en faire rêver plus d’un même s’ils peuvent se retrouver dans des situations périlleuses et inconfortables. Ils sont charismatiques, intelligents, séduisants, ont un certain sens de l’éthique, ils aspirent à faire le bien au travers de cette problématique de l’eau qui est essentielle et vitale. Après je rejoins le commentaire de Jean Jac, votre récit est difficile à catégoriser, car il y a de l’enquête, de l’essai autour de cette problématique de l’eau et il y a une partie roman. Mais moi cela ne m’a pas dérangé, cela donne au contraire des variations de rythme à votre récit qui sont entraînants donc c'est bien.

J'ai lu les 50 premières pages et pour l'instant votre récit me plaît car on peut dire qu'il y a beaucoup d'action. Il y a également à un moment pour mon plus grand enchantement un débat philosophique sur le déterminisme et la liberté. Après on retrouve les traditionnelles histoires de jalousie, de séduction, d'amour, d'inimitié, de compétition entre les élèves que nous avons sans doute tous connues sur les bancs de l'école. En tout cas j'ai envie de connaître la suite du récit... S'agit-t-il d'un meurtre, d'un suicide, qui est le coupable? Je ne sais pas pourquoi mais le directeur de l'école, je ne le sens pas trop net comme gars, est-ce que cela ne serait pas lui le coupable par hasard? Allez je vous laisse et me replonge dès maintenant dans la lecture pour chercher mes réponses.

Je suis pas loin d'être jaloux de la vie que vous avez menée car celle-ci est peu routinière même si vous avez vécu des moments difficiles. Mais bon il vaut mieux vivre une vie pleine et difficile qu'une vie sereine mais chiante et insipide. La routine, c'est vraiment la barbe franchement! Puis vous avez exercé un métier de vocation qui a du sens car tourné vers les autres donc c'est une aubaine pour vous. D'autre part, je ne vous cache pas que la guerre d'Algérie est une période de l'histoire qui m'a toujours vivement intéressé. Des gens comme vous qui s'engagent dans la société, qui font de l'associatif et qui viennent en aide aux plus fragiles, c'est positif car vous au moins, vous ne subissez pas les événements en restant passifs. Vous avez souhaité, milité pour l’indépendance de l'Algérie et vous vous êtes investi là-bas en tant que Médecin. Puis d'un point de vue personnel, votre vie a été également riche car vous avez connu l'amour, vous avez adopté une petite fille orpheline et vous avez eu des enfants. Donc d'une certaine manière, la boucle est bouclée. -

Oh elle est chouette votre histoire, moi j’ai tout de suite accroché à celle-ci et grâce à vous, j’ai presque ressenti de l’amitié pour le gentil Julien. Il m’a fait trop de la peine le pauvre Julien car on voit au travers de votre histoire qu’il est vraiment seul, il n’a pas beaucoup d’amis, il voit qu'il ne plait pas trop aux filles, il a peu d’assurance, il se sent différent des autres. En plus sa mère se suicide car elle a été quittée par son père qui lui est parti avec un autre homme donc le pauvre gosse il est normal qu’il se sente mal avec tout cela. Et en plus le père part avec un mec qui, apparemment, a des gestes déplacés avec les autres et qui a un comportement qui pose question. Donc pour le pauvre Julien, c’est le pompon !