Bruno Verdin

Biographie

. . .... . ...... ......Un livre qui est la corbeille " d' un fait de vie " . . . ..... .................. ..... .... ... C' est un récit qui ne fait pas de la littérature, c' est un récit où ça parle et où ça crie et, quand ça crie, ça crie et, quand ça parle, ça crie aussi. Une forme de littérature venant de la profondeur d' âme, ça rugit, ça grogne, ça maugréé, ça vocifère, les sentiments s' en mêlent et font obstacle. Un livre qui coure comme la vie avance, une addiction à remplir l' espace, un besoin d' apprivoiser le temps, un désespoir de la suffisance d' être trop petit et frêle à l' existence. C' est une rencontre amoureuse qui reste dans la rencontre, c' est une petite littérature d' une grosse bataille affective . .

Bruno Verdin a publié

Bruno Verdin a noté ces livres

3
.......Encore du " Zahia Melouane ".......J' aime tes contes, j' aime les dessins de tes contes, j' aime ta lumière..........J' ai faim de regarder tes dessins, j' arrive. J' entends tes couleurs câliner mes tympans lorsque je te lis, je reviens. Tu me décales les sens. J' hume, j' en veux. Je goûte, j' adore...........Devine que je reviendrai une prochaine fois ? Oui, ce sera lorsque j' en aurais la convenance, l' envie y est déposée, le chemin je connais. Les blancs de temps, je déboucherai avec mes humeurs les meilleures - promesse -....... Je te dis et je te chante toute ma reconnaissance, je félicite la simplicité et le ravissement de ton existence, je conçois, je scrute et j' adhère ton avènement. Je suis éblouis de couleurs !................l' Orage...- Gigliola Cinquetti -......youtube......" bellissima chanson ".....................................................,,,,,,,,,,,,,,,,l
Publié le 12 Juillet 2019
3
.........C' est à ranger dans.......laaaa......catééé..gorie....." bonbon FRUITE ! ". C' est petit, c' est court et c' est " chou ". Ce n' est pas un texte décoré d' images, ce sont des images, des dessins commentés. Original ! C' est régalant, mignon, joli.........Je t' envoie un souhait de bonheur.
Publié le 09 Juillet 2019
3
.........J' attaque une montagne haute de 300 pages, je ne suis pas taillé pour cela. Je m' engage parce que j' ai quelque-chose à y faire. Regarder la montagne c' est déjà la gravir..et supposer la gravir c' est me voir, me regarder gravissant dans les moments arrivants, me jeter un premier pas et délier l' enchaînement mécanique des gestes de l' escalade. Y penser et ne faire qu' y penser pour toucher le pointu de cette hauteur sans que je m' entreprenne ne me va plus. Que j' y aille ! que j' y aille !............................................................................................... ............. .................... ................................................................................................................................................................................... .......... .. Bonjour dans ta maison @Victoire Sentenac................ ..................................................... ..........Entrer dans ton roman est désirablement choquant, ça brûle au premier contact et le temps de s' imprégner de tes flots il y a la tiédeur, une grande, une énorme tiédeur et déjà plus l'envie de sortir. C' est vrai comme tu écris bien et mieux que bien. Tout est correctement - placé, ordonné - , - assemblé, accolé -, ton monde ressenti ne fait que quelque mètres d' envergure. Il n' en fait pas plus que le nombre de doigts qui fini la main mais tout y est, tout se tient. De l' exactitude bien chaude et enrobante, bien tiède et goûteuse, bonne à connaître, bonne à vivre. Tu es juste, pas dans le sens de la justesse géométrique, dans le sens de l' honnêteté et tu es juste de la véracité des instants qui se délivrent et qui nous donnent l' appétit de savoir lire, encore............ ....... ........ ..........J' adore la petite faille au tout début de la page 13, une toute petite faille....un précipice c' est ! Attention messieurs ( vous qui lisez ) c' est une phrase, c' est un coup qui assomme l' endormie ou qui éveille l' écouteuse éveillée et qui appelle à la folie d' aimer en enfonçant les murs de la raison, en arrachant les toiles des règles sociales et en pestant tout ce qui rigidifie un prochain moment pas encore établi................................................................................................................ .........Ici il s' agit de la quête et de la découverte, par une femme, qui espère et vibre à une plénitude et un assouvissement entier à des émotions, au travers des émois, des instants crus et uniques provoqués, exposés, abandonnés de l' existence et qui s' abreuve, s' inonde de ces complétudes si chères et si précieuses à la vie par un amour blanc d' âme sous les bras d' un homme................................... ................. ................. ...................... .............. ........... ............ ........Aux alentours des pages 70, j' ai eu un pressentiment, la crainte d' une petite pensée maligne après toutes ces beautés écrites, ces rondeurs des sentiments, le sérieux et la véracité des moments existés, avoués, d' une entre-vision de la queue du serpent de la mélancolie. Des moments aériens et magiques qui durent, qui durent et qui durent de trop ? Tout juste non, tu l' as probablement ressenti légèrement comme moi ? et, avec 1000 arts, 1000 techniques que, du ciel un jour tu as reçu, tu as retourné, retrouvé un élan et une direction. Adroite et compétente, tu te sauves et tu nous sauves d' un chemin à satan. Rien n' est abîmé, le charme déroule encore sa traîne, l' histoire belle continue.................................... ................... ................... .................. .........Comme tu écris, tu sais nous emmener et nous inviter à nous projeter dans le milieu de la vie, nous élancer dans le profond blanc et intense que n' habite pas le temps et les lieux, là ou les décisions, les intentions et les absences se mélangent et s' intriquent afin de nous baliser des chemins avec tes canons à phrases, tes fusils à mots, pointes en bas, crosses en l' air fleurissant d' innocence et d' ingénuité. Tu sais condenser, contracter l' inutile, l' ostentatoire, tu sais effilocher, élastifier, grandir un moment, un instant, juste de bord, sans glisser, sans blessures, sans gêner la trame de l' histoire et tu la ramènes au moment, à l' instant suivant comme un papillon qui vole mon temps à le regarder, à ne jamais vouloir se poser, et que j' aimerais................... ................. ........Il y a et il faut bien, que des événements éclaboussent, des faits se passent, des surprises apparaissent, qu' il y ait la construction d' une histoire. Il y a à le raconter, il y a à l' exprimer et le montrer alors que souvent et ailleurs l' intrigue qui sert de fil conducteur ne le devient que pour elle-même. C' est une intrigue qui s' allonge, se prolonge et se fourvoie même. L' intrigue qui se raconte et finalement devient une histoire, un récit, un conte. Elle n' est plus une romance. La cause se fait la cause et les effets n' y sont plus. La romance est ce que tu écris. La romance est le chatoyant, le doux, la douceur de quelque-chose. Ce sont les attributs, les qualités des humeurs, des envies, les retraits et les retenues de désirs et de besoins, un pourtour, un ensemble d'affections et d' expressions de vivre qui anime l' intellection pour mieux tanguer nos coeurs et chatouiller nos âmes. Cela, ce que tu le fait bien !................. ..................................................... .......Des événements, tu t' en débarrasses, tu lâches la corde qui les retient, il est l' endroit et il est l' heure de délester et tu le fais, c' est ici et maintenant et tu le refais, ça n' est pas à propos et tu ne le fais pas, il y a un ordre et un tempo précis et usuel. L' important n' est pas l' événement, l'important est " l' usuel " de l' événement, l' essentiel est à toi de l' écrire et tu l' écris façon vanillée, façon lavande, façon tendre et frêle comme mes oreilles aiment à entendre les mots "féminin ", " féminité ", " charme ";;.Ainsi tu conserves le courant, l' avancée de tes soupirs, des poésies que te soufflent tes muses et tu es la porte ouverte qui échange ton univers sur le notre, sans éclats, sans lourdeurs, sans chocs, tout est poli, glissant, savonneux, délicat, délicieux, gourmé sans fin. Il n' y a pas le besoin d' afficher du sensationnel, de l' extravagant, du " en plus ", une simple queue de poire te suffirais à la rendre unique au milieu d' autres, tu es l' enchanteresse de l' écriture de la romance.......................................... ..................................... ...................................... .............................. ................................ ............................... ................. ........Tu sais te regarder profondément, tu sais t' écouter infiniment, tu es une personne que la sève est bonne...et l' arbre est beau ! Tu ressens la vie jusque la pointe et de toutes les longueurs que détendent les sentiments et les désirs qui ne s' usent et ne s' arrêtent ...jamais. Nés dans la chair, et vivants par l' existence charnelle, tu étales et aplanis l' effervescence des émotions et des sentiments, tu lisses ce qui est fripé, tu calmes et caresses ce qui est à l' envie de crier ou pleurer, tu conduis nos affections jusqu' au bonheur le plus sauf. Celui qui traverse le mieux les secondes et les minutes, les jours et les semaines et qui laisse le regard se retourner sans ciller, qui laisse le regard se retourner par acceptation et humilité................................................. .................... ........Ton livre ronronne et roule sans jamais caler, d' un bout jusque...tout le temps. Ton ouvrage est une énorme claque de douceur emmitouflant. Victoire Sentenac... tu es belle !
Publié le 06 Juillet 2019
3
........Je prends la lecture, j' avance dedans. 10 pages à lire, je suis arrivé page 6, toujours rien de probant, de la décoration, belle ( tant qu' à faire ! ) du concrétus-décorum-au-bifidus ! ( je sais faire, j' aime pas, pas du tout ) Qu' est-ce qu' il va me pondre le canard ? Et je suis dérangé, c' est tout ce que je pense l' après-midi................ ........................ .......................... ............... ........................ ........En soirée je m' y remets, je lis, je suis assis, je finis de lire, je suis assis. Je suis assis, je ne peux pas me renverser, je ne peux pas tomber, je suis assis. Je viens de recevoir un vent violent, un vent polaire peut-être, je suis inerte, je ne peux plus me levé, statufié. Là, j' explose de rire, je viens de recevoir un pavé sur le faciès, plein mille dans la gueule. OUI je veux de la beauté plastique ! OUI je veux exister ! Oui je veux tout ça ! Oui je veuuxxx ! Comme tu places ces dernières phrases, comme tu arranges juste les bons mots, du '' ce qu' il faut '' pile poil, il y a tout ce que je viens de lire qui enfle et prend valeur considérable. C' est de l' art, du talent, des mots qui se promènent comme ça, l' air de rien, rien qui ne se dise de plus, rien qui ne se dise de moins mais qui disent tout et beaucoup. Tu as couru et sauté sur la balançoire à bascule et je suis parti en l' air très haut, très très haut. L' apesanteur m' a gagné à toute vitesse et, à toute vitesse je suis devenu léger. Il m' a fallu de très longs moments avant que je puisse me poser. Grâce à toi j' ai été oiseau une fois. J' ai même eu des rebonds dans ma journée, après la balançoire tu m' as fais goûter le trampoline, j' ai tenté de planer, j' ai eu des joies à m' y exercer et, revenu sur terre j'avais l' impression de marcher sur le bout de mes pieds et plus en sautant qu' en marchant. Mon poids, ma masse m' échappe et m' oublie et me reviennent si bien !...................................... ..................... ........J' avais chargé mon lance-missile pour te pétarader mais non ! Ce sont des confettis que je te jette, des fleurs que je te lance, des coupes, des trophées, des médailles, des couleurs, encore des couleurs. 6 juin, jour de fête, 6 juin, ma fête ce jour là. J' aurais plaisir et joie de te retrouver, je sais où quelque part, avec l' humeur et l' envie ensemble Top là l' amis ! ( poings serrés qui se rencontrent et se touchent )................................................................................................................ .......................................................................... ...................................................... ................. .........P.S....Pour me faire une idée d' une lecture je lis aussi les réponses des auteurs aux commentaires. Les réponses et les non-réponses... Tu me bluffes, des pieds bien au sol, une personnalité crédible, affirmée et pas posée ailleurs que sur ton cou, la foi douce en tes sentiments qui montre sans fard les beautés de ton humanité.Est-ce cela l' endroit, la source ( la foi ) de tes mots frais, de tes phrases ruisselantes, de tes flots merveilleux lorsque tu délies et libères les imaginaires de mondes que tu captures par le miel que tu sais donner? Je le pense, je le pense aussi lourdement qu' autant assurément. M' enfin ! ................................................................. .........Un vieil homme, 60 balais, et qui a un cancer ! Qu' est-ce ça à faire la dedans ? Qu' est-ce que j' ai à sentir les odeurs des égouts ? Qu' est-ce que j' ai à deviner les plissures d' une peau chiffonnante ? Tout cela ne fait pas et n'aide réellement pas la '' belle '' à être belle ni être encore plus belle ( mauvaise décoration ) c' est un extrême qui se pose et s' impose et reste. On ne l'oublie plus. Mais ce n' est pas lui que je veux voir, ce n' est pas lui que je veux savoir, connaître. Il pue à mon nez, il pique à mes yeux, je crache, je gerbe ce qu' il existe. Je sais que tu a voulu '' cadrer '' la belle par et avec cette '' chose-momie '' mais c' est du trop lourd, du trop opposé. Laisse nous la '' belle '' prendre toutes les places et toutes les lumières, recevoir toutes les envies et les désirs des lecteurs. Evite de le décrire, rend-le juste bien masculin, mystérieux. Ici n' est pas le lieu pour un regard médical sur le cancer, ça n' est pas le sujet et aussi, ce cancer là est dégoûtant. ........Dis-moi que tu viens de me lire et de m' entendre pour que je puisse effacer ce qui n' est que le narcissisme de ma prétention, @Didier Leuenberger.
Publié le 10 Juin 2019
3
.........J' ai dormi une fois, j' ai marché à l' envie et au besoin, j' ai mangé, suffisamment, je clope, j'écris................................................................................ .................................. ..................... .......... ........Belle prestation, prestation de '' candeur '' aussi, une vraie belle prestation. Tu as l' élégance de ta foi, longue, intelligente, '' royale ''. Tu t' étales comme le professeur fait son cours, 24 pages que je te suis, plus de pages... et plus à te suivre...tu '' sur-flottes '' par dessus l' eau et les vagues avec une aisance invisible, tu voles et planes comme je ne saurai pas faire. Tu es le '' phénomène '' de ton sujet, merci. Nous le connaissons, nous le reconnaissons, nous le comprenons, tu nous enlèves seulement les mots de te le dire. Tu écris avec la fraîcheur de quelqu' un qui vient de naître et tu nais 24 pages durant, ébouriffant ! Toutes les étoiles que tu peux récolter et gagner, aucune tu n' auras volée................................................ ....................................... ................ ......... ..........Bien sûr que si il y a quelque chose à ajouter ! Enormement même ! Tu poses la question d'exister puis celle de penser et la suivante ? Avec tes deux interrogations tu ressors et tu t'arrêtes avec comme réponses deux considérations vaines. Il y a donc la magie ou le miracle d'exister et aussi celle de penser et tout est dit ? Il y a un philosophe '' Vladimir Jankélévitch '' qui a écrit - Le je ne sais quoi et le presque rien - aux éditions du Seuil , je pense. A la surprise, la bénédiction de penser, il y a " à penser '', il y a " à penser " beaucoup, infiniment, infiniment beaucoup. Il te reste à penser ce que tu veux, il te reste à penser l' univers, il te reste à penser abominablement longtemps mais pas '' rien '' Il te reste à penser ce que tu es, suivre tes émotions pour que l'intelligence de tes pensées puissent les concrétiser et les transmettre à qui tu veux, à qui tu aimes. Il reste à " exister '' l' existence......................................................................... ................. .........Tu cultives et tu vis tout le vierge de cette découverte, tu te rends, tu te prosternes à tant d'innocences que tu mérites ma sympathie, et tu m' arraches, en plus, une part de mon amitié que je ne sais pas donner, garde-la, elle t' es plus promisse que défendue, tu en as le bénéfice et le besoin, et ce qui m' est enlevé me repousse et m' oblige à la cure. Rien ne m' est perdu et je te connais, un peu.
Publié le 02 Juin 2019

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